URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF: Les OVNIS vus de près
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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF: Les OVNIS vus de près
URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet.
Le magazine Lumières Dans La Nuit a présenté en 1995 le rapport de l'enquête par Serge Sorinas de France Ufologie:
Le cas est survenu le 3 juin 1992, débutant à 23:30 à Mélesse, code postal 35520, à 12 kilomètres au nord de Rennes, au lieu dit "Le Cormier" sur la voie communale 107 à 1 kilomètre au nord-nord-est du bourg. Cette voie communale est entre la route départementale D26 qui joint Saint-Germain-sur-Ille à Mélesse, qui est approximativement orientée est-ouest. Elle est bordée au sud par un grand pâturage qui est la parcelle 486 du cadastre et qui relève de la ferme du Cormier qui se trouve dans son angle Sud-Est.
Le témoin est une femme mariée ayant demandé l'anonymat, mère de 4 enfants et employée dans une société de [information que je ne communique pas.]
Au moment de l'observation, le ciel était parfaitement dégagé et étoilé et la température était clémente.
Le témoin rentrait chez elle en véhicule Citroën BX après une journée de travail, le trajet étant de 30 kilomètre et un trajet qu'elle effectue depuis des années.
A l'approche du carrefour de la D26 et de la VC 107, en venant de Saint-Germain-sur-Ille, son attention a été attirée par une forte lumière rouge. Cela se trouvait en survol fixe au-dessus d'une haie d'arbre délimitant la parcelle 485 du cadastre contiguë à la parcelle 486.
Elle a été étonnée mais a supposé que cela pourrait être le phare d'avertissement aux avions d'une grue, et elle a poursuivi sa route par la voix communale longeant la parcelle.
En regardant mieux, elle a constaté que la lumière puissante venait de deux "phares" d'un engin en vol stationnaire à cet endroit, et que l'engin avait également un feu blanc à l'arrière.
Par curiosité, elle a ralenti et arrêté sa voiture une centaine de mètres plus loin pour mieux regardé.
L'enquêteur la cite comme disant que lorsqu'elle s'est arrêté l'engin était déjà en place, stationnaire au-dessus d'une ferme, que cela lui a donné l'impression d'observer quelque chose.
Après quelques instants, l'objet s'est mis en route dans la direction du témoin, qui déclare qu'il s'est déplacé vers elle doucement, assez haut au départ, et que quand il s'est abaissé, elle a vraiment vu l'intérieur.
L'objet est descendu à quelques mètres du sol et à une distance qu'elle estimée à 15 mètres d'elle.
L'engin était constitué entièrement de matériau transparent, il n'y avait aucune armature de soutien. Elle a vu de façon certaine ce qu'elle a décrit comme un tableau de bord avec des lumières blanches et vertes, "quelque chose qui est en marche, quand c'est allumé..."
Derrière ce tableau de bord se trouvait une personne chauve avec une combinaison grise qu'elle a bien distingué, y compris que la combinaison comportait un col. Une fois demandée des précisions, elle a indiqué qu'elle n'a pas fait trop attention mais qu'il y avait un visage, une tête sans cheveux, qu'elle a pensé à des manoeuvres militaires parce que la combinaison lui a fait penser à l'armée.
Elle a eu la pensée que ce devait être un hélicoptère mais l'a écarté d'elle-même puisqu'elle roule toujours avec la fenêtre ouverte et aurait du entendre le bruit. Elle est certaine que l'engin n'émettait aucun son puisqu'elle avait coupé la radio pour vérifier [rappel: la voiture est arrêtée à ce moment].
Elle a été gagnée par l'inquiétude puisqu'elle ne trouvait pas d'explication évidente et a commencer à rouler doucement sans affolement. L'engin l'a suivie sur quelque mètres, et tout à coup il n'était plus là. Elle a regardé dans son rétroviseur et n'a plus vu l'engin ni aucune lumière.
