LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
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LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
es oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises, étaient des lieux stratégiques établis sur des hauteurs. Voici pourquoi ils étaient considérés comme quasiment imprenables:
Conception celtique et positionnement:
Les oppidums étaient des villages fortifiés de la fin de l’âge du fer, conçus par les Celtes.
Ils étaient établis sur des hauteurs, souvent des collines, ce qui leur conférait un avantage défensif naturel.
Leur position en hauteur rendait l’accès difficile pour les assaillants et permettait une meilleure observation des environs.
Protection des enceintes:
Les oppidums étaient protégés par des enceintes, à la fois en bois et en pierre.
Ces enceintes s’étendaient sur plusieurs centaines d’hectares, formant des zones fortifiées.
Les murs étaient épais et construits selon une technique gauloise, composés de pierres sèches renforcées d’une armature intérieure de bois et de fer et de terre.
Organisation interne:
À l’intérieur des oppidums, les maisons étaient rectangulaires et disposées en rues se coupant à angle droit.
Certains quartiers étaient spécialisés, abritant des artisans travaillant le cuir, le textile ou le métal.
Certains oppidums comportaient également des espaces non construits, servant de refuge pour la population et le bétail en cas de danger.
Évolution vers des cités:
Initialement utilisés comme refuges fortifiés en cas de danger, les oppidums se sont transformés en véritables cités.
Le commerce et l’artisanat se sont développés à l’intérieur de ces agglomérations.
Des villes importantes, telles que Bibracte (capitale des Éduens) sur le mont Beuvray, ont émergé à partir d’oppidums.
Rôle dans la guerre des Gaules:
Les oppidums de Gergovie et Alésia ont joué un rôle central dans la guerre des Gaules menée par Jules César.
Le mur de Bourges (Avaricum) a été particulièrement décrit par César.
En somme, les oppidums étaient des bastions bien défendus, adaptés au relief et situés en hauteur, ce qui les rendait extrêmement résistants aux attaques ennemies.
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Conception celtique et positionnement:
Les oppidums étaient des villages fortifiés de la fin de l’âge du fer, conçus par les Celtes.
Ils étaient établis sur des hauteurs, souvent des collines, ce qui leur conférait un avantage défensif naturel.
Leur position en hauteur rendait l’accès difficile pour les assaillants et permettait une meilleure observation des environs.
Protection des enceintes:
Les oppidums étaient protégés par des enceintes, à la fois en bois et en pierre.
Ces enceintes s’étendaient sur plusieurs centaines d’hectares, formant des zones fortifiées.
Les murs étaient épais et construits selon une technique gauloise, composés de pierres sèches renforcées d’une armature intérieure de bois et de fer et de terre.
Organisation interne:
À l’intérieur des oppidums, les maisons étaient rectangulaires et disposées en rues se coupant à angle droit.
Certains quartiers étaient spécialisés, abritant des artisans travaillant le cuir, le textile ou le métal.
Certains oppidums comportaient également des espaces non construits, servant de refuge pour la population et le bétail en cas de danger.
Évolution vers des cités:
Initialement utilisés comme refuges fortifiés en cas de danger, les oppidums se sont transformés en véritables cités.
Le commerce et l’artisanat se sont développés à l’intérieur de ces agglomérations.
Des villes importantes, telles que Bibracte (capitale des Éduens) sur le mont Beuvray, ont émergé à partir d’oppidums.
Rôle dans la guerre des Gaules:
Les oppidums de Gergovie et Alésia ont joué un rôle central dans la guerre des Gaules menée par Jules César.
Le mur de Bourges (Avaricum) a été particulièrement décrit par César.
En somme, les oppidums étaient des bastions bien défendus, adaptés au relief et situés en hauteur, ce qui les rendait extrêmement résistants aux attaques ennemies.
