La Ffmc ... SeS acquis.... c'était AVANT
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La Ffmc ... SeS acquis.... c'était AVANT
SOURCE FACEBOOK CE JOUR / TEXTE RECOPIE
Militant- Adhérent- membre actif que je suis, voyant à ce jour la politique faites contre nous motards.
Comprendre que depuis plus de trente ANS, GRACE à cette association, la défense des deux roues motorisés prennait tout son sens... C'était avant !!!
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La Fédération française des motards en colère (FFMC) est une association loi 1901 destinée à fédérer les usagers des véhicules motorisés à deux ou trois roues[1]. Son objectif est de développer la pratique de ce moyen de transport et de défendre ses utilisateurs. Elle agit dans le domaine de la sécurité routière en initiant des actions de communication[2], de prévention et de formation, ceci pour améliorer la connaissance du danger, la prise de conscience des différents usagers de la route ainsi que l'esprit de responsabilité et d’entraide des motards. Parmi ses moyens d’action, on peut noter l’organisation de journées de prévention, des campagnes d'affichage, la tenue de réunion périodique, l'organisation de manifestations ou de journées pédagogiques.
---
[1] ORIGINE :
La lutte contre l’insécurité routière s’organise à partir de 1972 avec la création de la Délégation à la sécurité routière. L’objectif est d’enrayer la courbe ascendante des tués sur la route, passés de 9 000 en 1960 à près de 17 000 en 1972. Parmi ces victimes, les motards ne sont pas épargnés puisque leur nombre augmente régulièrement depuis 1970. La délégation semble se focaliser sur ces usagers en faisant l’impasse sur l’accroissement du parc de véhicules en circulation[réf. nécessaire].
Dans ce contexte, les assureurs procèdent à des augmentations de primes de l'ordre de 15 à 30 %. Les tarifs d'assurance demandés aux motards atteignent le triple, voire le quadruple de ceux réservés aux automobilistes. À la fin des années 1970, ces augmentations n'ont pas entraîné une baisse du nombre de motards. Cependant, le coût de l'assurance amène près d’un motard sur trois à rouler sans assurer son véhicule.
En 1978, Yves Mourousi, un présentateur et rédacteur en chef très populaire du journal de 13 heures sur TF1 et motard lui-même, est nommé « Monsieur moto » par le gouvernement. Rattaché au ministère de la Jeunesse et des Sports, celui-ci a pour mission d’éclairer le dossier des deux-roues motorisés en France. Il sera à cette occasion l'initiateur du projet de construction du circuit Carole. Ce circuit, situé en région parisienne, a pour but d'offrir la possibilité aux motocyclistes amateurs de pouvoir s'exercer aux sports motocyclistes sur route. Il démissionnera cependant de son poste quelques mois plus tard.
Au soir de l’arrivée du Bol d'or de 1978, faisant suite à des faits divers impliquant des motards de retour du circuit Paul-Ricard, Christian Gerondeau, alors délégué à la Sécurité routière, s'exprime sur les ondes radiophonique. Mal reçus par une partie des utilisateurs de deux-roues motorisés, ses propos donnent lieu à la première manifestation de motards, le vendredi suivant. À cette occasion, des milliers de motards investissent la place de la Bastille, à Paris, et commencent à s’étirer en cortège pour défiler sous les fenêtres des dirigeants politiques. En province, plusieurs moto-clubs s’unissent sous des bannières explicites : « Moto liberté », « SOS Moto survie », ou encore « Moto vivante ».
Fin 1979, les relations entre tous les mouvements régionaux aboutissent à un projet de coordination nationale.
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[2] CREATION :
Dans les années 1970, les deux chocs pétroliers (le litre de super est passé de 1,25 à 3,30 francs français en 1980), l'explosion des tarifs d'assurance moto, la réforme du permis moto qui rend plus difficile l'accès aux grosses cylindrées, et surtout la mise en place de la vignette moto sont autant de problèmes auxquels les motards de la route sont confrontés. La Fédération française de motocyclisme (FFM) n'apporte pas de réponse satisfaisantes aux préoccupations des usagers des deux-roues motorisés. En effet, il s'agit d'une fédération sportive et délégataire du ministère de la jeunesse et des sports, dont le domaine de compétence se limite à la pratique du sport automobile sur pistes fermées.
Un grand nombre d'utilisateurs de deux-roues motorisés se regroupent alors au sein d'entités, tels les moto-clubs. Mais ceux-ci ne disposent pas d'une légitimité suffisante pour parvenir à porter leurs revendications à un niveau national. Face à ce constat, La Fédération française des motards en colère est alors créée en février 1980.
