Dropa, Chine et crash d’ovni il y a 12000 ans…
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Dropa, Chine et crash d’ovni il y a 12000 ans…
Nous sommes en 1937 dans la région de Baian-Kara-Ula au Nord du Tibet. L’archéologue Chinois Chi Pu Tei explore des grottes de cette zone. Il découvre bientôt une série de grottes qui semble être un ensemble funéraire. Dans ces grottes, il découvre des corps ayant une apparence humaine, mais de petite taille, environ un mètre trente, mais possédant une importante boîte crânienne. Celle-ci est totalement disproportionnée par rapport au corps de ces « hommes ». Accompagnant ces corps il découvrit sept cents seize disques de pierre sur lesquelles on pouvait trouver une sorte de sillon qui tournait en spirale autour de la face.
Pour l’archéologue il ne s’agit que de cadavre de singe et les disques auraient été rajoutés par une des civilisations suivantes vouant une sorte de culte à ces corps…
Après la seconde guerre mondiale, en 1947, le docteur Robin-Evans qui s’était procuré un de ces disques par l’intermédiaire de professeur polonais Lolladoff, monta une expédition. Dans la région proche de Baian-Kara-Ula, ses guides l’abandonnèrent pris de peur superstitieuse de ces montagnes. Il réussi quand même à se rendre près de ces montagnes, après avoir séjourné avec des indigènes il commença a apprendre la langue des Dzopa, le peuple qui séjournait là. Ils lui apprirent qu’il venait d’un autre monde, sur une des planètes de Sirius, qu’après un crash sont peuple fut forcé de vivre ici… Le nom Dzopa serait une déformation du mot Dropa.
Nous sommes en 1962 lorsque le professeur Tsum entrepris la traduction des disques…Ils commencèrent à être étudier, et en les examinant de près, on découvrit qu’il s’agissait une sorte de hiéroglyphe, un texte écris dans une langue et une forme inconnue. L’écriture est minuscule, pratiquement impossible à lire à l’oeil nu. Et pourtant ce texte et très précisément gravé. Les pierres furent datée, elles avaient un âge d’environ 12000 ans. Il commença sont décryptage et petit a petit il parvint a percer le code et ce que nous disait ces pierres.
Le Roi et la Reine DropaIls ont été pris tout les deux en photo par le Docteur Robin-Evans en 1974, ils mesurent respectivement 1m20 et 1m.
Ces pierres nous raconte l’histoire de ce peuple, les Dropas, qui serait venu d’un engin spatial il y a 12000 ans. Leur vaisseau se serait écrasé dans cette chaîne de montagne, ils auraient été pourchassés pendant quelques temps par les indigènes. Et ils se cachèrent dans des grottes. Ils étaient différents des hommes, plus petit, le teint jaune et de grand yeux bleu. Finalement ils auraient sympathisé avec des tributs proches. Mais hélas ne pouvant réparer leur véhicule durent rester là…
En 1968 un scientifique russe,W. Saitsew, étudia ces pierres, outre la gravure très difficile à effectuer en étant aussi fine et pour les gens de cette époque. Ces pierres sont terriblement dure, elles contiennent une forte proportion de cobalt. De même, après analyse, il découvrit que ces pierres avaient été autrefois chargé électriquement, mais il n’a aucune idée de la raison pour lesquels elles avaient été électrifiées. Peut être pour la procédure de gravure, ou pour tout autre but
Plus tard, en 1995, Dans la province de Sichuan, on découvrit une peuplade de cent vingt habitants qui n’avait jamais été recensé. Ces femmes et ces hommes sont de petite taille, environ un mètre de haut. Peut être avons nous retrouvé la trace de ce peuple…
Même si on peut être sceptique, et en attendant d’autres découvertes, on a peut être devant les yeux l’une des énigmes extraterrestres les plus étranges, et peut être l’une des preuves de vie venant d’ailleurs…
HISTOIRE INTRIGUANTE DES DISQUES DATANT DE 12 000 ANS!
Dans les hautes montagnes de Bayan Kara-Ula, à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues conduisait un sondage de routine très détaillé d'une série de grottes paraissant intéressantes. Leur intérêt avait été exité par la découverte de tombes soigneusement alignées qui contenaient des squelettes de ce qui semblait être une étrange race d'êtres humains... étranges parcequ'ils avaient des corps anormalement chétifs et grand, surdéveloppés. En premier, les archéologues pensaient qu'il s'agissait de grottes ou vivaient une race de singe jusque là inconnue, mais comme le soulignait alors le professeur Chi Pu Tei, l'archéologue dirigeant l'équipe, "je n'ai jamais entendu parler de singes qui enterrent les défunts!".
tandis qu'il étudiait les squelettes, l'une de ses collaboratrices trébucha sur une grande pierre ronde en forme de disque, à moité enterrée dans le sol poussièreux de la grotte. Toute l'équipe se rassembla autour de la découverte et, la deterrant prudemment, virent ce qui paraissait incroyable : c'était comme une sorte de vynile en pierre !...Il y a avait un trou en forme d'amande au centre ainsi qu'une cannelure spiroïdale irradiée à la bordure. Une inspection plus approfondie montra que la cannelure était en fait une ligne continue en spirale, présentant des caractères étroitement écrits...
L'objet était, à n'en pas douter, bien un disque... Seulement personne à cette époque (alors en 1938) ne possédiat la clé à son message incroyable! Le disque fut étiqueté et classé loin parmi les autres découvertes faites dans cette grotte.
Beaucoup d'experts essayaient de traduire les hyéroglyphes de ce disque pendant les 20 années où il resta dans Pékin... Tous échouèrent...Jusqu'à cet autre professeur, le Dr Tsum Um Nui, qui cassa le code et commença à déchiffrer le message extraordinaire inscrit sur les cannelures de ce disque.
L'Académie de la Préhistoire de Pékin lui interdit de publier ses résultats. Deux années auparavant , en 1965, ce professeur ainsi que quatre de ses collègues eurent la permission de révéler leur théorie.
Elle paraissait sous le long titre mais néammoins intriguant :
"Le script cannelé concernant le navire de l'espace qui, comme enregistré sur les Disques, est venu sur Terre il y a 12 000 ans".
"Les Disques"... en effet, 716 disques ont été découverts dans les mêmes grottes, qui racontent l'histoire étonnante, racontée par des êtres venus d'ailleurs, d'une "sonde spatiale" occupée par des habitants d'une autre planète qui sont venus par désespoir dans le Bayan-Kara-Ula, chaîne de montagne.
L'étrange message spiroïdal racontait comment les paisibles intentions des aliens avaient été méconnues et comment ils avaient été chassés en bas et tués par des membres de la tribu des "Ham", qui vécut dans les grottes voisines. Selon Tsum Um Nui, une des lignes des hyéroglyphes signifie : "Les Dropas vinrent à bord de leur avion des nuages. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent dans les grottes dix temps avant l'aube. Quand nous avons enfin compris la langue des signes des Dropas, nous avons réalisé qu'ils étaient pacifiques".
Une autre section exprimait des regrets de la part des "Ham" qui avaient assistés à l'accident de la sonde qui avait atterrit en catastrophe sur cette montagne aussi reculée qu'inaccessible et qui, de ce fait empêchait les dropas de pouvoir retourner sur leur planète d'origine.
Dans les années qui suivirent la découverte du premier disque, des archéologues et anthropologues avaient étudiés la superficie aux alentours de Bayan-Kara-Ula et beaucoup d'informations collectées corroboraient l'étrange histoire enregistrée sur ce disque.