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
12. Découverte passionnante lors des fouilles archéologiques ! Une inscription soignée sur le rebord d'une table à offrande nous révèle des noms d'origine gauloise : CRAXANTUS et MARANDI. Il s'agit de "Craxantus, fils de Marandus". De plus, on remarque les lettres -ONÆ qui pourraient faire référence à une dédicace à une divinité féminine, probablement Ep[ona]. Cette inscription, provenant sans doute du IIe siècle de notre ère, a été relevée et transcrise par Nicolas Holzem de l'Inrap et Monique Dondin-Payre du CNRS. Ces découvertes nous plongent dans l'histoire et la culture celte, dévoilant un peu plus de mystères sur nos origines. #archéologie #histoire #patrimoine #culturecelte
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Découvrez l'histoire fascinante d'Epaticcos, un roi celte qui a régné au Ier siècle sur les Atrebates dans le sud-ouest de l'Angleterre. Fils de Tasciovanos, il est connu uniquement par des inscriptions monétaires retrouvées dans la région de Silchester. Epaticcos a dirigé une faction dissidente des Atrebates et aurait joué un rôle clé dans la conquête de l'île de Bretagne par l'Empereur Claude. Son successeur aurait été Caratacos. Pour en savoir plus sur l'histoire des Celtes, n'hésitez pas à consulter les ouvrages de Venceslas Kruta et John Haywood. Plongez dans l'univers fascinant de ces peuples anciens ! ️ #Celtes #Histoire #Epaticcos #RoiCelte #conquête
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Découvrez l'histoire fascinante de Coel Hen, un roi semi-légendaire de l'île de Bretagne, avant l'invasion saxonne, selon un article de Wikipédia. Selon la tradition, il aurait épousé une fille de Gadeon ab Eudaf Hen et serait l'ancêtre de nombreux rois du nord de l'île. Ses descendants incluent des rois célèbres tels que Owain mab Urien et Gwrgi. Son nom est également lié à la ville de Colchester en Angleterre. La légende raconte qu'il s'est insurgé contre le roi Asclépiodote et a été vaincu par le sénateur Constantius. Connaissez-vous la comptine anglaise "Old King Cole" ? Elle fait référence à Coel Hen, ce roi jovial et mystérieux. Plongez dans l'histoire de ce personnage fascinant ! #Histoire #Légende #coelhen
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Must Farm est un site archéologique de l'Âge du bronze découvert en 1999 à Whittlesey, dans le bassin de Flag Fen, près de Peterborough, dans le comté du Cambridgeshire, en Angleterre. Ce site constitue une véritable capsule temporelle de l'Âge du bronze britannique.
Avant la découverte du site, de nombreux objets avaient été découverts en 1969 à cet endroit. C'est seulement trente ans plus tard, en 1999, à côté d'une carrière d'argile, que fut véritablement découvert le site. Les exploitants de cette carrière découvrirent de nombreux morceaux de bois. C'est alors qu'un archéologue local intervint et découvrit que c'étaient en réalité des poteaux en bois qui devaient constituer une ancienne habitation. Les premières recherches furent effectuées en 2004 puis, de façon plus poussée, en 2006.
En 2011 et en 2015, l'unité archéologique de Cambridge, en collaboration avec Forterra, l'équipe locale d'étude de l'environnement historique, a entrepris de nombreuses recherches le long de cette ancienne rivière et ils ont découvert de nombreux bateaux et vestiges archéologiques.
Les fouilles ont pris fin mi-2016 et le site a été comblé afin de le protéger. Les études se sont toutefois poursuivies, aussi bien sur les objets découverts que sur les hypothèses liées à sa construction et à sa destruction. Ces recherches ont permis une meilleure compréhension du mode de vie des habitants de cette région durant l'Âge du bronze britannique.
Must Farm a été surnommé avec emphase par un documentaire de la BBC d'aout 2016 " le Pompéi britannique ", en raison de l'état de conservation remarquable de ses cinq habitations circulaires en bois et de l'abondant mobilier archéologique qui y a été trouvé.