Elle a poursuivi son chemin et est arrivée sur la route de Rennes, a D82, qu'elle a parcouru sur 2 kilomètres vers le Sud, et a alors de nouveau repéré l'engin, sous forme d'une lumière rouge, qui s'en allait et était "déjà loin, très loin" sur la tour de Cesson. Elle a trouvé impensable que cet engin ait pu effectuer un trajet d'une telle distance, environ 2 kilomètres en un temps aussi court, estimé à 2 minutes environ.
L'enquêteur précise qu'une confusion avec l'illumination nocturne de la tour émettrice de Cesson est impossible puisque le témoin a également vu la lumière de cette tour, séparément de celle de l'objet.
En se rendant à son travail le lendemain à 14:00, repassant sur les lieux, elle a constaté que la cime d'un arbre où l'engin avait été lors de sa phase stationnaire était complètement morte, comme "cuite", et qu'elle a été pratiquement formelle auprès de l'enquêteur en indiquant n'avoir pas remarquer une telle chose auparavant. L'enquêteur a interrogé les propriétaires de la ferme proche mais s'ils ont trouvé l'état de l'arbre bizarre ils n'avaient pas remarqué son état auparavant. Il a été constaté que le reste de l'arbre était en parfaite santé. Le propriétaire des arbres eux-même était absent et n'a pas pu être interrogé.
Le lendemain de l'observation, elle avait contacté par téléphone la Gendarmerie d'Hédé, surtout dans le but d'obtenir des renseignements sur ce qu'elle avait vu. Sa déposition n'a pas été enregistrée.
Concernant le témoin, aucune suite psychique ou matérielle n'a été relevée pour elle-même.
L'enquêteur précise le témoin lui est apparue comme une personne équilibrée, rationnelle, avec un sens de l'observation très prononcé, que sa vue parait excellente, qu'elle ne porte pas de lunettes et qu'elle voit très bien au loin, ce qu'il a pu constater lors des repérages sur le terrain. Ses estimations des distances ont également pu être confirmée par l'utilisation des cartes.
Sa familiarisation avec la question des OVNIS était impartiale et très limitée, provenant de témoignages entendus et d'émissions de télévisions. Elle a tenu à ce que sa tranquillité soit préservée et n'a reçu l'enquêteur que parce qu'une de ses collègues de travail était une connaissance de l'enquêteur.
Le rapport d'enquête est illustré de photographies des lieux de l'observation et de deux cartes retraçant le trajet du témoin, les différents points d'observation, les localisations et trajectoires supposées de l'OVNI.
Tableau des informations de base:
Récits:
[Ref. ss1:] SERGE SORINAS:
Le magazine Lumières Dans La Nuit a présenté le rapport de l'enquête par Serge Sorinas de France Ufologie:
Le cas est survenu le 3 juin 1992, débutant à 23:30 à Mélesse, code postal 35520, à 12 kilomètres au nord de Rennes, au lieu dit "Le Cormier" sur la voie communale 107 à 1 kilomètre au nord-nord-est du bourg. Cette voie communale est entre la route départementale D26 qui joint Saint-Germain-sur-Ille à Mélesse, qui est approximativement orientée est-ouest. Elle est bordée au sud par un grand pâturage qui est la parcelle 486 du cadastre et qui relève de la ferme du Cormier qui se trouve dans son angle Sud-Est.
Le témoin est une femme mariée ayant demandé l'anonymat, mère de 4 enfants et employée dans une société de [information que je ne communique pas.]
Au moment de l'observation, le ciel était parfaitement dégagé et étoilé et la température était clémente.
Le témoin rentrait chez elle en véhicule Citroën BX après une journée de travail, le trajet étant de 30 kilomètre et un trajet qu'elle effectue depuis des années.
A l'approche du carrefour de la D26 et de la VC 107, en venant de Saint-Germain-sur-Ille, son attention a été attirée par une forte lumière rouge. Cela se trouvait en survol fixe au-dessus d'une haie d'arbre délimitant la parcelle 485 du cadastre contiguë à la parcelle 486.
Elle a été étonnée mais a supposé que cela pourrait être le phare d'avertissement aux avions d'une grue, et elle a poursuivi sa route par la voix communale longeant la parcelle.
En regardant mieux, elle a constaté que la lumière puissante venait de deux "phares" d'un engin en vol stationnaire à cet endroit, et que l'engin avait également un feu blanc à l'arrière.