En effet, il existait une légende dans cette région racontant une histoire de petites êtres tout jaunes qui étaient venus des nuages il y a très très longtemps... Ils avaient des têtes énormes et un corps chétif et ils étaient si laids et répugnants qu'ils avaient été poursuivis par la tribu locale à dos de cheval.
Etrangement, la description des "envahisseurs concordait avec les squelettes découverts par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs de la grotte, les archélogues avaient découvert des images (dessins) du Soleil d'Hausse, de la lune, d'une indescriptible figure de la terre... tous étaient reliés par une ligne formée de points. Tout comme les disques, ces dessins avaient été daté de la même époque...ils étaient vieux de 12 000 ans.
Les alentours de la grotte étaient habités par deux tribus semi-troglodyte, connue comme les "ham" et "dropas" et ils étaient eux-mêmes liés à la légende. L'homme de cette tribu était frêle et mesurait près de cinq pieds de haut et n'était ni typiquement chinois ni tibétain.
Même avec les publications de la traduction du professeur Tsum Um Nui, l'histoire du disque de l'espace n'était pas forcément correcte. Les scientifiques russes ont demandé à voir les disques et plusieurs ont été envoyés à Moscou pour examen.
Ils ont été grattés et ont révélés des particules de roches qui ont ensuite été analysées chimiquement. Oh surprise...les scientifiques ont trouvés une grande somme de cobalt et d'autres substances métalliques... quand ils placèrent les disques sur une platine spéciale, selon le Dr Vyatcheslav Saizev qui décrivait les expériences dans le magazine soviétique "Spoutnik", ils vibraient ou vrombissaient dans un inhabituel rythme, comme s'ils étaient chargés en électricité...ou comme le suggérait un autre scientifique, "comme s'ils formaient une certaine partie d'un circuit électrique".
Parmi la collection de récits d' anciennes civilisations nous rapportant la visites d'extraterrestres,les disques des Dropas seraient la première preuve materiel et tangible de ce genre d'histoires. En 1938 dans les montagnes de Baian-Kara-Ula, sur la frontière entre la Chine et le Tibet.
Chi Pu Tei, professeur d'archéologie à l'Université de Pékin,part en expédition avec des anciens élèves pour explorer certaines cavernes reculées dans ces montagnes presque inabordables et découvre qu'elles ont de toute évidence été occupées par un peuple primitif !Si le professeur decide d'explorer ces grottes c'est parce que certains temoins lui avouerent qu'elles etaient artificielle,remplie de tunnels et de chambres sousterraines.
Sur les lieux Chi Pu Tei, découvrit que les parois des cavernes étaient effectivement lisses et polies comme creusés à chaud dans la roche.
A l'interieur plusieurs tombes anciennes contenant des squelettes mesurant à peine plus d'un mètre de haut, avec une tête disproportionnees.Sur les parois, on decouvrit des pictogrammes représentant le soleil, la Lune,des étoiles, la Terre, avec des lignes qui les connectaient,mais la découverte la plus incroyable fut un disque de 30 centimètres de diamètre avec au centre une ouverture parfaite,circulaire de 3 centimètres, il était orné d'un sillon en spirale qui n'etait autre qu'une forme d'ecriture.
Daté de 10.000 à 12.000 ans 715 autres disques furent découverts.
En 1968, les disques des Dropas éveillèrent l'attention d' un scientifique Russe,W. Saitsev,des tests et des mesures montrèrent des propriétés troublantes,de consistance granitique ils contenaient de fortes concentrations de cobalt ils étaient donc impossible qu'ils soient l'oeuvre d'un peuple primitif,particulierement au niveau des caractères gravés.en testant un disque avec un oscillographe, une oscillation reguliere fut enregistrée comme s'ils avaient été par le passé chargé électriquement ou agit comme conducteur électriques.
C'est en 1962 qu'un autre scientifique chinois,le docteur Tsum Um Nui , déchiffra le message des disques, un message si choquant que le département des études préhistoriques de l'Académie de Pékin en interdit la publication mais elle se fit tout de meme pensant probablement que le peuple zetetique reussirait à convaicre de l'abrutissement de telles decouvertes reservee à quelques archeologue en herbe en mal de publicite,rappelons tout de meme que les faits se passe dans les annees 60 sous la chape de plomb du dogme communiste.Les disques de pierre etaient endommagees et le professeur decidai de les transcrire sur papier.
La transcription terminée, le docteur Tsum Um Nui s'attela à la traduction,il s'assit quoique ,le message etait celui d'un peuple nommait les Dropas.
le docteur Tsum Um Nui publia ses decouvertes et le peuple zetetique impitoyablement le ramena dans le monde domine des cultivateurs du doute,le monde ne devait pas savoir!
L'écriture concentrique concernant des vaisseaux spatiaux parut deux ans plus tard.
Les disques des Dropas...
Les disques racontent l'histoire d'un vaisseau d'exploration spatiale qui vint sur Terre il y a 12.000 ans et s'ecrasa dans les les montagnes de Baian-Kara-Ula,les Dropas, trouvèrent refuge dans les cavernes de la montagne mais malgre des intentions pacifiques, les Dropas furent agressés par la tribu de Ham qui vivaient dans la région et occupaient également des caverneset en tuèrent certain.
"Nous, les Dropas, sommes venus depuis les nuages dans notre vaisseau céleste. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent pendant 10 jours dans les cavernes. Quand enfin les Hams comprirent notre langage par signes, ils réalisèrent que nous, nouveaux arrivants, avions des intentions pacifiques..."
les Dropas n'avaient aucun moyen de réparer leur vaisseau,exilés sur Terre que devinrent leur descendant ?
Une ancienne légende chinoise parle de petits êtres mince à la peau jaune qui vinrent sur Terre depuis les nuages et qui furent chassé à cause de leur laideur, aujourd'hui ces régions isolées sont occupées par deux tribus,nommees les Dropas et les Hans. Les anthropologues n'arrivent pas à les classer dans une des familles de l'espece humaine et les assimilent à celle des pygmées.
C'est une incroyable histoire car elle n'a pas été médiatisée et la découverte fut faite dans un pays ou ce genre de faits devaient rester aux oubliettes...
Pour l’archéologue il ne s’agit que de cadavre de singe et les disques auraient été rajoutés par une des civilisations suivantes vouant une sorte de culte à ces corps…
Après la seconde guerre mondiale, en 1947, le docteur Robin-Evans qui s’était procuré un de ces disques par l’intermédiaire de professeur polonais Lolladoff, monta une expédition. Dans la région proche de Baian-Kara-Ula, ses guides l’abandonnèrent pris de peur superstitieuse de ces montagnes. Il réussi quand même à se rendre près de ces montagnes, après avoir séjourné avec des indigènes il commença a apprendre la langue des Dzopa, le peuple qui séjournait là. Ils lui apprirent qu’il venait d’un autre monde, sur une des planètes de Sirius, qu’après un crash sont peuple fut forcé de vivre ici… Le nom Dzopa serait une déformation du mot Dropa.
Nous sommes en 1962 lorsque le professeur Tsum entrepris la traduction des disques…Ils commencèrent à être étudier, et en les examinant de près, on découvrit qu’il s’agissait une sorte de hiéroglyphe, un texte écris dans une langue et une forme inconnue. L’écriture est minuscule, pratiquement impossible à lire à l’oeil nu. Et pourtant ce texte et très précisément gravé. Les pierres furent datée, elles avaient un âge d’environ 12000 ans. Il commença sont décryptage et petit a petit il parvint a percer le code et ce que nous disait ces pierres.