L'évaluation de la surface faite en 2006 a permis de comprendre qu'il existait de véritables maisons sur pilotis datant de 1000 à 800 av. J.-C., qui avaient dû glisser dans la rivière après un incendie. Les maisons se sont donc effondrées dans la rivière, ce qui a éteint l'incendie, et la vase a alors permis une conservation exceptionnelle des éléments en bois, ainsi que de nombreux ustensiles et aliments. Les dernières recherches suggèrent que le site aurait été édifié moins d'un an avant sa destruction.
On a trouvé des pirogues en bois dans un ancien bras de la rivière envahi par la vase. Leur datation par le carbone 14 couvre un millier d'années, à partir d'environ 1700 av. J.-C. Des pièges à poissons très élaborés étaient aussi en place dans ce bras de rivière. Des perles de verre exhumées étaient probablement utilisées comme bijoux, ou peut-être comme monnaie d'échange. On a aussi trouvé des pots avec pour certains de la nourriture, conservée grâce à la vase. De plus, de nombreux fragments textiles ont été découverts, qui devaient provenir des vêtements des habitants. Ces vêtements étaient faits à partir de fibres de plante et de tilleul.
https://www.facebook.com/photo/?fbid=848179500670948&set=a.458288679660034
Avant la découverte du site, de nombreux objets avaient été découverts en 1969 à cet endroit. C'est seulement trente ans plus tard, en 1999, à côté d'une carrière d'argile, que fut véritablement découvert le site. Les exploitants de cette carrière découvrirent de nombreux morceaux de bois. C'est alors qu'un archéologue local intervint et découvrit que c'étaient en réalité des poteaux en bois qui devaient constituer une ancienne habitation. Les premières recherches furent effectuées en 2004 puis, de façon plus poussée, en 2006.
En 2011 et en 2015, l'unité archéologique de Cambridge, en collaboration avec Forterra, l'équipe locale d'étude de l'environnement historique, a entrepris de nombreuses recherches le long de cette ancienne rivière et ils ont découvert de nombreux bateaux et vestiges archéologiques.
Les fouilles ont pris fin mi-2016 et le site a été comblé afin de le protéger. Les études se sont toutefois poursuivies, aussi bien sur les objets découverts que sur les hypothèses liées à sa construction et à sa destruction. Ces recherches ont permis une meilleure compréhension du mode de vie des habitants de cette région durant l'Âge du bronze britannique.
Must Farm a été surnommé avec emphase par un documentaire de la BBC d'aout 2016 " le Pompéi britannique ", en raison de l'état de conservation remarquable de ses cinq habitations circulaires en bois et de l'abondant mobilier archéologique qui y a été trouvé.
L'évaluation de la surface faite en 2006 a permis de comprendre qu'il existait de véritables maisons sur pilotis datant de 1000 à 800 av. J.-C., qui avaient dû glisser dans la rivière après un incendie. Les maisons se sont donc effondrées dans la rivière, ce qui a éteint l'incendie, et la vase a alors permis une conservation exceptionnelle des éléments en bois, ainsi que de nombreux ustensiles et aliments. Les dernières recherches suggèrent que le site aurait été édifié moins d'un an avant sa destruction.
On a trouvé des pirogues en bois dans un ancien bras de la rivière envahi par la vase. Leur datation par le carbone 14 couvre un millier d'années, à partir d'environ 1700 av. J.-C. Des pièges à poissons très élaborés étaient aussi en place dans ce bras de rivière. Des perles de verre exhumées étaient probablement utilisées comme bijoux, ou peut-être comme monnaie d'échange. On a aussi trouvé des pots avec pour certains de la nourriture, conservée grâce à la vase. De plus, de nombreux fragments textiles ont été découverts, qui devaient provenir des vêtements des habitants. Ces vêtements étaient faits à partir de fibres de plante et de tilleul.
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Dernière édition par Admin le Ven 5 Avr - 5:17, édité 1 fois
Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Le crâne partiel utilisé pour reconstituer le visage de cet homme a été découvert avec d'autres crânes humains et mâchoires d'animaux déposés dans un lac suédois vers 6 000 avant JC. L'artiste qui a reconstitué cet homme a choisi de lui offrir une cape en sanglier, l'une des les espèces animales également présentes dans le lac.