La mise en place officielle de la vignette fiscale (supprimée en juin 1981 pour les motos et en 2001 pour les voitures) pour les véhicules de plus de 750 cm³ et du nouveau permis est l'occasion pour cette fédération naissante de se faire connaître. À l'occasion des premières assises nationales, organisées au Havre, le porte-parole national, Jean-Marc Maldonado, lance un appel au boycott de cette vignette. L’assemblée décide alors la création d'une anti-vignette, dont les recettes doivent permettre de financer un collectif d’avocats qui défendra les motards verbalisés. Dans les premiers temps, huit motards sur dix respecteront ce boycott et ne s’acquitteront pas de la vignette. Les verbalisations sont rendues d’autant plus difficiles que la FFMC édite aussi des « motocollants » pour maquiller la cylindrée des motos. Les caches latéraux des 500 cm³ sont siglés 1 000 cm³ et inversement. En quelques semaines, des antennes départementales de la FFMC éclosent partout en France. Les manifestations se succèdent à un rythme effréné et mobilisent à chaque fois des milliers de motards. Ces manifestations sont parfois le théâtre de heurts violents avec les forces de l’ordre.
Le mouvement est alors en phase d'extension. Il s’érige d’abord en victime comme le traduisent les slogans déployés sur les banderoles : « Les motards ne meurent pas, on les tue », « Vignette : 80 % dans le baba-re » (Raymond Barre était alors premier ministre) ou encore « Le motard n’est pas une vache à lait ». La vignette moto est retirée en juin 1981, et Pierre Mayet est nommé délégué interministériel à la sécurité routière. Il est investit d'une mission claire : Inviter la FFMC à la table des négociations lors de la mise en place d’une commission nationale moto devant plancher notamment sur la réforme du permis.
L’idée d’une mutuelle d’assurance est lancée.
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Diversification des activités :
Commission juridique :
Commission Stop vol
Le 5 juin 2000, la FFMC signe une convention avec AFNOR, et le label « FFMC-Stop vol » devient la norme NF238.
Commission Éducation routière de la jeunesse (ERJ)
AUJOURD'HUI :
La Ffmc à atteint les hautes sphères au sein du gouvernement en travaillant en étroite collaboration avec le CNSR (Commission Nationale de Sécurité Routière OU Rentière)Mouvement reconnu politique de gauche, si vous n'avez pas compris que ce mouvement de pseudo défense des motards est un mouvement politique vous n'avez pas besoin d'y adhérer (DIXIT un des membres du bureau national D'autres part, tous ceux qui ne font rien et qui n'adhèrent pas à ce même mouvement sont : des connards ET des connasses (DIXIT un autre membre du bureau national) ceux qui ne comprennent pas les actions sont des bourricots (c'est de la même personne)Enfin comme toutes associations celle ci prône des statuts, la défense, la discrimination sont les grandes lignes de cette association. Il n'en est pas moins discriminant de lire les propos de ses propres membres, qui dénigrent volontairement les "motards" qui ne sont ou ne seraient pas du côté gauche .... La politique ET la moto quel mélange !???
Cette association est poussée à bouts de bras par des bénévoles, ils ne faut pas l'oublier. Ces personnes sont mises devant le fait accompli et fédère un mouvement national OU pas. Bon nombre de bénévoles ne part agent pas cette idée politique imposée par le bureau national, cependant elles continuent de défendre les motards localement, perdant toutes crédibilités auprès de leurs élus locaux respectifs, puisque le mouvement national accepte tout les compromis à l'encontre des motards. Motards en colère est devenu motards ET citoyens pour cause (avant vous n'étiez pas citoyens).
Une formidable machine à été mise en place pendant plus de trente ans pour finalement léser les "copains" et profiter du cuir dans une cage dorée.
Maintenant une autre association s'est créée et suis sa route doucement et sûrement. Plus proche de nous motards, plus à l'écoute, plus motarde que jamais, il s'agit de la LDM (Ligue de Défense des Motards)Certains penseront que c'est encore une association, d'autres curieux s'investiront à la lecture.Défendre nos droits, SANS être discriminer vraiment, c'est le travail de la L.D.M Contre les compromis et les fausses promesses, c'est le travail de la L.D.M. Je vous laisse les soins de découvrir son travail sur des actions locales et de la rejoindre pour combattre LA politique !!! Que vous soyez avocats, ouvriers, chômeurs, juges ou magistrat, médecin ou banquier. Vous êtes avant tout des motards et la L.D.M. pense .... Motards
Merci de m'avoir lu ... A bientôt sur nos routes, amitiés motardes V . David
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Militant- Adhérent- membre actif que je suis, voyant à ce jour la politique faites contre nous motards.