Le Roi et la Reine DropaIls ont été pris tout les deux en photo par le Docteur Robin-Evans en 1974, ils mesurent respectivement 1m20 et 1m.
Ces pierres nous raconte l’histoire de ce peuple, les Dropas, qui serait venu d’un engin spatial il y a 12000 ans. Leur vaisseau se serait écrasé dans cette chaîne de montagne, ils auraient été pourchassés pendant quelques temps par les indigènes. Et ils se cachèrent dans des grottes. Ils étaient différents des hommes, plus petit, le teint jaune et de grand yeux bleu. Finalement ils auraient sympathisé avec des tributs proches. Mais hélas ne pouvant réparer leur véhicule durent rester là…
En 1968 un scientifique russe,W. Saitsew, étudia ces pierres, outre la gravure très difficile à effectuer en étant aussi fine et pour les gens de cette époque. Ces pierres sont terriblement dure, elles contiennent une forte proportion de cobalt. De même, après analyse, il découvrit que ces pierres avaient été autrefois chargé électriquement, mais il n’a aucune idée de la raison pour lesquels elles avaient été électrifiées. Peut être pour la procédure de gravure, ou pour tout autre but
Plus tard, en 1995, Dans la province de Sichuan, on découvrit une peuplade de cent vingt habitants qui n’avait jamais été recensé. Ces femmes et ces hommes sont de petite taille, environ un mètre de haut. Peut être avons nous retrouvé la trace de ce peuple…
Même si on peut être sceptique, et en attendant d’autres découvertes, on a peut être devant les yeux l’une des énigmes extraterrestres les plus étranges, et peut être l’une des preuves de vie venant d’ailleurs…
HISTOIRE INTRIGUANTE DES DISQUES DATANT DE 12 000 ANS!
Dans les hautes montagnes de Bayan Kara-Ula, à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues conduisait un sondage de routine très détaillé d'une série de grottes paraissant intéressantes. Leur intérêt avait été exité par la découverte de tombes soigneusement alignées qui contenaient des squelettes de ce qui semblait être une étrange race d'êtres humains... étranges parcequ'ils avaient des corps anormalement chétifs et grand, surdéveloppés. En premier, les archéologues pensaient qu'il s'agissait de grottes ou vivaient une race de singe jusque là inconnue, mais comme le soulignait alors le professeur Chi Pu Tei, l'archéologue dirigeant l'équipe, "je n'ai jamais entendu parler de singes qui enterrent les défunts!".
tandis qu'il étudiait les squelettes, l'une de ses collaboratrices trébucha sur une grande pierre ronde en forme de disque, à moité enterrée dans le sol poussièreux de la grotte. Toute l'équipe se rassembla autour de la découverte et, la deterrant prudemment, virent ce qui paraissait incroyable : c'était comme une sorte de vynile en pierre !...Il y a avait un trou en forme d'amande au centre ainsi qu'une cannelure spiroïdale irradiée à la bordure. Une inspection plus approfondie montra que la cannelure était en fait une ligne continue en spirale, présentant des caractères étroitement écrits...
L'objet était, à n'en pas douter, bien un disque... Seulement personne à cette époque (alors en 1938) ne possédiat la clé à son message incroyable! Le disque fut étiqueté et classé loin parmi les autres découvertes faites dans cette grotte.
Beaucoup d'experts essayaient de traduire les hyéroglyphes de ce disque pendant les 20 années où il resta dans Pékin... Tous échouèrent...Jusqu'à cet autre professeur, le Dr Tsum Um Nui, qui cassa le code et commença à déchiffrer le message extraordinaire inscrit sur les cannelures de ce disque.
L'Académie de la Préhistoire de Pékin lui interdit de publier ses résultats. Deux années auparavant , en 1965, ce professeur ainsi que quatre de ses collègues eurent la permission de révéler leur théorie.
Elle paraissait sous le long titre mais néammoins intriguant :
"Le script cannelé concernant le navire de l'espace qui, comme enregistré sur les Disques, est venu sur Terre il y a 12 000 ans".
"Les Disques"... en effet, 716 disques ont été découverts dans les mêmes grottes, qui racontent l'histoire étonnante, racontée par des êtres venus d'ailleurs, d'une "sonde spatiale" occupée par des habitants d'une autre planète qui sont venus par désespoir dans le Bayan-Kara-Ula, chaîne de montagne.
L'étrange message spiroïdal racontait comment les paisibles intentions des aliens avaient été méconnues et comment ils avaient été chassés en bas et tués par des membres de la tribu des "Ham", qui vécut dans les grottes voisines. Selon Tsum Um Nui, une des lignes des hyéroglyphes signifie : "Les Dropas vinrent à bord de leur avion des nuages. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent dans les grottes dix temps avant l'aube. Quand nous avons enfin compris la langue des signes des Dropas, nous avons réalisé qu'ils étaient pacifiques".
Une autre section exprimait des regrets de la part des "Ham" qui avaient assistés à l'accident de la sonde qui avait atterrit en catastrophe sur cette montagne aussi reculée qu'inaccessible et qui, de ce fait empêchait les dropas de pouvoir retourner sur leur planète d'origine.
Dans les années qui suivirent la découverte du premier disque, des archéologues et anthropologues avaient étudiés la superficie aux alentours de Bayan-Kara-Ula et beaucoup d'informations collectées corroboraient l'étrange histoire enregistrée sur ce disque.
En effet, il existait une légende dans cette région racontant une histoire de petites êtres tout jaunes qui étaient venus des nuages il y a très très longtemps... Ils avaient des têtes énormes et un corps chétif et ils étaient si laids et répugnants qu'ils avaient été poursuivis par la tribu locale à dos de cheval.
Etrangement, la description des "envahisseurs concordait avec les squelettes découverts par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs de la grotte, les archélogues avaient découvert des images (dessins) du Soleil d'Hausse, de la lune, d'une indescriptible figure de la terre... tous étaient reliés par une ligne formée de points. Tout comme les disques, ces dessins avaient été daté de la même époque...ils étaient vieux de 12 000 ans.
Les alentours de la grotte étaient habités par deux tribus semi-troglodyte, connue comme les "ham" et "dropas" et ils étaient eux-mêmes liés à la légende. L'homme de cette tribu était frêle et mesurait près de cinq pieds de haut et n'était ni typiquement chinois ni tibétain.
Même avec les publications de la traduction du professeur Tsum Um Nui, l'histoire du disque de l'espace n'était pas forcément correcte. Les scientifiques russes ont demandé à voir les disques et plusieurs ont été envoyés à Moscou pour examen.
Ils ont été grattés et ont révélés des particules de roches qui ont ensuite été analysées chimiquement. Oh surprise...les scientifiques ont trouvés une grande somme de cobalt et d'autres substances métalliques... quand ils placèrent les disques sur une platine spéciale, selon le Dr Vyatcheslav Saizev qui décrivait les expériences dans le magazine soviétique "Spoutnik", ils vibraient ou vrombissaient dans un inhabituel rythme, comme s'ils étaient chargés en électricité...ou comme le suggérait un autre scientifique, "comme s'ils formaient une certaine partie d'un circuit électrique".