Il est physiquement imposant, la cinquantaine, avec une barbe grise et raide disparaissant dans sa cape de sanglier. Sa large poitrine est tamponnée de craie et ses yeux bleu pâle sont plissés, comme s'il apercevait quelque chose au loin. Surnommé « Ludvig », il vivait en Europe du Nord il y a environ 8 000 ans.
Dommage que Ludvig ne puisse pas parler, car les chercheurs ont beaucoup de questions à lui poser.
Il s'agit de la première reconstruction faciale à partir de restes humains découverts il y a une dizaine d'années dans le centre-sud de la Suède à Kanaljorden , un curieux site archéologique où, vers 6 000 avant JC, des os d'animaux et humains avaient été délibérément disposés sur une plate-forme de pierre submergée au centre de un petit lac. Kanaljorden a fait la une des journaux internationaux en 2018 lorsque des chercheurs ont publié un rapport sur les fouilles, notant que le bois conservé à l'intérieur de deux des crânes indiquait qu'au moins certains d'entre eux avaient été montés sur des pieux. Cela ne ressemblait à rien de ce que les scientifiques avaient vu auparavant.
" C'est un site très fascinant et assez complexe ", explique Fredrik Hallgren, directeur du projet Kanaljorden pour la Fondation suédoise du patrimoine culturel.
La reconstruction du visage a été commandée par le Charlottenborgs slott , un musée de la ville voisine de Motala, pour une exposition en 2020. Le musée est installé dans un manoir du XVIIe siècle construit par le comte Ludvig Wierich Lewenhaupt, l'homonyme inversé de l'ancien Ludvig.
Hannah Graffman, responsable de la culture et des loisirs à Motala, a déclaré que la reconstruction donnerait aux habitants de la ville l'occasion de voir à quoi ressemblait l'un de ses premiers habitants. Son surnom, concède-t-elle, n’est " cependant pas vraiment un nom de l’âge de pierre ".
Kanaljorden, qui a été fouillé entre 2009 et 2014, est un site particulièrement fascinant pour les archéologues qui étudient le Mésolithique scandinave, une période après le retrait des derniers glaciers de la région et au cours de laquelle des groupes de chasseurs-cueilleurs de l'ouest de l'Europe continentale et du nord-est de l'Europe ont commencé à se déplacer. il y a environ 11 000 ans.
Les restes de Kanaljorden diffèrent de la plupart des autres sépultures mésolithiques scandinaves, qui ont tendance à être des sépultures dans le sol. Ici , vers 6 000 av . et le blaireau.
" C'est presque comme si les humains et les animaux se complétaient de manière symbolique ", explique Hallgren.
La nature inhabituelle de Kanaljorden a frappé l'archéologue et sculpteur Oscar Nilsson , qui a étudié des photographies du site pour tenter de comprendre ce qui a pu motiver les gens de l'époque à disposer soigneusement et à submerger les ossements.
" Quand vous regardez les crânes, comment ils ont été placés, vous regardez simplement leur monde imaginaire, leur religion ", dit-il.
Les chercheurs ont pu obtenir des données ADN de six des neuf crânes, leur permettant de déterminer la couleur de la peau, des cheveux et des yeux des individus. Certains Européens du Mésolithique avaient probablement un teint plus foncé que les habitants modernes , un fait reflété dans les récentes recréations de deux femmes qui vivaient en Scandinavie à l'époque de Ludvig ou plus tard. Alors que Ludvig a la peau claire et les yeux clairs, l'ADN d'un crâne féminin qui sera reconstruit l'année prochaine indique qu'elle était blonde mais de peau plus foncée, attestant de la complexité génétique de la Scandinavie à cette époque.
Graffman etait impatient de voir comment Ludvig est accueilli par les habitants de Motala du XXIe siècle et considère la reconstruction comme un moyen de construire des ponts entre les gens à travers l'espace et le temps.