Par curiosité, elle a ralenti et arrêté sa voiture une centaine de mètres plus loin pour mieux regardé.
L'enquêteur la cite comme disant que lorsqu'elle s'est arrêté l'engin était déjà en place, stationnaire au-dessus d'une ferme, que cela lui a donné l'impression d'observer quelque chose.
Après quelques instants, l'objet s'est mis en route dans la direction du témoin, qui déclare qu'il s'est déplacé vers elle doucement, assez haut au départ, et que quand il s'est abaissé, elle a vraiment vu l'intérieur.
L'objet est descendu à quelques mètres du sol et à une distance qu'elle estimée à 15 mètres d'elle.
L'engin était constitué entièrement de matériau transparent, il n'y avait aucune armature de soutien. Elle a vu de façon certaine ce qu'elle a décrit comme un tableau de bord avec des lumières blanches et vertes, "quelque chose qui est en marche, quand c'est allumé..."
Derrière ce tableau de bord se trouvait une personne chauve avec une combinaison grise qu'elle a bien distingué, y compris que la combinaison comportait un col. Une fois demandée des précisions, elle a indiqué qu'elle n'a pas fait trop attention mais qu'il y avait un visage, une tête sans cheveux, qu'elle a pensé à des manoeuvres militaires parce que la combinaison lui a fait penser à l'armée.
Elle a eu la pensée que ce devait être un hélicoptère mais l'a écarté d'elle-même puisqu'elle roule toujours avec la fenêtre ouverte et aurait du entendre le bruit. Elle est certaine que l'engin n'émettait aucun son puisqu'elle avait coupé la radio pour vérifier [rappel: la voiture est arrêtée à ce moment].
Elle a été gagnée par l'inquiétude puisqu'elle ne trouvait pas d'explication évidente et a commencer à rouler doucement sans affolement. L'engin l'a suivie sur quelque mètres, et tout à coup il n'était plus là. Elle a regardé dans son rétroviseur et n'a plus vu l'engin ni aucune lumière.
Elle a poursuivi son chemin et est arrivée sur la route de Rennes, a D82, qu'elle a parcouru sur 2 kilomètres vers le Sud, et a alors de nouveau repéré l'engin, sous forme d'une lumière rouge, qui s'en allait et était "déjà loin, très loin" sur la tour de Cesson. Elle a trouvé impensable que cet engin ait pu effectuer un trajet d'une telle distance, environ 2 kilomètres en un temps aussi court, estimé à 2 minutes environ.
L'enquêteur précise qu'une confusion avec l'illumination nocturne de la tour émettrice de Cesson est impossible puisque le témoin a également vu la lumière de cette tour, séparément de celle de l'objet.
En se rendant à son travail le lendemain à 14:00, repassant sur les lieux, elle a constaté que la cime d'un arbre où l'engin avait été lors de sa phase stationnaire était complètement morte, comme "cuite", et qu'elle a été pratiquement formelle auprès de l'enquêteur en indiquant n'avoir pas remarquer une telle chose auparavant. L'enquêteur a interrogé les propriétaires de la ferme proche mais s'ils ont trouvé l'état de l'arbre bizarre ils n'avaient pas remarqué son état auparavant. Il a été constaté que le reste de l'arbre était en parfaite santé. Le propriétaire des arbres eux-même était absent et n'a pas pu être interrogé.
Le lendemain de l'observation, elle avait contacté par téléphone la Gendarmerie d'Hédé, surtout dans le but d'obtenir des renseignements sur ce qu'elle avait vu. Sa déposition n'a pas été enregistrée.
Concernant le témoin, aucune suite psychique ou matérielle n'a été relevée pour elle-même.
L'enquêteur précise le témoin lui est apparu comme une personne équilibrée, rationnelle, avec un sens de l'observation très prononcé, que sa vue parait excellente, qu'elle ne porte pas de lunettes et qu'elle voit très bien au loin, ce qu'il a pu constater lors des repérages sur le terrain. Ses estimations des distances ont également pu être confirmée par l'utilisation des cartes.