Parmi la collection de récits d' anciennes civilisations nous rapportant la visites d'extraterrestres,les disques des Dropas seraient la première preuve materiel et tangible de ce genre d'histoires. En 1938 dans les montagnes de Baian-Kara-Ula, sur la frontière entre la Chine et le Tibet.
Un dessin d'un disque effectué par les archéologues chinois...
Chi Pu Tei, professeur d'archéologie à l'Université de Pékin,part en expédition avec des anciens élèves pour explorer certaines cavernes reculées dans ces montagnes presque inabordables et découvre qu'elles ont de toute évidence été occupées par un peuple primitif !Si le professeur decide d'explorer ces grottes c'est parce que certains temoins lui avouerent qu'elles etaient artificielle,remplie de tunnels et de chambres sousterraines.
Sur les lieux Chi Pu Tei, découvrit que les parois des cavernes étaient effectivement lisses et polies comme creusés à chaud dans la roche.
A l'interieur plusieurs tombes anciennes contenant des squelettes mesurant à peine plus d'un mètre de haut, avec une tête disproportionnees.Sur les parois, on decouvrit des pictogrammes représentant le soleil, la Lune,des étoiles, la Terre, avec des lignes qui les connectaient,mais la découverte la plus incroyable fut un disque de 30 centimètres de diamètre avec au centre une ouverture parfaite,circulaire de 3 centimètres, il était orné d'un sillon en spirale qui n'etait autre qu'une forme d'ecriture.
Daté de 10.000 à 12.000 ans 715 autres disques furent découverts.
En 1968, les disques des Dropas éveillèrent l'attention d' un scientifique Russe,W. Saitsev,des tests et des mesures montrèrent des propriétés troublantes,de consistance granitique ils contenaient de fortes concentrations de cobalt ils étaient donc impossible qu'ils soient l'oeuvre d'un peuple primitif,particulierement au niveau des caractères gravés.en testant un disque avec un oscillographe, une oscillation reguliere fut enregistrée comme s'ils avaient été par le passé chargé électriquement ou agit comme conducteur électriques.
C'est en 1962 qu'un autre scientifique chinois,le docteur Tsum Um Nui , déchiffra le message des disques, un message si choquant que le département des études préhistoriques de l'Académie de Pékin en interdit la publication mais elle se fit tout de meme pensant probablement que le peuple zetetique reussirait à convaicre de l'abrutissement de telles decouvertes reservee à quelques archeologue en herbe en mal de publicite,rappelons tout de meme que les faits se passe dans les annees 60 sous la chape de plomb du dogme communiste.Les disques de pierre etaient endommagees et le professeur decidai de les transcrire sur papier.
La transcription terminée, le docteur Tsum Um Nui s'attela à la traduction,il s'assit quoique ,le message etait celui d'un peuple nommait les Dropas.
le docteur Tsum Um Nui publia ses decouvertes et le peuple zetetique impitoyablement le ramena dans le monde domine des cultivateurs du doute,le monde ne devait pas savoir!
L'écriture concentrique concernant des vaisseaux spatiaux parut deux ans plus tard.
Les disques des Dropas...
Les disques racontent l'histoire d'un vaisseau d'exploration spatiale qui vint sur Terre il y a 12.000 ans et s'ecrasa dans les les montagnes de Baian-Kara-Ula,les Dropas, trouvèrent refuge dans les cavernes de la montagne mais malgre des intentions pacifiques, les Dropas furent agressés par la tribu de Ham qui vivaient dans la région et occupaient également des caverneset en tuèrent certain.
"Nous, les Dropas, sommes venus depuis les nuages dans notre vaisseau céleste. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent pendant 10 jours dans les cavernes. Quand enfin les Hams comprirent notre langage par signes, ils réalisèrent que nous, nouveaux arrivants, avions des intentions pacifiques..."
les Dropas n'avaient aucun moyen de réparer leur vaisseau,exilés sur Terre que devinrent leur descendant ?
Une ancienne légende chinoise parle de petits êtres mince à la peau jaune qui vinrent sur Terre depuis les nuages et qui furent chassé à cause de leur laideur, aujourd'hui ces régions isolées sont occupées par deux tribus,nommees les Dropas et les Hans. Les anthropologues n'arrivent pas à les classer dans une des familles de l'espece humaine et les assimilent à celle des pygmées.
C'est une incroyable histoire car elle n'a pas été médiatisée et la découverte fut faite dans un pays ou ce genre de faits devaient rester aux oubliettes...
Re: Dropa, Chine et crash d’ovni il y a 12000 ans…
Dans les hauteurs des montagnes de BayanKara-Ula, aux frontières de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues entreprît une inspection particulièrement détaillée d'une série de grottes connectées entre elles. Leur intérêt fut excité par la découverte de séries de tombes alignées contenant les squelettes d'une race d'humains bien étrange ; étrange par leurs corps frêles et de leurs têtes larges et surdéveloppées. On pensa au début que les cavernes avaient été le foyer d'une espèce inconnue de primates. Mais comme le chef de l'expédition, archéologue Chinois, le professeur Chi Pu Tei, l'indiqua : Qui a déjà entendu parler de singes enterrant leurs congénères ? Ce fut lors de l'étude des squelettes qu'un membre de l'équipe tomba sur un grand disque de pierre, à moitié enfoui dans la poussière sur le sol de la grotte. L'équipe se rassembla autour de la découverte, le tournant d'une manière puis d'une autre. Cela ressemblait, de manière absurde, à une sorte de disque pour gramophone de l'âge de pierre. Il y avait un trou en son centre et une fine canelure en spirale partait vers la bordure. Une inspection plus minutieuse cependant, montra que la rainure était, en fait, une ligne continue en spirale continue d'inscriptions en caractères. L'objet était bien un “enregistrement”… à plus d'un titre. Personne à l'époque, c'était en 1938, ne possédait la clé de cet incroyable message. Le disque fut étiquetté et archivé parmi d'autres objets découverts dans la zone. Même ceux qui connaissaient son existence ne savaient rien de sa signification.
De nombreux experts tentèrent de traduire les hiéroglyphes durant les 20 ans que le disque passa à Peking. Tous échouèrent. Jusqu'à ce qu'un autre professeur, le docteur Tsum Um Nui, brisa le code et commença à déchiffrer les “rainures parlantes” et permit de realiser quelles extraordinaires implications révélait le disque. Réalisé, en fait, par seulement quelques individus sélectionné. Le monde de l'extérieur restait toujours, lui, dans l'ignorance. Les conclusions du professeur sur la signification du disque furent si fracassantes qu'elle furent officiellement supprimées. L'Académie de préhistoire de Peking lui interdit de publier ses découvertes. 2 ans plus tard, en 1965, le professeur et 4 de ses collègues obtiennent finalement la permission de révéler leur théorie. Elle apparaît sous le long mais intriguant titre, Le texte taillé concernant les Vaisseaux spatiaux qui, selon les Disques, atterrirent sur Terre il y a 12000 ans. Les “enregistrements”, 716 de disques taillés furent plus tard découverts dans les mêmes grottes, racontaient l'histoire étonnante de la “sonde spatiale” d'habitants d'une autre planète qui vint s'écraser dans la zone montagneuse de Bayan-Kara-Ula. L'étrange texte en spirale indiquait comment les intentions pacifiques des “visiteurs” furent mal comprises et comment nombre d'entre eux furent pourchassés et tués par la tribu des Hams, qui vivaient dans des cavernes proches.