Comprendre que depuis plus de trente ANS, GRACE à cette association, la défense des deux roues motorisés prennait tout son sens... C'était avant !!!
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La Fédération française des motards en colère (FFMC) est une association loi 1901 destinée à fédérer les usagers des véhicules motorisés à deux ou trois roues[1]. Son objectif est de développer la pratique de ce moyen de transport et de défendre ses utilisateurs. Elle agit dans le domaine de la sécurité routière en initiant des actions de communication[2], de prévention et de formation, ceci pour améliorer la connaissance du danger, la prise de conscience des différents usagers de la route ainsi que l'esprit de responsabilité et d’entraide des motards. Parmi ses moyens d’action, on peut noter l’organisation de journées de prévention, des campagnes d'affichage, la tenue de réunion périodique, l'organisation de manifestations ou de journées pédagogiques.
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[1] ORIGINE :
La lutte contre l’insécurité routière s’organise à partir de 1972 avec la création de la Délégation à la sécurité routière. L’objectif est d’enrayer la courbe ascendante des tués sur la route, passés de 9 000 en 1960 à près de 17 000 en 1972. Parmi ces victimes, les motards ne sont pas épargnés puisque leur nombre augmente régulièrement depuis 1970. La délégation semble se focaliser sur ces usagers en faisant l’impasse sur l’accroissement du parc de véhicules en circulation[réf. nécessaire].
Dans ce contexte, les assureurs procèdent à des augmentations de primes de l'ordre de 15 à 30 %. Les tarifs d'assurance demandés aux motards atteignent le triple, voire le quadruple de ceux réservés aux automobilistes. À la fin des années 1970, ces augmentations n'ont pas entraîné une baisse du nombre de motards. Cependant, le coût de l'assurance amène près d’un motard sur trois à rouler sans assurer son véhicule.
En 1978, Yves Mourousi, un présentateur et rédacteur en chef très populaire du journal de 13 heures sur TF1 et motard lui-même, est nommé « Monsieur moto » par le gouvernement. Rattaché au ministère de la Jeunesse et des Sports, celui-ci a pour mission d’éclairer le dossier des deux-roues motorisés en France. Il sera à cette occasion l'initiateur du projet de construction du circuit Carole. Ce circuit, situé en région parisienne, a pour but d'offrir la possibilité aux motocyclistes amateurs de pouvoir s'exercer aux sports motocyclistes sur route. Il démissionnera cependant de son poste quelques mois plus tard.
Au soir de l’arrivée du Bol d'or de 1978, faisant suite à des faits divers impliquant des motards de retour du circuit Paul-Ricard, Christian Gerondeau, alors délégué à la Sécurité routière, s'exprime sur les ondes radiophonique. Mal reçus par une partie des utilisateurs de deux-roues motorisés, ses propos donnent lieu à la première manifestation de motards, le vendredi suivant. À cette occasion, des milliers de motards investissent la place de la Bastille, à Paris, et commencent à s’étirer en cortège pour défiler sous les fenêtres des dirigeants politiques. En province, plusieurs moto-clubs s’unissent sous des bannières explicites : « Moto liberté », « SOS Moto survie », ou encore « Moto vivante ».
Fin 1979, les relations entre tous les mouvements régionaux aboutissent à un projet de coordination nationale.
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[2] CREATION :
Dans les années 1970, les deux chocs pétroliers (le litre de super est passé de 1,25 à 3,30 francs français en 1980), l'explosion des tarifs d'assurance moto, la réforme du permis moto qui rend plus difficile l'accès aux grosses cylindrées, et surtout la mise en place de la vignette moto sont autant de problèmes auxquels les motards de la route sont confrontés. La Fédération française de motocyclisme (FFM) n'apporte pas de réponse satisfaisantes aux préoccupations des usagers des deux-roues motorisés. En effet, il s'agit d'une fédération sportive et délégataire du ministère de la jeunesse et des sports, dont le domaine de compétence se limite à la pratique du sport automobile sur pistes fermées.
Un grand nombre d'utilisateurs de deux-roues motorisés se regroupent alors au sein d'entités, tels les moto-clubs. Mais ceux-ci ne disposent pas d'une légitimité suffisante pour parvenir à porter leurs revendications à un niveau national. Face à ce constat, La Fédération française des motards en colère est alors créée en février 1980.