Sa familiarisation avec la question des OVNIS était impartiale et très limitée, provenant de témoignages entendus et d'émissions de télévisions. Elle a tenu à ce que sa tranquilitté soit préservée et n'a reçu l'enquêteur que parce qu'une de ses collègues de travail était une connaissance de l'enquêteur.
Le rapport d'enquête est illustré de photographies des lieux de l'observation et de deux cartes retraçant le trajet du témoin, les différents points d'observation, les localisations et trajectoires supposées de l'OVNI.
A partir des photographies des lieux dans le rapport d'enquête par Serge Sorinas, les choses transposées de nuit sont de la forme:
En abordant le carrefour entre la D26 et la VC 107, le témoin voit la lumière rouge se trouvant juste au-dessus de l'arbre dont la cime sera trouvée morte.
Lorsque le témoin s'est engagé sur la VC 107, les deux "phares" sont devenus discernables.
L'endroit où le témoin a arrêté sa voiture pour mieux observer.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Melesse, France, le 3 juin 1992, à 23:30, un observateur a vu un engin transparent en forme d'oeuf de 7 pieds de grand planer bas au-dessus d'un pâturage. Un petit personnage humanoïde a été vu positionné derrière un pupitre de commande à l'intérieur de l'objet. Un arbre voisin a apparemment été roussi par la chaleur émise par l'objet.
Rosales indique que la source est LDLN #334.
[Ref. bo1:] BASE OVNI FRANCE:
La fiche du cas indique qu'à Melesse en Ille et Vilaine, le 3 juin 1992, à 23:30, par une beau temps clair, une femme rentrait chez elle en voiture. Au moment où elle s'est approchée du carrefour de la D26, venant de St Germain sur Ille, avec le VC107, son attention a été attirée par une forte lumière rouge située au-dessus d'un champ voisin. En regardant mieux elle a constaté que cette lueur rouge était en fait produite par deux phares sur un appareil en vol stationnaire au-dessus d'une haie d'arbres. L'objet présentait aussi un feu blanc vers l'arrière. La femme a ralenti et arrête sa voiture. L'objet était fixe, puis après quelques instants il s'est mis en mouvement en direction du témoin. Il s'est abaissé jusqu'à quelques mètres du sol et est arrivé à une quinzaine de mètres du témoin. L'objet était transparent et la femme a alors visualisé un tableau de bord émettant des lumières blanches et vertes et un pilote semblant être chauve et portant une combinaison grise. L'objet était silencieux. Un peu inquiète, la femme a redémarré et commencé à avancer doucement, l'objet l'a suivie sur quelques mètres puis a disparu du rétroviseur. Deux kilomètres vers le sud, la femme a retrouvé son objet qui était déjà très éloigné vers le sud. Il semble que le haut des arbres de la haie où se trouvait l'objet soit morte après l'observation.
Un commentaire ajoute que le pilote mesurait 1.10 mètres avec une peau jaune, une combinaison marron et un appareil respiratoire.
Les sources sont indiquées comme étant "Lumières dans la Nuit".
Points à considérer:
En ouvrant le dossier, faute des informations de LDLN, je notais:
"L'histoire est hautement intéressante. Malheureusement, des éléments dont je dispose, il apparaît possible que ce ne soit qu'une lettre anonyme au magazine d'ufologie, sans enquête consécutive, sans crédibilité."
Au vu des informations dans [ss1] reçue ultérieurement, ces commentaires n'ont évidemment plus lieu d'être, et nous laissent maintenant avec un cas réellement plus intéressant, et enquêté.
Evaluation:
Visiteurs extraterrestres.
Références des sources:
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
##[ld1] * Rapport d'enquête par Serge Sorinas, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans La Nuit (LDLN), N.334, pp 19-22, juillet - août 1995.