D'après Tsum Um Nui, une des lignes de hiéroglyphes indique, Les Dropas descendirent des nuages dans leur appareil aérien. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent dans les grottes 10 fois avant le lever du Soleil. Lorsqu'à la fin ils comprirent le langage de signes des Dropas, ils surent que les nouveaux venus avaient des intentions de paix… Une autre section exprime le “regret” de la tribu Ham que le vaisseau de visiteurs se soit écrasé dans des montagnes si éloignées et difficilement accessible et qu'il n'y ait pas de moyen d'en construire un nouveau pour que les Dropas puissent retourner sur leur planète. Dans les années qui suivirent la découverte du 1er disque, archéologues et anthropologues en apprirent plus sur la région isolée de de Bayan-Kara-Ula. Et beaucoup d'informations semblèrent corroborer l'étrange histoire racontée par les disques. La légende existe toujours dans la région, parlant d'hommes petits, frèles, au visage jaune qui arrivent depuis les nuages, il y a très, très longtemps. Ces hommes avaient de grosses têtes protubérantes et des corps chétifs, et étaient si horribles et repoussants qu'ils furent pourchassés à cheval par les hommes des tribus locales. Etrangement, la description des “envahisseurs” correspondaient aux squelettes découverts à l'origine dans les cavernes par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs des grottes elle-mêmes les archéologues découvrirent des représentations primitives du Soleil levant, de la Lune, d'étoiles non identifiables et de la Terre… tous reliés par des lignes de points de la taille de petits pois. Comme les disques, les dessins des grottes furent datés d'environ 12000 ans.
La grotte était toujours habitée par 2 tribus semi-troglodytes connues sous le nom de Hams et Dropas, eux-même d'apparence particulièrement bizarre. Les fragiles et chétifs membres de la tribu ne mesuraient en moyenne que 5 pieds de haut et n'étaient ni typiquement chinois ou tibétains. Leur origine raciale, indique un expert, est un mystère. Mais même avec les publications de l'incroyable traduction du professeur Tsum Um Nui's, l'histoire des disques de l'espace n'était pas terminée. Des scientifiques russes demandèrent à voir les disques et certains furent envoyés à Moscou pour être examinés. Ils furent débarassés des particules minérales qui s'y étaient collées puis soumis à une analyse chimique. A la surprise des scientifiques, on trouva qu'ils contenaient de grandes quantités de cobalt et d'autres substances metalliques. Ce n'était pas tout. Lorsqu'ils étaient placés sur une platine spéciale, d'après le docteur Vyatcheslav Saizev, qui décrivit les expérimentations dans le magazine soviétique Sputnik, ils vibraient ou “bourdonnaient” selon un rythme inhabituel comme si une charge électrique les traversaient. Ou comme l'un des scientifiques le suggera, comme s'ils formaient une partie d'un circuit électrique. Il est clair qu'ils furent exposés à un moment à un voltage extraordinairement élevé.
Les disques racontent-ils vraiment la mission spatiale avortée d'astronautes extraterrestres il y a 12 000 ans de cela ? Pratiquement tous les principaux “spéculateurs des théories de l'espace”, des théoristes tels que Erich von Daniken et Peter Kolosimo, le pensent. Si l'on accepte l'idée selon laquelle des extraterrestres ont déjà dû visiter la Terre, alors vient l'idée que certaines de leurs sondes spatiales peuvent avoir eu des problèmes et que les astronautes à bord ont dû être détruits.
Les disques de pierre de Baian-Kara-Ula
Ce rapport est basé sur les écrits de MM. J. Drendl et H. Hausdorf de l'AAS. Les informations présentées ici sont issues d'une recherche approfondie mais prétendent pas être exhaustives ou précises. Toutes les images sont la propriétées de l'AAS.
Sommaire :
•1937 : Découverte des disques de pierre
•1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
•1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
•1995 : Une preuve ethnologique ?
1937 : Découverte des disques de pierre
Au cours d'une expédition dans la région montagneuse difficilement accessible de Baian-Kara-Ula située à la frontière du Tibet et de la Chine, l'archéologue chinois Chi Pu Tei découvrit un certain nombre de grottes funéraires contenant d'étranges squelettes, grands seulement de 4 pieds 4 pouces, dont les têtes étaient disproportionnées par rapport à leur carrure menue. Dans chacune des 716 grottes au total il découvrit un disque de pierre d'un diamètre approximatif de 1 pieds et de l'épaisseur de 1/3 de pouce. Ces disques étaient gravés avec des inscriptions d'origine alors inconnue. Chi Pu Tei publia ses découvertes en indiquant que les squelettes étaient ceux de gorilles des montagnes et que les disques avaient été ajoutés par les cultures suivantes, ce qui le ridiculisa au yeux de la communauté des archéologues chinois.
1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
Peu après la seconde guerre mondiale, le professeur polonais Lolladoff montra un disque étrange au scientifique anglais et docteur Karyl Robin-Evans. Lolladoff déclare avoir acheté le disque à Mussorie (Inde du nord) et qu'il est supposé provenir d'un peuple mystérieux appelé les “Dzopa” qui l'a utilisé pour des rites religieux.
En 1947 le docteur Robin-Evans effectua un voyage pour le pays mystérieux des Dzopas, traversant Lhasa (Tibet) où il obtint une audience avec le 14ème Dalai Lama. Sur la route de cette région particulièrement difficile d'accès du nord-est de l'Himalaya, le scientifique anglais fut abandonné par ses porteurs tibétains, particulièrement effrayés par Baian-Kara-Ula, et ce ne fut qu'au terme d'un incroyable effort qu'il réussit à gagner sa destination. Après avoir gagné la confiance des indigènes, le docteur Karyl Robin-Evans reçu les enseignements d'un professeur de langue locale qui lui appris les bases de la langue Dzopa et il apprit de Lurgan-La, gardien de la religion des Dzopa, l'histoire des Dzopas. Lurgan-La indiqua qu'ils (les Dzopas) venaient originellement d'un planète du système de Sirius. Ils avaient entrepris, il y a environ 20000 puis en l'année 1014, 2 missions d'exploration sur Terre. En 1014 eu lieu un crash qui ne permit pas aux survivants de l'accident de repartir de la Terre.
Cette image prise par le docteur Karyl Robin-Evans montre le couple de chefs des Dzopas, Hueypah-La (mesurant 4 pieds) et Veez-La (mesurant 3 pieds 4 pouces).
Le couple royal Dropa Hueypah-La (1,20 m) et Veez-La (1 m) en costume traditionnel, photographié par le docteur Karyl Robin-Evans lors de son expédition de 1947
Le docteur Karyl Robin-Evans déceda en 1974. Le rapport ci-dessus fut publié en 1978.
Remarques :
•Les Dzopas sont souvent appelés Dropas. Ceci parce que le son de la seconde consonne est entre le “Z” et le “R”.
•Le Tibet n'étant pas sous tutelle chinoise en 1947, le voyage du docteur Robin-Evans pu facilement être entrepris.
•Il est très possible que le docteur Robin-Evans ait été reçu par un “lineholder” au lieu du Dalai Lama lui-même, fait qui peut être exploité pour vérifier l'exactitude du récit du docteur Robin-Evans.
•Le rapport du docteur Robin-Evans date le crash à l'année 1014, toutes les autres sources parlant au contraire d'un crash ayant eu lieu il y a 12000 ans de cela. Cette divergence reste inexpliquée à ce jour.
•D'après l'histoire de Lurgan-La les Dzopas seraient les descendants directs d'”étrangers” voyageurs de l'espace.
