Après un décès, cette entreprise aide les familles face à la paperasse et aux démarches bancaires
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Après un décès, cette entreprise aide les familles face à la paperasse et aux démarches bancaires
Après un décès, beaucoup de familles sont désemparées face aux démarches administratives à accomplir, sans parler des placements souscrits par le défunt, mais ignorés des proches. Cette entreprise de Rennes se propose de les accompagner.
Ouest-France Laurent LE GOFF. Publié le 03/11/2022 à 07h45
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration https://www.ouest-france.fr/societe/famille-quelles-sont-les-formalites-obligatoires-en-cas-de-deces-d-un-proche-7496132
pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles https://agence-api.ouest-france.fr/article/sorenir-gere-les-demarches-administratives-apres-deces pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
« Nos équipes, des anciennes infirmières, ex-assistantes sociales, conseiller funéraires, mais aussi des juristes et des banquiers, sont à même de lire la situation des ayants droit, elles sont capables de décrypter le vocabulaire, juridique ou bancaire, elles connaissent le jargon, mais aussi la réalité sociale. »
L’entreprise indépendante, gage de « neutralité » pour ses dirigeants, travaille étroitement avec des entreprises funéraires, « qui sont nos prescripteurs auprès des familles ». Le diagnostic de la situation des ayants droit est réalisé en ligne par les équipes de Sorenir. « Ensuite nous nous chargeons d’accomplir toutes les démarches en leur nom, en fonction, du mandat qu’elles nous confient. »
Déjà 60 salariés
Et ça marche plutôt bien. Trois ans après son lancement, Sorenir emploie une soixantaine de salariés pour 500 000 € de chiffre d’affaires en 2021. « Nous prévoyons de le multiplier par cinq à l’issue des trois prochaines années », précisent les trois associés.
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
« Nos équipes, des anciennes infirmières, ex-assistantes sociales, conseiller funéraires, mais aussi des juristes et des banquiers, sont à même de lire la situation des ayants droit, elles sont capables de décrypter le vocabulaire, juridique ou bancaire, elles connaissent le jargon, mais aussi la réalité sociale. »
L’entreprise indépendante, gage de « neutralité » pour ses dirigeants, travaille étroitement avec des entreprises funéraires, « qui sont nos prescripteurs auprès des familles ». Le diagnostic de la situation des ayants droit est réalisé en ligne par les équipes de Sorenir. « Ensuite nous nous chargeons d’accomplir toutes les démarches en leur nom, en fonction, du mandat qu’elles nous confient. »
Déjà 60 salariés
Et ça marche plutôt bien. Trois ans après son lancement, Sorenir emploie une soixantaine de salariés pour 500 000 € de chiffre d’affaires en 2021. « Nous prévoyons de le multiplier par cinq à l’issue des trois prochaines années », précisent les trois associés.
L’entreprise a investi dans de nouveaux locaux de 1 800 m2 à Melesse, au nord de Rennes, et se déploie dans toute la France, avec des bureaux à Amiens, Paris, Strasbourg, Pau et Aix-en-Provence. « Nous visons les 150 salariés fin 2023, dont environ 90 à Melesse. »
Sorenir propose quatre prestations : l’investigation et la récupération de capitaux (rémunération au succès, 3,6 % sur les assurances vie, 9 % sur les fonds perdus ; la récupération de pension de réversion (forfait de 360 €) ; la résiliation des abonnements (forfait de 300 €) ; et la mise en conformité de la carte grise (90 €).
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/apres-un-deces-cette-entreprise-aide-les-familles-face-a-la-paperasse-et-les-demarches-bancaires-23781be8-5a94-11ed-8bfd-8dba71fb0669?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3q1gQ2KtDXC7Y_4qNbuZQ4aWngNW2hFzVmuMJDiCBkyW6dC28Ya2VeurI#Echobox=1667472894
Ouest-France Laurent LE GOFF. Publié le 03/11/2022 à 07h45
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration https://www.ouest-france.fr/societe/famille-quelles-sont-les-formalites-obligatoires-en-cas-de-deces-d-un-proche-7496132
pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles https://agence-api.ouest-france.fr/article/sorenir-gere-les-demarches-administratives-apres-deces pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
« Nos équipes, des anciennes infirmières, ex-assistantes sociales, conseiller funéraires, mais aussi des juristes et des banquiers, sont à même de lire la situation des ayants droit, elles sont capables de décrypter le vocabulaire, juridique ou bancaire, elles connaissent le jargon, mais aussi la réalité sociale. »
L’entreprise indépendante, gage de « neutralité » pour ses dirigeants, travaille étroitement avec des entreprises funéraires, « qui sont nos prescripteurs auprès des familles ». Le diagnostic de la situation des ayants droit est réalisé en ligne par les équipes de Sorenir. « Ensuite nous nous chargeons d’accomplir toutes les démarches en leur nom, en fonction, du mandat qu’elles nous confient. »
Déjà 60 salariés
Et ça marche plutôt bien. Trois ans après son lancement, Sorenir emploie une soixantaine de salariés pour 500 000 € de chiffre d’affaires en 2021. « Nous prévoyons de le multiplier par cinq à l’issue des trois prochaines années », précisent les trois associés.