La mise en place officielle de la vignette fiscale (supprimée en juin 1981 pour les motos et en 2001 pour les voitures) pour les véhicules de plus de 750 cm³ et du nouveau permis est l'occasion pour cette fédération naissante de se faire connaître. À l'occasion des premières assises nationales, organisées au Havre, le porte-parole national, Jean-Marc Maldonado, lance un appel au boycott de cette vignette. L’assemblée décide alors la création d'une anti-vignette, dont les recettes doivent permettre de financer un collectif d’avocats qui défendra les motards verbalisés. Dans les premiers temps, huit motards sur dix respecteront ce boycott et ne s’acquitteront pas de la vignette. Les verbalisations sont rendues d’autant plus difficiles que la FFMC édite aussi des « motocollants » pour maquiller la cylindrée des motos. Les caches latéraux des 500 cm³ sont siglés 1 000 cm³ et inversement. En quelques semaines, des antennes départementales de la FFMC éclosent partout en France. Les manifestations se succèdent à un rythme effréné et mobilisent à chaque fois des milliers de motards. Ces manifestations sont parfois le théâtre de heurts violents avec les forces de l’ordre.
Le mouvement est alors en phase d'extension. Il s’érige d’abord en victime comme le traduisent les slogans déployés sur les banderoles : « Les motards ne meurent pas, on les tue », « Vignette : 80 % dans le baba-re » (Raymond Barre était alors premier ministre) ou encore « Le motard n’est pas une vache à lait ». La vignette moto est retirée en juin 1981, et Pierre Mayet est nommé délégué interministériel à la sécurité routière. Il est investit d'une mission claire : Inviter la FFMC à la table des négociations lors de la mise en place d’une commission nationale moto devant plancher notamment sur la réforme du permis.
L’idée d’une mutuelle d’assurance est lancée.
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Diversification des activités :
Commission juridique :
Commission Stop vol
Le 5 juin 2000, la FFMC signe une convention avec AFNOR, et le label « FFMC-Stop vol » devient la norme NF238.
Commission Éducation routière de la jeunesse (ERJ)
AUJOURD'HUI :
La Ffmc à atteint les hautes sphères au sein du gouvernement en travaillant en étroite collaboration avec le CNSR (Commission Nationale de Sécurité Routière OU Rentière)Mouvement reconnu politique de gauche, si vous n'avez pas compris que ce mouvement de pseudo défense des motards est un mouvement politique vous n'avez pas besoin d'y adhérer (DIXIT un des membres du bureau national D'autres part, tous ceux qui ne font rien et qui n'adhèrent pas à ce même mouvement sont : des connards ET des connasses (DIXIT un autre membre du bureau national) ceux qui ne comprennent pas les actions sont des bourricots (c'est de la même personne)Enfin comme toutes associations celle ci prône des statuts, la défense, la discrimination sont les grandes lignes de cette association. Il n'en est pas moins discriminant de lire les propos de ses propres membres, qui dénigrent volontairement les "motards" qui ne sont ou ne seraient pas du côté gauche .... La politique ET la moto quel mélange !???
Cette association est poussée à bouts de bras par des bénévoles, ils ne faut pas l'oublier. Ces personnes sont mises devant le fait accompli et fédère un mouvement national OU pas. Bon nombre de bénévoles ne part agent pas cette idée politique imposée par le bureau national, cependant elles continuent de défendre les motards localement, perdant toutes crédibilités auprès de leurs élus locaux respectifs, puisque le mouvement national accepte tout les compromis à l'encontre des motards. Motards en colère est devenu motards ET citoyens pour cause (avant vous n'étiez pas citoyens).
Une formidable machine à été mise en place pendant plus de trente ans pour finalement léser les "copains" et profiter du cuir dans une cage dorée.
Maintenant une autre association s'est créée et suis sa route doucement et sûrement. Plus proche de nous motards, plus à l'écoute, plus motarde que jamais, il s'agit de la LDM (Ligue de Défense des Motards)Certains penseront que c'est encore une association, d'autres curieux s'investiront à la lecture.Défendre nos droits, SANS être discriminer vraiment, c'est le travail de la L.D.M Contre les compromis et les fausses promesses, c'est le travail de la L.D.M. Je vous laisse les soins de découvrir son travail sur des actions locales et de la rejoindre pour combattre LA politique !!! Que vous soyez avocats, ouvriers, chômeurs, juges ou magistrat, médecin ou banquier. Vous êtes avant tout des motards et la L.D.M. pense .... Motards
Merci de m'avoir lu ... A bientôt sur nos routes, amitiés motardes V . David
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