1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
En 1968 le scientifique russe W. Saitsew publia un article à sensation déclenchant un grand intérêt quant au sujet des extraterrestres ayant visité la Terre par le passé. Certaines informations présentées dans son article étaient basées sur les travaux qu'effectua le professeur Tsum Um Nui en 1962.
1962 : Professeur Tsum Um Nui
En 1962 le professeur Tsum Um Nui entreprit de décoder et traduire partiellement les disques de pierre et publia ses découvertes, qui furent si extraordinaires que l'adadémie des sciences de Pekin interdit tout d'abord leur publication. Le rapport du professeur Tsum Um Nui racontait l'histoire d'un groupe d'individus, appelés les Dropas, dont le vaisseau spatial s'était écrasé dans les montagnes Baian-Kara-Ula il y a 12 000 ans de cela et qui, après avoir réalisé l'impossibilité de quitter la Terre à nouveau, avait dû supporter un environnement assez hostile afin de survivre. Le professeur Tsum Um Nui publia son rapport après en avoir reçu la permission de l'académie, ce qui lui valut la moquerie de nombreux archéologues. Attristé par ces événements, le professeur Tsum Um Nui émigra au Japon, où il mourut en 1965.
Remarques :
•Tsum Um Nui ne semble pas être un nom chinois mais plutôt la transcription phonétique d'un nom d'origine japonaise.
•Aucune minorité ethologique du nom de “Dropa” ou “Dzopa” n'est recensée en Chine.
1968 : Article “science ou fantasme” de W. Saitsew
A la frontière du Tibet et de la Chine se trouve la zone de grottes des montagnes Baian-Kara-Ula. Il y a 25 ans, les découvertes remarquables de tablettes avec des écritures et des hiéroglyphes furent faites à cet endroit. Il y a de cela quelques milliers d'années un peuple dont l'aspect n'est que peu familier aux archéologues chinois, a découpé dans le granit des disques de pierre semblables à ceux d'un phonographe, à l'aide d'outils complètement inconnus. Les 716 disques de pierre retrouvés jusqu'ici ont un trou en leur centre exactement comme l'ont les disques d'un phonographe. De là, en spirale jusqu'à la bordure, partent des doubles rainures. Ce rainures ne correspondent pas bien sûr à des pistes sons mais plutôt au système d'écriture le plus particulier jamais découvert en Chine et Peut-être dans le monde entier. Cela prit aux archéologues et scientifiques plus de 2 décennies pour les déchiffrer. Leur contenu est si fantastique que l'académie de préhistoire de Beijing ne voulu pas publier le rapport du professeur scientifique Tsum Um Nui au départ. Backed by four colleagues, archeologist Tsum Um Nui stated : le texte gravé parle de véhicules aériens qui, d'après les disques de pierre, furent là il y a 12000 ans. A un moment, il dit litéralement : Les Dropas descendirent des nuages avec leurs planneurs aériens. Par dix fois les hommes, femmes et enfants de Khams se cachèrent dans les grottes jusqu'au lever du Soleil. Puis ils comprirent les signes et virent que les Dropas venaient cette fois en paix.
Les découvertes des races Dropa et Kham avaient déjà été faites dans ces grottes des montagnes. Les archéologues avaient été incapables de classer ethnologiquement ces humains 4 pieds et 4 pouces de haut. Il n'y a aucune similarité avec les chinois, les mongols ou les tibétains. On pourrait bien sûr suggérer qu'il y a quelques années un Kham instruit voulu faire une blague, ou qu'il s'agissait plutôt d'une supersistion lorsqu'il parla d'appareils volants. Mais alors, que dire du récit, toutes sensations exclues, raconté dans d'autres bas-reliefs hiéroglyphiques à propos du lourd deuil de leur propre flotte aérienne au cours d'un atterrissage dans les montagnes difficilement accessibles et de l'impossibilité de réparer.
Les hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula semblent être si mystérieux pour l'archéologie chinoise que celle-ci ne les utilisa que d'une manière extrêmement scientifique. En une occasion une découverte sensationelle fut faite. Les disques contenaient beaucoup de cobalt et d'autres métaux. Lorsqu'ils testèrent un disque avec une oscillographe un rythme oscillatoire surprenant fut découvert, comme si les disques et leurs écritures gravées avaient été chargés ou avaient fonctionné comme des conducteurs électriques. Personne ne peut dire ce qu'il y a derrière ces disques de pierre de 12000 ans. Des suppositions seraient trop risquées et pas assez objectives. Mais on se souvient de ce vieux conte chinois à propos d'un peuple jeune et chétif qui vint des nuages et fut fuit par tout le monde en raison de leur apparence hiddeuse, de grande tête larges et des corps très frèles, et pourchassés par les hommes aux chevaux rapides (les Mongols ?). En fait il y eu découverte de tombes et de squelettes restés dans ces grottes depuis 12000 ans et il est également un fait que ces découvertes, classées comme reliques des races Dropa et Kham, portaient les signes de la carrure d'un petit corps et de très grandes têtes. Le 1er rapport archeologique parle d'une espèce éteinte de gorilles des montagnes. Mais quelqu'un a-t-il déjà entendu parler de tombes de singes alignées et de tablettes écrites ? En 1940 l'archéologue Chi Pu Tei fut largement ridiculisé pour avoir fait de telles déclarations. Mais Chi Pu Tei se défendit en déclarant que les disques de pierres avaient été apportés par les cultures suivantes.
Tout ceci est plutôt confus, mais ne change rien quant au mystère hiéroglyphique de Baian-Kara-Ula, qui se complique encore par le fait que les murs des grottes présentaient des figures sculptées des tablettes d'écriture, et à divers endroit le Soleil levant, la Lune et des étoiles, entre lesquels des séries de points de la taille d'un petit-pois descendaint vers les montagnes et la Terre selon des courbes gracieuses.
Le texte ci-dessus est une traduction de l'article originellement écrit par W. Saitsew, modifié en aucune façon.
1995 : Une preuve ethnologique ?
En 1995 des nouvelles remarquables vinrent de Chine : dans la province de Sichuan, située du côté est des montagnes Baian-Kara-Ula, 120 membres d'une tribu jusqu'ici ethnologiquement non classée furent découverts. L'aspect le plus important de cette nouvelle tribu est la taille de ses membres : pas plus grands que 3 pieds 10 pouces, le plus petit adulte mesurant seulement 2 pieds 1 pouce !
Cette découverte pourrait être la première preuve solide de l'existence des Dropas/Dzopas - un peuple dont les ancêtres sont supposés être venu de l'espace.
source inconnue....
De nombreux experts tentèrent de traduire les hiéroglyphes durant les 20 ans que le disque passa à Peking. Tous échouèrent. Jusqu'à ce qu'un autre professeur, le docteur Tsum Um Nui, brisa le code et commença à déchiffrer les “rainures parlantes” et permit de realiser quelles extraordinaires implications révélait le disque. Réalisé, en fait, par seulement quelques individus sélectionné. Le monde de l'extérieur restait toujours, lui, dans l'ignorance. Les conclusions du professeur sur la signification du disque furent si fracassantes qu'elle furent officiellement supprimées. L'Académie de préhistoire de Peking lui interdit de publier ses découvertes. 2 ans plus tard, en 1965, le professeur et 4 de ses collègues obtiennent finalement la permission de révéler leur théorie. Elle apparaît sous le long mais intriguant titre, Le texte taillé concernant les Vaisseaux spatiaux qui, selon les Disques, atterrirent sur Terre il y a 12000 ans. Les “enregistrements”, 716 de disques taillés furent plus tard découverts dans les mêmes grottes, racontaient l'histoire étonnante de la “sonde spatiale” d'habitants d'une autre planète qui vint s'écraser dans la zone montagneuse de Bayan-Kara-Ula. L'étrange texte en spirale indiquait comment les intentions pacifiques des “visiteurs” furent mal comprises et comment nombre d'entre eux furent pourchassés et tués par la tribu des Hams, qui vivaient dans des cavernes proches.
