Encore un événement qui me gave et m’oblige à faire un post,

Encore un événement qui me gave et m’oblige à faire un post, moi qui voulais faire un break vacances. Je fais ce post pour mes frères d’armes et mes frères de loi, des propos m’insurgent et m’obligent à m'énerver.
Patrick Chaimovitch, nouvel édile de la ville des Hauts-de-Seine, a comparé les forces de l'ordre qui «traquent les migrants» aux gendarmes impliqués dans la rafle du Vel d'Hiv
Monsieur le maire ou devrais-je dire monsieur l’abruti ou l’inculte, vous portez sur votre poitrail l’écharpe de la France, d’un élu de la république, honte à vous de faire de pareilles comparaissons, vous ne méritez pas de porter cette écharpe, vous en avez pas l’étoffe. Je félicite rarement les gouvernements, mais je dis merci au ministre de l’intérieur de porter plainte contre cet individu et ainsi de faire plier cette verrue de la France.
A partager en masse car inadmissible
Les remparts
Qu’est ce qu’ils ont été caillassés, et l’on a rien fait
Qu’est ce qu’ils ont ramassé, et on a laissé traîner
Qu’est ce qu’on les a insultés, et on a laissé passer
Qu’est ce qu’on les a oubliés quant au loin ils tombaient,
Oubliés par des médias muets et largement dirigés.
Puis un jour, la France s’est réveillée et s’est mise à les applaudir
Puis un jour, la France a compris et s’est mise à réagir.
Puis un jour de terreur, la France a brandi le drapeau du pays,
Et enfin soutenu et compris, que ces hommes de lois, que ces hommes de foi,
Que ces hommes d’honneur donnaient souvent leur vie et tombaient pour toi !
Il a fallu des morts pour ça, pour que la France ouvre les yeux sur leur combat,
Combat qu’il mène tous les jours, mais que les individualités ont fini par gommer, par effacer.
Je dédie ces verbes, je dédie ce dessin, à tous ces hommes droits qui vous servent de remparts
Face à un ennemi, qui détruit petit à petit les symboles de ma patrie.
Alors moi, je vous pose cette question, combien durera encore cette belle compassion ?
Etes-vous prêts, la France, à soutenir sans faille tous ces beaux combattants
Ou est-ce l’effet d’un jour hyper médiatisé et grandement dirigé ?
Pour eux, je vous en remercie, car ils arborent avec cœur le symbole de nos trois couleurs,
Ils brandissent avec cœur, notre devise éternelle, que l’école a, hormis un jour, oublié de ressasser.
Liberté, égalité, fraternité, mes frères d’armes eux savent la valeur de ces mots
Car dans leurs rangs, maintes fois des potes y sont restés, des morts ils ont pleuré !
Je dédie ce dessin et j’écris ce verbe,
A ces pères, à ces mères qui ont perdu un fils, qui ont perdu une fille dans ce combat de foi,
Je dédie ce dessin et j’écris ce verbe,
A tous ces orphelins qui ont perdu une mère, qui ont perdu un père, pour te protéger toi !
Je dédie ce dessin et j’écris ce verbe,
Pour ce mari détruit, pour cette épouse meurtrie, qui un soir dormiront seuls dans leur lit !
Je dédie ce dessin et j’écris ce verbe,
Pour tous ces proches qui ne reverront plus le sourire d’un ami qui a donné sa vie
Pour protéger des gens ou des personnes qui quelques fois en font fi.
A toi, gouvernement maintenant d’ouvrir les yeux,
Afin que mes copains, mes frères d’armes ne soient pas morts pour rien !
Arrête de rogner leur budget d’année en année, pour y gagner « peanuts »,
Donne-leur les moyens de faire leur métier, et d’être à la hauteur de cet ennemi qui tue,
Arrête de décimer et de faire fondre les casernes comme neige au soleil,
Pour t’apercevoir aujourd’hui que leur effectif, déjà pas mal décapité,
Ne suffit plus à protéger cette France où l’ennemi y est déjà terré !
Car si on en est là, si on doit revoir tout ça,
C’est que tu as des penseurs, qui à un moment donné, ont fait fi de tout ça, ont fait fi de ces gars !
Et aux proches des victimes, maintenant tu leur dit quoi, « on va arranger ça » ‘on va réparer ça » ?
France, aime ces hommes d’honneur, aide-les dans leur labeur
France aime ces hommes de cœur, efface les rancœurs que des associations ont attisé sans peur.
France, ces hommes méritent le respect, respect que tu leur dois, car pour toi France, ils meurent.
Mais je crois que ce rassemblement ne fut qu’un coup d’épée dans l’eau,
Car mes frères d’armes se font agresser verbalement dans les rues et y risquent leur peau.
Mes frères n’ont plus le droit de porter fièrement le beau treillis français quand il rentre chez eux.
Cela signifie-t-il que ceux qui représentent fièrement la France ne sont plus respectés ?
Ne sont plus respecté par qui ?, ne sont plus respecté par quoi ?, quel est cet ennemi ?
Mais qu’a donc changé ce rassemblement, on revient comme avant et on baisse l’échine.
Elle n’est plus là l’unité nationale, où sont passés les mots de ce peuple français
Qui annonçait fièrement devant toutes les télés
« nous n’avons pas peur, car nous sommes fiers d’être Français ».
Des centaines d’incidents, à l'encontre de militaires, ont été recensés depuis le 12 janvier !
Qui sont ces individus ? Médias, donnez leurs noms pour qu’enfin la France sache et arrête de nier,
Pour qu’enfin la France puisse mettre un visage sur ces gens qui salisse la patrie
Qui salissent des gars qui donnent de leur vie !
Donnez-leur en retour votre soutien,
Soutien en criant haut et fort, marre de ces situations de provocation,
Soutien de cœur qui lui ne vous coûte rien, un sourire, un regard, un bonjour,
Afin que cet individualisme qui détruit notre France se transforme au grand jour
Dans une solidarité qu’ont connue nos aïeux, qu’ont connue nos anciens et qui nous fait du bien !
Martinez

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