##[ar1] * "1992 Humanoid Reports", compilé par Albert Rosales, circa 2001, à www.ufoinfo.com/humanoid/humanoid1992.shtml
##[bo1] * "Base OVNI France", site Internet, France, circa 2005, à baseovnifrance.free.fr/detobs.php?numobs=2953
Histoire du document:
Rédaction
Historique des changements
3 JUIN 1992, MELESSE, ILLE-ET-VILAINE, FRANCE, UNE FEMME:
Bref résumé de l'événement et des suites:
Le magazine Lumières Dans La Nuit a présenté en 1995 le rapport de l'enquête par Serge Sorinas de France Ufologie:
Le cas est survenu le 3 juin 1992, débutant à 23:30 à Mélesse, code postal 35520, à 12 kilomètres au nord de Rennes, au lieu dit "Le Cormier" sur la voie communale 107 à 1 kilomètre au nord-nord-est du bourg. Cette voie communale est entre la route départementale D26 qui joint Saint-Germain-sur-Ille à Mélesse, qui est approximativement orientée est-ouest. Elle est bordée au sud par un grand pâturage qui est la parcelle 486 du cadastre et qui relève de la ferme du Cormier qui se trouve dans son angle Sud-Est.
Le témoin est une femme mariée ayant demandé l'anonymat, mère de 4 enfants et employée dans une société de [information que je ne communique pas.]
Au moment de l'observation, le ciel était parfaitement dégagé et étoilé et la température était clémente.
Le témoin rentrait chez elle en véhicule Citroën BX après une journée de travail, le trajet étant de 30 kilomètre et un trajet qu'elle effectue depuis des années.
A l'approche du carrefour de la D26 et de la VC 107, en venant de Saint-Germain-sur-Ille, son attention a été attirée par une forte lumière rouge. Cela se trouvait en survol fixe au-dessus d'une haie d'arbre délimitant la parcelle 485 du cadastre contiguë à la parcelle 486.
Elle a été étonnée mais a supposé que cela pourrait être le phare d'avertissement aux avions d'une grue, et elle a poursuivi sa route par la voix communale longeant la parcelle.
En regardant mieux, elle a constaté que la lumière puissante venait de deux "phares" d'un engin en vol stationnaire à cet endroit, et que l'engin avait également un feu blanc à l'arrière.
Par curiosité, elle a ralenti et arrêté sa voiture une centaine de mètres plus loin pour mieux regardé.
L'enquêteur la cite comme disant que lorsqu'elle s'est arrêté l'engin était déjà en place, stationnaire au-dessus d'une ferme, que cela lui a donné l'impression d'observer quelque chose.
Après quelques instants, l'objet s'est mis en route dans la direction du témoin, qui déclare qu'il s'est déplacé vers elle doucement, assez haut au départ, et que quand il s'est abaissé, elle a vraiment vu l'intérieur.
L'objet est descendu à quelques mètres du sol et à une distance qu'elle estimée à 15 mètres d'elle.
L'engin était constitué entièrement de matériau transparent, il n'y avait aucune armature de soutien. Elle a vu de façon certaine ce qu'elle a décrit comme un tableau de bord avec des lumières blanches et vertes, "quelque chose qui est en marche, quand c'est allumé..."
Derrière ce tableau de bord se trouvait une personne chauve avec une combinaison grise qu'elle a bien distingué, y compris que la combinaison comportait un col. Une fois demandée des précisions, elle a indiqué qu'elle n'a pas fait trop attention mais qu'il y avait un visage, une tête sans cheveux, qu'elle a pensé à des manoeuvres militaires parce que la combinaison lui a fait penser à l'armée.
Elle a eu la pensée que ce devait être un hélicoptère mais l'a écarté d'elle-même puisqu'elle roule toujours avec la fenêtre ouverte et aurait du entendre le bruit. Elle est certaine que l'engin n'émettait aucun son puisqu'elle avait coupé la radio pour vérifier [rappel: la voiture est arrêtée à ce moment].
Elle a été gagnée par l'inquiétude puisqu'elle ne trouvait pas d'explication évidente et a commencer à rouler doucement sans affolement. L'engin l'a suivie sur quelque mètres, et tout à coup il n'était plus là. Elle a regardé dans son rétroviseur et n'a plus vu l'engin ni aucune lumière.