D'après Tsum Um Nui, une des lignes de hiéroglyphes indique, Les Dropas descendirent des nuages dans leur appareil aérien. Nos hommes, femmes et enfants se cachèrent dans les grottes 10 fois avant le lever du Soleil. Lorsqu'à la fin ils comprirent le langage de signes des Dropas, ils surent que les nouveaux venus avaient des intentions de paix… Une autre section exprime le “regret” de la tribu Ham que le vaisseau de visiteurs se soit écrasé dans des montagnes si éloignées et difficilement accessible et qu'il n'y ait pas de moyen d'en construire un nouveau pour que les Dropas puissent retourner sur leur planète. Dans les années qui suivirent la découverte du 1er disque, archéologues et anthropologues en apprirent plus sur la région isolée de de Bayan-Kara-Ula. Et beaucoup d'informations semblèrent corroborer l'étrange histoire racontée par les disques. La légende existe toujours dans la région, parlant d'hommes petits, frèles, au visage jaune qui arrivent depuis les nuages, il y a très, très longtemps. Ces hommes avaient de grosses têtes protubérantes et des corps chétifs, et étaient si horribles et repoussants qu'ils furent pourchassés à cheval par les hommes des tribus locales. Etrangement, la description des “envahisseurs” correspondaient aux squelettes découverts à l'origine dans les cavernes par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs des grottes elle-mêmes les archéologues découvrirent des représentations primitives du Soleil levant, de la Lune, d'étoiles non identifiables et de la Terre… tous reliés par des lignes de points de la taille de petits pois. Comme les disques, les dessins des grottes furent datés d'environ 12000 ans.
La grotte était toujours habitée par 2 tribus semi-troglodytes connues sous le nom de Hams et Dropas, eux-même d'apparence particulièrement bizarre. Les fragiles et chétifs membres de la tribu ne mesuraient en moyenne que 5 pieds de haut et n'étaient ni typiquement chinois ou tibétains. Leur origine raciale, indique un expert, est un mystère. Mais même avec les publications de l'incroyable traduction du professeur Tsum Um Nui's, l'histoire des disques de l'espace n'était pas terminée. Des scientifiques russes demandèrent à voir les disques et certains furent envoyés à Moscou pour être examinés. Ils furent débarassés des particules minérales qui s'y étaient collées puis soumis à une analyse chimique. A la surprise des scientifiques, on trouva qu'ils contenaient de grandes quantités de cobalt et d'autres substances metalliques. Ce n'était pas tout. Lorsqu'ils étaient placés sur une platine spéciale, d'après le docteur Vyatcheslav Saizev, qui décrivit les expérimentations dans le magazine soviétique Sputnik, ils vibraient ou “bourdonnaient” selon un rythme inhabituel comme si une charge électrique les traversaient. Ou comme l'un des scientifiques le suggera, comme s'ils formaient une partie d'un circuit électrique. Il est clair qu'ils furent exposés à un moment à un voltage extraordinairement élevé.
Les disques racontent-ils vraiment la mission spatiale avortée d'astronautes extraterrestres il y a 12 000 ans de cela ? Pratiquement tous les principaux “spéculateurs des théories de l'espace”, des théoristes tels que Erich von Daniken et Peter Kolosimo, le pensent. Si l'on accepte l'idée selon laquelle des extraterrestres ont déjà dû visiter la Terre, alors vient l'idée que certaines de leurs sondes spatiales peuvent avoir eu des problèmes et que les astronautes à bord ont dû être détruits.
Les disques de pierre de Baian-Kara-Ula
Ce rapport est basé sur les écrits de MM. J. Drendl et H. Hausdorf de l'AAS. Les informations présentées ici sont issues d'une recherche approfondie mais prétendent pas être exhaustives ou précises. Toutes les images sont la propriétées de l'AAS.
Sommaire :
•1937 : Découverte des disques de pierre
•1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
•1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
•1995 : Une preuve ethnologique ?
1937 : Découverte des disques de pierre
Au cours d'une expédition dans la région montagneuse difficilement accessible de Baian-Kara-Ula située à la frontière du Tibet et de la Chine, l'archéologue chinois Chi Pu Tei découvrit un certain nombre de grottes funéraires contenant d'étranges squelettes, grands seulement de 4 pieds 4 pouces, dont les têtes étaient disproportionnées par rapport à leur carrure menue. Dans chacune des 716 grottes au total il découvrit un disque de pierre d'un diamètre approximatif de 1 pieds et de l'épaisseur de 1/3 de pouce. Ces disques étaient gravés avec des inscriptions d'origine alors inconnue. Chi Pu Tei publia ses découvertes en indiquant que les squelettes étaient ceux de gorilles des montagnes et que les disques avaient été ajoutés par les cultures suivantes, ce qui le ridiculisa au yeux de la communauté des archéologues chinois.
1947 : Expédition du docteur Karyl Robin-Evans
Peu après la seconde guerre mondiale, le professeur polonais Lolladoff montra un disque étrange au scientifique anglais et docteur Karyl Robin-Evans. Lolladoff déclare avoir acheté le disque à Mussorie (Inde du nord) et qu'il est supposé provenir d'un peuple mystérieux appelé les “Dzopa” qui l'a utilisé pour des rites religieux.
En 1947 le docteur Robin-Evans effectua un voyage pour le pays mystérieux des Dzopas, traversant Lhasa (Tibet) où il obtint une audience avec le 14ème Dalai Lama. Sur la route de cette région particulièrement difficile d'accès du nord-est de l'Himalaya, le scientifique anglais fut abandonné par ses porteurs tibétains, particulièrement effrayés par Baian-Kara-Ula, et ce ne fut qu'au terme d'un incroyable effort qu'il réussit à gagner sa destination. Après avoir gagné la confiance des indigènes, le docteur Karyl Robin-Evans reçu les enseignements d'un professeur de langue locale qui lui appris les bases de la langue Dzopa et il apprit de Lurgan-La, gardien de la religion des Dzopa, l'histoire des Dzopas. Lurgan-La indiqua qu'ils (les Dzopas) venaient originellement d'un planète du système de Sirius. Ils avaient entrepris, il y a environ 20000 puis en l'année 1014, 2 missions d'exploration sur Terre. En 1014 eu lieu un crash qui ne permit pas aux survivants de l'accident de repartir de la Terre.
Cette image prise par le docteur Karyl Robin-Evans montre le couple de chefs des Dzopas, Hueypah-La (mesurant 4 pieds) et Veez-La (mesurant 3 pieds 4 pouces).
Le couple royal Dropa Hueypah-La (1,20 m) et Veez-La (1 m) en costume traditionnel, photographié par le docteur Karyl Robin-Evans lors de son expédition de 1947
Le docteur Karyl Robin-Evans déceda en 1974. Le rapport ci-dessus fut publié en 1978.