" C'est ce que nous essayons de faire dans toutes sortes de domaines différents, que ce soit comme cette [reconstruction] ou lorsque nous lisons des livres sur d'autres personnes ou que nous voyons des œuvres d'art qui nous connectent ", dit-elle. "Je pense qu'il est important de trouver des liens entre les gens."
https://www.facebook.com/photo/?fbid=850311810457717&set=a.458288679660034
Il est physiquement imposant, la cinquantaine, avec une barbe grise et raide disparaissant dans sa cape de sanglier. Sa large poitrine est tamponnée de craie et ses yeux bleu pâle sont plissés, comme s'il apercevait quelque chose au loin. Surnommé « Ludvig », il vivait en Europe du Nord il y a environ 8 000 ans.
Dommage que Ludvig ne puisse pas parler, car les chercheurs ont beaucoup de questions à lui poser.
Il s'agit de la première reconstruction faciale à partir de restes humains découverts il y a une dizaine d'années dans le centre-sud de la Suède à Kanaljorden , un curieux site archéologique où, vers 6 000 avant JC, des os d'animaux et humains avaient été délibérément disposés sur une plate-forme de pierre submergée au centre de un petit lac. Kanaljorden a fait la une des journaux internationaux en 2018 lorsque des chercheurs ont publié un rapport sur les fouilles, notant que le bois conservé à l'intérieur de deux des crânes indiquait qu'au moins certains d'entre eux avaient été montés sur des pieux. Cela ne ressemblait à rien de ce que les scientifiques avaient vu auparavant.
" C'est un site très fascinant et assez complexe ", explique Fredrik Hallgren, directeur du projet Kanaljorden pour la Fondation suédoise du patrimoine culturel.
La reconstruction du visage a été commandée par le Charlottenborgs slott , un musée de la ville voisine de Motala, pour une exposition en 2020. Le musée est installé dans un manoir du XVIIe siècle construit par le comte Ludvig Wierich Lewenhaupt, l'homonyme inversé de l'ancien Ludvig.
Hannah Graffman, responsable de la culture et des loisirs à Motala, a déclaré que la reconstruction donnerait aux habitants de la ville l'occasion de voir à quoi ressemblait l'un de ses premiers habitants. Son surnom, concède-t-elle, n’est " cependant pas vraiment un nom de l’âge de pierre ".
Kanaljorden, qui a été fouillé entre 2009 et 2014, est un site particulièrement fascinant pour les archéologues qui étudient le Mésolithique scandinave, une période après le retrait des derniers glaciers de la région et au cours de laquelle des groupes de chasseurs-cueilleurs de l'ouest de l'Europe continentale et du nord-est de l'Europe ont commencé à se déplacer. il y a environ 11 000 ans.
Les restes de Kanaljorden diffèrent de la plupart des autres sépultures mésolithiques scandinaves, qui ont tendance à être des sépultures dans le sol. Ici , vers 6 000 av . et le blaireau.
" C'est presque comme si les humains et les animaux se complétaient de manière symbolique ", explique Hallgren.
La nature inhabituelle de Kanaljorden a frappé l'archéologue et sculpteur Oscar Nilsson , qui a étudié des photographies du site pour tenter de comprendre ce qui a pu motiver les gens de l'époque à disposer soigneusement et à submerger les ossements.
" Quand vous regardez les crânes, comment ils ont été placés, vous regardez simplement leur monde imaginaire, leur religion ", dit-il.
Les chercheurs ont pu obtenir des données ADN de six des neuf crânes, leur permettant de déterminer la couleur de la peau, des cheveux et des yeux des individus. Certains Européens du Mésolithique avaient probablement un teint plus foncé que les habitants modernes , un fait reflété dans les récentes recréations de deux femmes qui vivaient en Scandinavie à l'époque de Ludvig ou plus tard. Alors que Ludvig a la peau claire et les yeux clairs, l'ADN d'un crâne féminin qui sera reconstruit l'année prochaine indique qu'elle était blonde mais de peau plus foncée, attestant de la complexité génétique de la Scandinavie à cette époque.
