Un utérus artificiel pour cultiver votre bébé
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Un utérus artificiel pour cultiver votre bébé
Publié par Mélanie Roosen le 30/06/2017
A l’heure où les questions autour de la gestation pour autrui agitent, ce concept d’étudiants en design donne une nouvelle matière aux débats.
Contestée par les uns, plébiscitée par les autres, la GPA (Gestation Pour Autrui) est au cœur des discussions. Certains s’emparent du sujet d’une façon toute particulière, et imaginent une solution qui pourrait la remplacer avant même qu’elle ne soit démocratisée…
Imaginez : plus de congé maternité, plus de contraintes physiques, plus d’accouchement et un bébé qui « pousse » tranquillou dans une mini-serre qui fait office d’utérus artificiel. C’est l’idée imaginée par des étudiants en design produit, qui ont imaginé le Par-tu-ri-ent.
L’objet ressemble à une sorte de bulle en plastique, à placer chez soi. Son objectif : permettre aux parents de faire grandir leur fœtus hors du corps de la femme.
Contestée par les uns, plébiscitée par les autres, la GPA (Gestation Pour Autrui) est au cœur des discussions. Certains s’emparent du sujet d’une façon toute particulière, et imaginent une solution qui pourrait la remplacer avant même qu’elle ne soit démocratisée…
Imaginez : plus de congé maternité, plus de contraintes physiques, plus d’accouchement et un bébé qui « pousse » tranquillou dans une mini-serre qui fait office d’utérus artificiel. C’est l’idée imaginée par des étudiants en design produit, qui ont imaginé le Par-tu-ri-ent.
L’objet ressemble à une sorte de bulle en plastique, à placer chez soi. Son objectif : permettre aux parents de faire grandir leur fœtus hors du corps de la femme.
Par-tu-ri-ent Introduction
Par-tu-ri-ent invite à réfléchir sur la notion de parentalité. A quoi ressemblerait la société si une telle innovation était possible ? Avec l’envie de débattre autour des limites éthiques de la technologie, en déplaçant le curseur du discours scientifique au discours social, les équipes ont pensé le projet dans sa globalité et se sont approchés de scientifiques pour appuyer leur sujet.
Le Dr Wigard Kloosterman, de l’université de médecine d’Utrecht, décrit le projet comme « une montagne russe entre l’euphorie et l’horreur ». Et c’est à peu près ça. Car si la démarche semble complètement contre-nature, elle pourrait lever de nombreux obstacles pour les femmes actives, ou celles qui ne peuvent pas porter d’enfant.
Présenté à l’occasion du Biodesign Challenge Summit, Par-tu-ri-ent veut offrir « une impression réaliste de ce que pourraient donner les progrès des biotechnologies et du bio-design ».
Si les étudiants n’ont pas l’intention de réaliser le produit « pour de vrai » dans un futur proche, la technologie nécessaire pour le mettre au point n’est peut-être pas si loin : plus tôt cette année, des chercheurs américains ont réussi à mettre au point un utérus artificiel permettant à des fœtus d’agneaux de se développer pendant plusieurs semaines.
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/04/25/un-uterus-artificiel-pour-grands-prematures-teste-chez-le-mouton_5117316_1650684.html
De l’importance de prendre en considération les avancées scientifiques avant qu’elles ne soient concrètes afin d’en éviter les dérives… De plus en plus de marques s’approprient le terrain d’un futur dystopique, grandement démocratisé par le succès de la série Black Mirror : une démarche qui pourrait être salvatrice, et permettre de réfléchir aux questions d’éthique avant qu’elles ne deviennent des problèmes.
http://www.ladn.eu/nouveaux-usages/signaux-faibles/un-uterus-artificiel-pour-cultiver-votre-bebe/
A l’heure où les questions autour de la gestation pour autrui agitent, ce concept d’étudiants en design donne une nouvelle matière aux débats.
Contestée par les uns, plébiscitée par les autres, la GPA (Gestation Pour Autrui) est au cœur des discussions. Certains s’emparent du sujet d’une façon toute particulière, et imaginent une solution qui pourrait la remplacer avant même qu’elle ne soit démocratisée…
Imaginez : plus de congé maternité, plus de contraintes physiques, plus d’accouchement et un bébé qui « pousse » tranquillou dans une mini-serre qui fait office d’utérus artificiel. C’est l’idée imaginée par des étudiants en design produit, qui ont imaginé le Par-tu-ri-ent.
L’objet ressemble à une sorte de bulle en plastique, à placer chez soi. Son objectif : permettre aux parents de faire grandir leur fœtus hors du corps de la femme.
Contestée par les uns, plébiscitée par les autres, la GPA (Gestation Pour Autrui) est au cœur des discussions. Certains s’emparent du sujet d’une façon toute particulière, et imaginent une solution qui pourrait la remplacer avant même qu’elle ne soit démocratisée…
Imaginez : plus de congé maternité, plus de contraintes physiques, plus d’accouchement et un bébé qui « pousse » tranquillou dans une mini-serre qui fait office d’utérus artificiel. C’est l’idée imaginée par des étudiants en design produit, qui ont imaginé le Par-tu-ri-ent.
L’objet ressemble à une sorte de bulle en plastique, à placer chez soi. Son objectif : permettre aux parents de faire grandir leur fœtus hors du corps de la femme.
Par-tu-ri-ent Introduction
Par-tu-ri-ent invite à réfléchir sur la notion de parentalité. A quoi ressemblerait la société si une telle innovation était possible ? Avec l’envie de débattre autour des limites éthiques de la technologie, en déplaçant le curseur du discours scientifique au discours social, les équipes ont pensé le projet dans sa globalité et se sont approchés de scientifiques pour appuyer leur sujet.
Le Dr Wigard Kloosterman, de l’université de médecine d’Utrecht, décrit le projet comme « une montagne russe entre l’euphorie et l’horreur ». Et c’est à peu près ça. Car si la démarche semble complètement contre-nature, elle pourrait lever de nombreux obstacles pour les femmes actives, ou celles qui ne peuvent pas porter d’enfant.
Présenté à l’occasion du Biodesign Challenge Summit, Par-tu-ri-ent veut offrir « une impression réaliste de ce que pourraient donner les progrès des biotechnologies et du bio-design ».
Si les étudiants n’ont pas l’intention de réaliser le produit « pour de vrai » dans un futur proche, la technologie nécessaire pour le mettre au point n’est peut-être pas si loin : plus tôt cette année, des chercheurs américains ont réussi à mettre au point un utérus artificiel permettant à des fœtus d’agneaux de se développer pendant plusieurs semaines.
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2017/04/25/un-uterus-artificiel-pour-grands-prematures-teste-chez-le-mouton_5117316_1650684.html
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