Remarques :
•Les Dzopas sont souvent appelés Dropas. Ceci parce que le son de la seconde consonne est entre le “Z” et le “R”.
•Le Tibet n'étant pas sous tutelle chinoise en 1947, le voyage du docteur Robin-Evans pu facilement être entrepris.
•Il est très possible que le docteur Robin-Evans ait été reçu par un “lineholder” au lieu du Dalai Lama lui-même, fait qui peut être exploité pour vérifier l'exactitude du récit du docteur Robin-Evans.
•Le rapport du docteur Robin-Evans date le crash à l'année 1014, toutes les autres sources parlant au contraire d'un crash ayant eu lieu il y a 12000 ans de cela. Cette divergence reste inexpliquée à ce jour.
•D'après l'histoire de Lurgan-La les Dzopas seraient les descendants directs d'”étrangers” voyageurs de l'espace.
1968 : W. Saitsew et le professeur Tsum Um Nui
En 1968 le scientifique russe W. Saitsew publia un article à sensation déclenchant un grand intérêt quant au sujet des extraterrestres ayant visité la Terre par le passé. Certaines informations présentées dans son article étaient basées sur les travaux qu'effectua le professeur Tsum Um Nui en 1962.
1962 : Professeur Tsum Um Nui
En 1962 le professeur Tsum Um Nui entreprit de décoder et traduire partiellement les disques de pierre et publia ses découvertes, qui furent si extraordinaires que l'adadémie des sciences de Pekin interdit tout d'abord leur publication. Le rapport du professeur Tsum Um Nui racontait l'histoire d'un groupe d'individus, appelés les Dropas, dont le vaisseau spatial s'était écrasé dans les montagnes Baian-Kara-Ula il y a 12 000 ans de cela et qui, après avoir réalisé l'impossibilité de quitter la Terre à nouveau, avait dû supporter un environnement assez hostile afin de survivre. Le professeur Tsum Um Nui publia son rapport après en avoir reçu la permission de l'académie, ce qui lui valut la moquerie de nombreux archéologues. Attristé par ces événements, le professeur Tsum Um Nui émigra au Japon, où il mourut en 1965.
Remarques :
•Tsum Um Nui ne semble pas être un nom chinois mais plutôt la transcription phonétique d'un nom d'origine japonaise.
•Aucune minorité ethologique du nom de “Dropa” ou “Dzopa” n'est recensée en Chine.
1968 : Article “science ou fantasme” de W. Saitsew
A la frontière du Tibet et de la Chine se trouve la zone de grottes des montagnes Baian-Kara-Ula. Il y a 25 ans, les découvertes remarquables de tablettes avec des écritures et des hiéroglyphes furent faites à cet endroit. Il y a de cela quelques milliers d'années un peuple dont l'aspect n'est que peu familier aux archéologues chinois, a découpé dans le granit des disques de pierre semblables à ceux d'un phonographe, à l'aide d'outils complètement inconnus. Les 716 disques de pierre retrouvés jusqu'ici ont un trou en leur centre exactement comme l'ont les disques d'un phonographe. De là, en spirale jusqu'à la bordure, partent des doubles rainures. Ce rainures ne correspondent pas bien sûr à des pistes sons mais plutôt au système d'écriture le plus particulier jamais découvert en Chine et Peut-être dans le monde entier. Cela prit aux archéologues et scientifiques plus de 2 décennies pour les déchiffrer. Leur contenu est si fantastique que l'académie de préhistoire de Beijing ne voulu pas publier le rapport du professeur scientifique Tsum Um Nui au départ. Backed by four colleagues, archeologist Tsum Um Nui stated : le texte gravé parle de véhicules aériens qui, d'après les disques de pierre, furent là il y a 12000 ans. A un moment, il dit litéralement : Les Dropas descendirent des nuages avec leurs planneurs aériens. Par dix fois les hommes, femmes et enfants de Khams se cachèrent dans les grottes jusqu'au lever du Soleil. Puis ils comprirent les signes et virent que les Dropas venaient cette fois en paix.
Les découvertes des races Dropa et Kham avaient déjà été faites dans ces grottes des montagnes. Les archéologues avaient été incapables de classer ethnologiquement ces humains 4 pieds et 4 pouces de haut. Il n'y a aucune similarité avec les chinois, les mongols ou les tibétains. On pourrait bien sûr suggérer qu'il y a quelques années un Kham instruit voulu faire une blague, ou qu'il s'agissait plutôt d'une supersistion lorsqu'il parla d'appareils volants. Mais alors, que dire du récit, toutes sensations exclues, raconté dans d'autres bas-reliefs hiéroglyphiques à propos du lourd deuil de leur propre flotte aérienne au cours d'un atterrissage dans les montagnes difficilement accessibles et de l'impossibilité de réparer.
Les hiéroglyphes de Baian-Kara-Ula semblent être si mystérieux pour l'archéologie chinoise que celle-ci ne les utilisa que d'une manière extrêmement scientifique. En une occasion une découverte sensationelle fut faite. Les disques contenaient beaucoup de cobalt et d'autres métaux. Lorsqu'ils testèrent un disque avec une oscillographe un rythme oscillatoire surprenant fut découvert, comme si les disques et leurs écritures gravées avaient été chargés ou avaient fonctionné comme des conducteurs électriques. Personne ne peut dire ce qu'il y a derrière ces disques de pierre de 12000 ans. Des suppositions seraient trop risquées et pas assez objectives. Mais on se souvient de ce vieux conte chinois à propos d'un peuple jeune et chétif qui vint des nuages et fut fuit par tout le monde en raison de leur apparence hiddeuse, de grande tête larges et des corps très frèles, et pourchassés par les hommes aux chevaux rapides (les Mongols ?). En fait il y eu découverte de tombes et de squelettes restés dans ces grottes depuis 12000 ans et il est également un fait que ces découvertes, classées comme reliques des races Dropa et Kham, portaient les signes de la carrure d'un petit corps et de très grandes têtes. Le 1er rapport archeologique parle d'une espèce éteinte de gorilles des montagnes. Mais quelqu'un a-t-il déjà entendu parler de tombes de singes alignées et de tablettes écrites ? En 1940 l'archéologue Chi Pu Tei fut largement ridiculisé pour avoir fait de telles déclarations. Mais Chi Pu Tei se défendit en déclarant que les disques de pierres avaient été apportés par les cultures suivantes.
Tout ceci est plutôt confus, mais ne change rien quant au mystère hiéroglyphique de Baian-Kara-Ula, qui se complique encore par le fait que les murs des grottes présentaient des figures sculptées des tablettes d'écriture, et à divers endroit le Soleil levant, la Lune et des étoiles, entre lesquels des séries de points de la taille d'un petit-pois descendaint vers les montagnes et la Terre selon des courbes gracieuses.
Le texte ci-dessus est une traduction de l'article originellement écrit par W. Saitsew, modifié en aucune façon.
1995 : Une preuve ethnologique ?
En 1995 des nouvelles remarquables vinrent de Chine : dans la province de Sichuan, située du côté est des montagnes Baian-Kara-Ula, 120 membres d'une tribu jusqu'ici ethnologiquement non classée furent découverts. L'aspect le plus important de cette nouvelle tribu est la taille de ses membres : pas plus grands que 3 pieds 10 pouces, le plus petit adulte mesurant seulement 2 pieds 1 pouce !
Cette découverte pourrait être la première preuve solide de l'existence des Dropas/Dzopas - un peuple dont les ancêtres sont supposés être venu de l'espace.
source inconnue....
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