Elle a poursuivi son chemin et est arrivée sur la route de Rennes, a D82, qu'elle a parcouru sur 2 kilomètres vers le Sud, et a alors de nouveau repéré l'engin, sous forme d'une lumière rouge, qui s'en allait et était "déjà loin, très loin" sur la tour de Cesson. Elle a trouvé impensable que cet engin ait pu effectuer un trajet d'une telle distance, environ 2 kilomètres en un temps aussi court, estimé à 2 minutes environ.
L'enquêteur précise qu'une confusion avec l'illumination nocturne de la tour émettrice de Cesson est impossible puisque le témoin a également vu la lumière de cette tour, séparément de celle de l'objet.
En se rendant à son travail le lendemain à 14:00, repassant sur les lieux, elle a constaté que la cime d'un arbre où l'engin avait été lors de sa phase stationnaire était complètement morte, comme "cuite", et qu'elle a été pratiquement formelle auprès de l'enquêteur en indiquant n'avoir pas remarquer une telle chose auparavant. L'enquêteur a interrogé les propriétaires de la ferme proche mais s'ils ont trouvé l'état de l'arbre bizarre ils n'avaient pas remarqué son état auparavant. Il a été constaté que le reste de l'arbre était en parfaite santé. Le propriétaire des arbres eux-même était absent et n'a pas pu être interrogé.
Le lendemain de l'observation, elle avait contacté par téléphone la Gendarmerie d'Hédé, surtout dans le but d'obtenir des renseignements sur ce qu'elle avait vu. Sa déposition n'a pas été enregistrée.
Concernant le témoin, aucune suite psychique ou matérielle n'a été relevée pour elle-même.
L'enquêteur précise le témoin lui est apparue comme une personne équilibrée, rationnelle, avec un sens de l'observation très prononcé, que sa vue parait excellente, qu'elle ne porte pas de lunettes et qu'elle voit très bien au loin, ce qu'il a pu constater lors des repérages sur le terrain. Ses estimations des distances ont également pu être confirmée par l'utilisation des cartes.
Sa familiarisation avec la question des OVNIS était impartiale et très limitée, provenant de témoignages entendus et d'émissions de télévisions. Elle a tenu à ce que sa tranquillité soit préservée et n'a reçu l'enquêteur que parce qu'une de ses collègues de travail était une connaissance de l'enquêteur.
Le rapport d'enquête est illustré de photographies des lieux de l'observation et de deux cartes retraçant le trajet du témoin, les différents points d'observation, les localisations et trajectoires supposées de l'OVNI.
Tableau des informations de base:
Récits:
[Ref. ss1:] SERGE SORINAS:
Le magazine Lumières Dans La Nuit a présenté le rapport de l'enquête par Serge Sorinas de France Ufologie:
Le cas est survenu le 3 juin 1992, débutant à 23:30 à Mélesse, code postal 35520, à 12 kilomètres au nord de Rennes, au lieu dit "Le Cormier" sur la voie communale 107 à 1 kilomètre au nord-nord-est du bourg. Cette voie communale est entre la route départementale D26 qui joint Saint-Germain-sur-Ille à Mélesse, qui est approximativement orientée est-ouest. Elle est bordée au sud par un grand pâturage qui est la parcelle 486 du cadastre et qui relève de la ferme du Cormier qui se trouve dans son angle Sud-Est.
Le témoin est une femme mariée ayant demandé l'anonymat, mère de 4 enfants et employée dans une société de [information que je ne communique pas.]
Au moment de l'observation, le ciel était parfaitement dégagé et étoilé et la température était clémente.
Le témoin rentrait chez elle en véhicule Citroën BX après une journée de travail, le trajet étant de 30 kilomètre et un trajet qu'elle effectue depuis des années.
A l'approche du carrefour de la D26 et de la VC 107, en venant de Saint-Germain-sur-Ille, son attention a été attirée par une forte lumière rouge. Cela se trouvait en survol fixe au-dessus d'une haie d'arbre délimitant la parcelle 485 du cadastre contiguë à la parcelle 486.
Elle a été étonnée mais a supposé que cela pourrait être le phare d'avertissement aux avions d'une grue, et elle a poursuivi sa route par la voix communale longeant la parcelle.
En regardant mieux, elle a constaté que la lumière puissante venait de deux "phares" d'un engin en vol stationnaire à cet endroit, et que l'engin avait également un feu blanc à l'arrière.
