De Charlie à Samuel rien n'a changé à cause de gouvernement piqué au sang
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De Charlie à Samuel rien n'a changé à cause de gouvernement piqué au sang
De Charlie à Samuel rien n'a changé à cause de gouvernement piqué au sang de tortue et qui n'ont eut de cessent de baisser leurs culottes. Pour vous cette VIDEO toujours d'actualité hélas
Janvier, novembre, une année
Une pluie est tombée ce jour de janvier, novembre, une année
Elle est tombée sur ma terre qui s’était desséchée;
Et de ces sillons, en ce jour d’une année;
Des millions de Marianne sur ma terre ont germé.
Écoute, écoute, ferme les yeux, entends-tu ce chant librement entonné ?
« Allons enfants de la Patrie, le jour de gloire est arrivé » « contre nous de la tyrannie, l’étendard sanglant est levé ».
Et la pluie est tombée, inondant cette journée de janvier.
Ils ne sont pas morts pour rien, mais le peuple a attendu ces dégâts pour pleurer.
Regarde, regarde cet enfant, le drapeau Français à la main;
Regarde, regarde les couleurs se reflètent dans ces yeux.
Des larmes coulent, mais il en sort heureux;
Car ces larmes, c’est la pluie qui tombe sur notre terre desséchée.
Écoute, écoute, ferme les yeux, écoute dans le lointain, la belle Marseillaise qui revient « Marchons, marchons, qu’un sang impur abreuve nos sillons »
Ne sens-tu pas les frissons, envahir ton corps qui s’est élevé
Et soudain, je le vois, tes larmes coulent, et cette pluie de larmes versées
S’abat sur cette terre où Marianne avait été délaissée.
Arrose, arrose de tes larmes, fait tomber cette pluie
Sur cette terre que les anciens t’ont donnée.
Moi je veux que cet enfant qui tient ce beau drapeau à la main;
Je veux qu’il vive serein, en harmonie avec ses voisins.
Écoute, écoute, ferme les yeux, écoute ce chant qui monte et retentit
Qu’il était beau ce jour-là mon pays, après que ce carnage est surgi
Il a plu en ce jour d’une année
Et sur notre terre, des Marianne ont poussé
S’élevant pleines de liberté et de solidarité.
Elles ont poussé, tenant à la main, le bleu, le blanc, le rouge tant aimés
Ne laisse pas les Marianne se faner;
Fait tombé la pluie, cette pluie qui fait du bien à la patrie.
Éduque, éduque les graines que tu as semées
Éduque le pour qu’enfin, on puisse vivre notre entière liberté !
Écoute, écoute, regarde, regarde, sens et ressens
Cette atmosphère qui nous prend et nous fait pleurer
Pas les larmes de peine, pas les larmes de pitié;
Mais les larmes pour faire pousser, les Marianne que l’on avait oubliées
Les Marianne que nos cœurs n’avaient plus arrosées.
Continue à entonner ce chant que tout le monde connaît
Ce chant que certains avaient peur de chanter.
Allez, allez, faite valsé ce beau drapeau français
Que certains avaient peur de hisser;
Allez soutenez, les hommes qui donnent leur vie pour votre liberté;
Soutenez afin que vos enfants n’aient plus les yeux desséchés;
Quand ils entendront le peuple chanter
Notre Marseillaise trop souvent oubliée.
Ce matin, j’ai des maux à mes mots, hélas cette journée où j’avais retrouvé ma patrie
Est partie comme elle était venue sans bruit
Emportant ces Marianne éphémères que mes frères aimaient bien
Emportant cet énorme soutien que mes frangins ont tant besoin.
Ce soutien disparu au petit matin, envolé, dispersé
Disparu avec ce beau drapeau Français
Rangée, pliée, caché, hélas jusqu'à notre prochain chagrin
Écoute, écoute dans le lointain cette belle Marseillaise
C’est mes copains, mes frères d’armes, mes frangins
Tombés pas pour rien, qui l’entonne tout là-haut dans les cieux
Putain comme il la chante bien, comme ils semblent sereins
Montrons leurs qu’ils ne sont pas morts pour rien !
Bonne Mère, moi je les écoute, je les aime et je les soutiens
Tous ces soldats qui chantent dans l’au-delà, ils sont mien « allons enfants de la Patrie, le jour de gloire est arrivé »
Je vous laisse de ma plume, de mes maux, de mes verbes car ma gorge est serrée
Car des fois je ne vous comprends pas
Pourquoi ? Oui pourquoi ? Uniquement ce jour-là !
Martinez
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