Graffman etait impatient de voir comment Ludvig est accueilli par les habitants de Motala du XXIe siècle et considère la reconstruction comme un moyen de construire des ponts entre les gens à travers l'espace et le temps.
" C'est ce que nous essayons de faire dans toutes sortes de domaines différents, que ce soit comme cette [reconstruction] ou lorsque nous lisons des livres sur d'autres personnes ou que nous voyons des œuvres d'art qui nous connectent ", dit-elle. "Je pense qu'il est important de trouver des liens entre les gens."
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Kópakonan : une statue de la femme-phoque a été érigée à Mikladagur, sur l'île de Kalsoy, le 1er août 2014. La statue mesure 2,6 mètres de long, pèse 450 kilogrammes et est faite de bronze et d'acier inoxydable.
La légende de Kópakonan (la femme-phoque) est l'un des contes populaires les plus connus des îles Féroé.
On croyait que les phoques étaient d'anciens êtres humains qui cherchaient volontairement la mort dans l'océan. Une fois par an, la treizième nuit, ils étaient autorisés à revenir sur la terre ferme, à se dépouiller de leur peau et à s'amuser comme des êtres humains, en dansant et en se divertissant.
Un jeune fermier du village de Mikladalur, sur l'île septentrionale de Kalsoy, se demandant si cette histoire était vraie, est allé attendre sur la plage un soir de treizième nuit. Il observa et vit les phoques arriver en grand nombre, nageant vers le rivage. Ils grimpèrent sur la plage, se débarrassèrent de leurs peaux et les déposèrent soigneusement sur les rochers.
Débarrassés de leur peau, ils ressemblaient à des êtres humains normaux. Le jeune garçon regarda une jolie fille phoque qui posait sa peau près de l'endroit où il se cachait et, lorsque la danse commença, il se faufila et la vola. Les danses et les jeux durèrent toute la nuit, mais dès que le soleil commença à poindre à l'horizon, tous les phoques vinrent récupérer leurs peaux pour retourner à la mer. La fille phoque fut très contrariée de ne pas retrouver sa peau, dont l'odeur flottait encore dans l'air, et c'est alors qu'apparut l'homme de Mikladalur qui la tenait, mais qui ne voulut pas la lui rendre, malgré ses supplications désespérées, et elle fut obligée de l'accompagner dans sa ferme.
Il la garda auprès de lui pendant de nombreuses années en tant qu'épouse, et elle lui donna plusieurs enfants ; mais il devait toujours veiller à ce qu'elle n'ait pas accès à sa peau. Il la gardait enfermée dans un coffre dont lui seul avait la clé, clé qu'il gardait en permanence sur une chaîne attachée à sa ceinture.
Un jour, alors qu'il était en mer en train de pêcher avec ses compagnons, il se rendit compte qu'il avait laissé la clé à la maison. Il annonça à ses compagnons : "Aujourd'hui, je vais perdre ma femme ! - et il expliqua ce qui s'était passé. Les hommes remontèrent leurs filets et leurs lignes et ramèrent vers le rivage aussi vite qu'ils le purent, mais lorsqu'ils arrivèrent à la ferme, ils trouvèrent les enfants tout seuls et leur mère partie. Leur père savait qu'elle ne reviendrait pas, car elle avait éteint le feu et rangé tous les couteaux, afin que les enfants ne puissent pas se faire de mal après son départ.
En effet, une fois arrivée sur le rivage, elle avait revêtu sa peau de phoque et plongé dans l'eau, où un phoque mâle, qui l'avait aimée toutes ces années auparavant et qui l'attendait toujours, avait surgi à côté d'elle.
Lorsque ses enfants, ceux qu'elle avait eus avec l'homme de Mikladalur, venaient plus tard sur la plage, un phoque émergeait et regardait vers la terre ; les gens croyaient naturellement qu'il s'agissait de la mère des enfants. Les années passèrent ainsi.
https://www.facebook.com/photo/?fbid=856501113172120&set=a.458288679660034
La légende de Kópakonan (la femme-phoque) est l'un des contes populaires les plus connus des îles Féroé.