Par curiosité, elle a ralenti et arrêté sa voiture une centaine de mètres plus loin pour mieux regardé.
L'enquêteur la cite comme disant que lorsqu'elle s'est arrêté l'engin était déjà en place, stationnaire au-dessus d'une ferme, que cela lui a donné l'impression d'observer quelque chose.
Après quelques instants, l'objet s'est mis en route dans la direction du témoin, qui déclare qu'il s'est déplacé vers elle doucement, assez haut au départ, et que quand il s'est abaissé, elle a vraiment vu l'intérieur.
L'objet est descendu à quelques mètres du sol et à une distance qu'elle estimée à 15 mètres d'elle.
L'engin était constitué entièrement de matériau transparent, il n'y avait aucune armature de soutien. Elle a vu de façon certaine ce qu'elle a décrit comme un tableau de bord avec des lumières blanches et vertes, "quelque chose qui est en marche, quand c'est allumé..."
Derrière ce tableau de bord se trouvait une personne chauve avec une combinaison grise qu'elle a bien distingué, y compris que la combinaison comportait un col. Une fois demandée des précisions, elle a indiqué qu'elle n'a pas fait trop attention mais qu'il y avait un visage, une tête sans cheveux, qu'elle a pensé à des manoeuvres militaires parce que la combinaison lui a fait penser à l'armée.
Elle a eu la pensée que ce devait être un hélicoptère mais l'a écarté d'elle-même puisqu'elle roule toujours avec la fenêtre ouverte et aurait du entendre le bruit. Elle est certaine que l'engin n'émettait aucun son puisqu'elle avait coupé la radio pour vérifier [rappel: la voiture est arrêtée à ce moment].
Elle a été gagnée par l'inquiétude puisqu'elle ne trouvait pas d'explication évidente et a commencer à rouler doucement sans affolement. L'engin l'a suivie sur quelque mètres, et tout à coup il n'était plus là. Elle a regardé dans son rétroviseur et n'a plus vu l'engin ni aucune lumière.
Elle a poursuivi son chemin et est arrivée sur la route de Rennes, a D82, qu'elle a parcouru sur 2 kilomètres vers le Sud, et a alors de nouveau repéré l'engin, sous forme d'une lumière rouge, qui s'en allait et était "déjà loin, très loin" sur la tour de Cesson. Elle a trouvé impensable que cet engin ait pu effectuer un trajet d'une telle distance, environ 2 kilomètres en un temps aussi court, estimé à 2 minutes environ.
L'enquêteur précise qu'une confusion avec l'illumination nocturne de la tour émettrice de Cesson est impossible puisque le témoin a également vu la lumière de cette tour, séparément de celle de l'objet.
En se rendant à son travail le lendemain à 14:00, repassant sur les lieux, elle a constaté que la cime d'un arbre où l'engin avait été lors de sa phase stationnaire était complètement morte, comme "cuite", et qu'elle a été pratiquement formelle auprès de l'enquêteur en indiquant n'avoir pas remarquer une telle chose auparavant. L'enquêteur a interrogé les propriétaires de la ferme proche mais s'ils ont trouvé l'état de l'arbre bizarre ils n'avaient pas remarqué son état auparavant. Il a été constaté que le reste de l'arbre était en parfaite santé. Le propriétaire des arbres eux-même était absent et n'a pas pu être interrogé.
Le lendemain de l'observation, elle avait contacté par téléphone la Gendarmerie d'Hédé, surtout dans le but d'obtenir des renseignements sur ce qu'elle avait vu. Sa déposition n'a pas été enregistrée.
Concernant le témoin, aucune suite psychique ou matérielle n'a été relevée pour elle-même.
L'enquêteur précise le témoin lui est apparu comme une personne équilibrée, rationnelle, avec un sens de l'observation très prononcé, que sa vue parait excellente, qu'elle ne porte pas de lunettes et qu'elle voit très bien au loin, ce qu'il a pu constater lors des repérages sur le terrain. Ses estimations des distances ont également pu être confirmée par l'utilisation des cartes.