Comment savoir, après un deuil, si le défunt avait souscrit des assurances vie, des placements ? Quelles démarches accomplir auprès de l’administration pour mettre fin à un abonnement, modifier la carte grise de la personne décédée ? Les proches du défunt sont souvent désemparés, incapable d’agir et parfois totalement ignorants des contrats signés par leur proche de son vivant.
18 milliards d’euros « oubliés »
Pourtant cet argent qui dort sur des comptes d’épargne retraite ou des contrats d’assurance pèse lourd. Selon l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, ces fonds en déshérence s’élevaient en 2018 à 13,3 milliards d’euros pour l’épargne retraite et 4,7 milliards en 2017 pour l’assurance vie.
650 000 personnes décèdent chaque année et leurs familles se sentent souvent livrées à elles-mêmes face aux démarches à accomplir. 23 % d’entre elles les jugent « compliquées, voire très compliquées », d’après un sondage réalisé par les services de l’État. Ceci en raison de la charge émotionnelle ou de l’incapacité de conjoints souvent âgés à accomplir des démarches de plus en plus dématérialisées.
Décrypter le vocabulaire
Trois amis de longue date ont décidé de rassembler leurs compétences professionnelles pour accompagner les familles endeuillées dans ces démarches. Emmanuel Ruiz a travaillé dans les assurances, Vincent de la Guerrande a été chargé d’affaires dans le secteur du handicap et du maintien à domicile, enfin Simon Joly a l’expérience de la création d’entreprise. « Pour faire un nœud au mouchoir de la déshérence, il faut reprendre le parcours de vie de la personne décédée, en contactant notaires, banques, administration », expliquent les trois cofondateurs de Sorenir.
« Nos équipes, des anciennes infirmières, ex-assistantes sociales, conseiller funéraires, mais aussi des juristes et des banquiers, sont à même de lire la situation des ayants droit, elles sont capables de décrypter le vocabulaire, juridique ou bancaire, elles connaissent le jargon, mais aussi la réalité sociale. »
L’entreprise indépendante, gage de « neutralité » pour ses dirigeants, travaille étroitement avec des entreprises funéraires, « qui sont nos prescripteurs auprès des familles ». Le diagnostic de la situation des ayants droit est réalisé en ligne par les équipes de Sorenir. « Ensuite nous nous chargeons d’accomplir toutes les démarches en leur nom, en fonction, du mandat qu’elles nous confient. »
Déjà 60 salariés
Et ça marche plutôt bien. Trois ans après son lancement, Sorenir emploie une soixantaine de salariés pour 500 000 € de chiffre d’affaires en 2021. « Nous prévoyons de le multiplier par cinq à l’issue des trois prochaines années », précisent les trois associés.
L’entreprise a investi dans de nouveaux locaux de 1 800 m2 à Melesse, au nord de Rennes, et se déploie dans toute la France, avec des bureaux à Amiens, Paris, Strasbourg, Pau et Aix-en-Provence. « Nous visons les 150 salariés fin 2023, dont environ 90 à Melesse. »
Sorenir propose quatre prestations : l’investigation et la récupération de capitaux (rémunération au succès, 3,6 % sur les assurances vie, 9 % sur les fonds perdus ; la récupération de pension de réversion (forfait de 360 €) ; la résiliation des abonnements (forfait de 300 €) ; et la mise en conformité de la carte grise (90 €).
https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/apres-un-deces-cette-entreprise-aide-les-familles-face-a-la-paperasse-et-les-demarches-bancaires-23781be8-5a94-11ed-8bfd-8dba71fb0669?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3q1gQ2KtDXC7Y_4qNbuZQ4aWngNW2hFzVmuMJDiCBkyW6dC28Ya2VeurI#Echobox=1667472894
Re: Après un décès, cette entreprise aide les familles face à la paperasse et aux démarches bancaires
Faites appel aux Centre d'action Sociale pour toutes ces démarches. Les Maisons des services des communes quelque soit les ressources le font très bien et
GRATUITEMENT.
PS Et ce sûr tout le territoire national !!!
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PS Et ce sûr tout le territoire national !!!
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