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LES TATOUAGES ET LA GUERRE

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LES TATOUAGES ET LA GUERRE  Empty LES TATOUAGES ET LA GUERRE

Message par Admin Ven 11 Juin - 23:58

LES TATOUAGES ET LA GUERRE  Sans6149

Une femme du corps royal de l'armée (WRAC) membre du district de Londres, montre son tout nouveau tatouage à ses camarades enrôlés.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les femmes du Service territorial auxiliaire ont joué des rôles de plus en plus variés. Mais, comme leurs prédécesseurs dans le corps auxiliaire de l'armée féminine, ont quand même été empêchés de se battre. Leur travail révolutionnaire a été repris dans l'après-guerre par une nouvelle force, le corps royal féminin de l'armée.

Le corps de l'armée royale féminine (WRAC) a été créé en 1949. Il a absorbé les autres troupes du Service territorial auxiliaire (ATS), une force féminine en temps de guerre établie pour libérer les hommes pour un service actif. La création du WRAC a marqué pour la première fois, le fait que des femmes soient soumises à toutes les formes de la loi militaire.

Le corps comprenait finalement toutes les femmes en service dans l'armée, sauf les infirmières médicales et vétérinaires et les aumôniers. Il était commun pour les femmes de la WRAC de servir avec d'autres régiments de l'armée avec des prolongements à long terme, comme avec le Corps royal des signaux, mais en gardant leur badge initial sur leur casquette (WRAC). Cela a ouvert de plus en plus de rôles aux femmes.

En 1952, les rangs de la WRAC étaient alignés sur le reste de l'armée britannique. Finalement, les femmes ont travaillé dans plus de 40 métiers, dont en tant qu'agents d'état-major, commis, chefs, dresseur de chiens, opérateurs de communication, chauffeurs, analystes du renseignement, femmes de la police militaire et opérateurs de messagerie.

Mais il y avait certaines régions du service militaire où la progression était plus lente. Ce n'est qu'à partir des années 1980 que les femmes ont été autorisées à s'entraîner, porter et utiliser des armes à feu !

Et ce n'est qu'en 1984 que les femmes ont été autorisées à suivre leur formation d'officiers à l'Académie militaire royale de Sandhurst. Avant cela, ils avaient un collège d'entraînement distinct, le Women' s Royal Army Corps College, Camberley.

Colourised PIECE of JAKE
GettyImages / Bettmann
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