Sa familiarisation avec la question des OVNIS était impartiale et très limitée, provenant de témoignages entendus et d'émissions de télévisions. Elle a tenu à ce que sa tranquilitté soit préservée et n'a reçu l'enquêteur que parce qu'une de ses collègues de travail était une connaissance de l'enquêteur.
Le rapport d'enquête est illustré de photographies des lieux de l'observation et de deux cartes retraçant le trajet du témoin, les différents points d'observation, les localisations et trajectoires supposées de l'OVNI.
A partir des photographies des lieux dans le rapport d'enquête par Serge Sorinas, les choses transposées de nuit sont de la forme:
En abordant le carrefour entre la D26 et la VC 107, le témoin voit la lumière rouge se trouvant juste au-dessus de l'arbre dont la cime sera trouvée morte.
Lorsque le témoin s'est engagé sur la VC 107, les deux "phares" sont devenus discernables.
L'endroit où le témoin a arrêté sa voiture pour mieux observer.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Melesse, France, le 3 juin 1992, à 23:30, un observateur a vu un engin transparent en forme d'oeuf de 7 pieds de grand planer bas au-dessus d'un pâturage. Un petit personnage humanoïde a été vu positionné derrière un pupitre de commande à l'intérieur de l'objet. Un arbre voisin a apparemment été roussi par la chaleur émise par l'objet.
Rosales indique que la source est LDLN #334.
[Ref. bo1:] BASE OVNI FRANCE:
La fiche du cas indique qu'à Melesse en Ille et Vilaine, le 3 juin 1992, à 23:30, par une beau temps clair, une femme rentrait chez elle en voiture. Au moment où elle s'est approchée du carrefour de la D26, venant de St Germain sur Ille, avec le VC107, son attention a été attirée par une forte lumière rouge située au-dessus d'un champ voisin. En regardant mieux elle a constaté que cette lueur rouge était en fait produite par deux phares sur un appareil en vol stationnaire au-dessus d'une haie d'arbres. L'objet présentait aussi un feu blanc vers l'arrière. La femme a ralenti et arrête sa voiture. L'objet était fixe, puis après quelques instants il s'est mis en mouvement en direction du témoin. Il s'est abaissé jusqu'à quelques mètres du sol et est arrivé à une quinzaine de mètres du témoin. L'objet était transparent et la femme a alors visualisé un tableau de bord émettant des lumières blanches et vertes et un pilote semblant être chauve et portant une combinaison grise. L'objet était silencieux. Un peu inquiète, la femme a redémarré et commencé à avancer doucement, l'objet l'a suivie sur quelques mètres puis a disparu du rétroviseur. Deux kilomètres vers le sud, la femme a retrouvé son objet qui était déjà très éloigné vers le sud. Il semble que le haut des arbres de la haie où se trouvait l'objet soit morte après l'observation.
Un commentaire ajoute que le pilote mesurait 1.10 mètres avec une peau jaune, une combinaison marron et un appareil respiratoire.
Les sources sont indiquées comme étant "Lumières dans la Nuit".
Points à considérer:
En ouvrant le dossier, faute des informations de LDLN, je notais:
"L'histoire est hautement intéressante. Malheureusement, des éléments dont je dispose, il apparaît possible que ce ne soit qu'une lettre anonyme au magazine d'ufologie, sans enquête consécutive, sans crédibilité."
Au vu des informations dans [ss1] reçue ultérieurement, ces commentaires n'ont évidemment plus lieu d'être, et nous laissent maintenant avec un cas réellement plus intéressant, et enquêté.
Evaluation:
Visiteurs extraterrestres.
Références des sources:
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
##[ld1] * Rapport d'enquête par Serge Sorinas, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans La Nuit (LDLN), N.334, pp 19-22, juillet - août 1995.
##[ar1] * "1992 Humanoid Reports", compilé par Albert Rosales, circa 2001, à www.ufoinfo.com/humanoid/humanoid1992.shtml
##[bo1] * "Base OVNI France", site Internet, France, circa 2005, à baseovnifrance.free.fr/detobs.php?numobs=2953
Histoire du document:
Rédaction
Historique des changements
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