On croyait que les phoques étaient d'anciens êtres humains qui cherchaient volontairement la mort dans l'océan. Une fois par an, la treizième nuit, ils étaient autorisés à revenir sur la terre ferme, à se dépouiller de leur peau et à s'amuser comme des êtres humains, en dansant et en se divertissant.
Un jeune fermier du village de Mikladalur, sur l'île septentrionale de Kalsoy, se demandant si cette histoire était vraie, est allé attendre sur la plage un soir de treizième nuit. Il observa et vit les phoques arriver en grand nombre, nageant vers le rivage. Ils grimpèrent sur la plage, se débarrassèrent de leurs peaux et les déposèrent soigneusement sur les rochers.
Débarrassés de leur peau, ils ressemblaient à des êtres humains normaux. Le jeune garçon regarda une jolie fille phoque qui posait sa peau près de l'endroit où il se cachait et, lorsque la danse commença, il se faufila et la vola. Les danses et les jeux durèrent toute la nuit, mais dès que le soleil commença à poindre à l'horizon, tous les phoques vinrent récupérer leurs peaux pour retourner à la mer. La fille phoque fut très contrariée de ne pas retrouver sa peau, dont l'odeur flottait encore dans l'air, et c'est alors qu'apparut l'homme de Mikladalur qui la tenait, mais qui ne voulut pas la lui rendre, malgré ses supplications désespérées, et elle fut obligée de l'accompagner dans sa ferme.
Il la garda auprès de lui pendant de nombreuses années en tant qu'épouse, et elle lui donna plusieurs enfants ; mais il devait toujours veiller à ce qu'elle n'ait pas accès à sa peau. Il la gardait enfermée dans un coffre dont lui seul avait la clé, clé qu'il gardait en permanence sur une chaîne attachée à sa ceinture.
Un jour, alors qu'il était en mer en train de pêcher avec ses compagnons, il se rendit compte qu'il avait laissé la clé à la maison. Il annonça à ses compagnons : "Aujourd'hui, je vais perdre ma femme ! - et il expliqua ce qui s'était passé. Les hommes remontèrent leurs filets et leurs lignes et ramèrent vers le rivage aussi vite qu'ils le purent, mais lorsqu'ils arrivèrent à la ferme, ils trouvèrent les enfants tout seuls et leur mère partie. Leur père savait qu'elle ne reviendrait pas, car elle avait éteint le feu et rangé tous les couteaux, afin que les enfants ne puissent pas se faire de mal après son départ.
En effet, une fois arrivée sur le rivage, elle avait revêtu sa peau de phoque et plongé dans l'eau, où un phoque mâle, qui l'avait aimée toutes ces années auparavant et qui l'attendait toujours, avait surgi à côté d'elle.
Lorsque ses enfants, ceux qu'elle avait eus avec l'homme de Mikladalur, venaient plus tard sur la plage, un phoque émergeait et regardait vers la terre ; les gens croyaient naturellement qu'il s'agissait de la mère des enfants. Les années passèrent ainsi.
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Re: LES CELTES Les oppidums, ces premières villes fortifiées gauloises,
Le bébé bercé dans le bras de sa mère est la plus ancienne sépulture d'enfant des Pays-Bas :
Des archéologues néerlandais ont découvert, dans la ville de Nieuwegein, au centre des Pays-Bas, une sépulture datant de l'âge de pierre, vieille de 6 000 ans, représentant une femme portant un bébé dans son bras. Il s'agit de la plus ancienne sépulture d'enfant jamais découverte aux Pays-Bas.
Nieuwegein est riche en matériel archéologique de la culture du Swifterbant, une culture de l'ère néolithique qui est passée de la chasse à la cueillette à l'élevage de bétail dans des établissements situés le long des berges des rivières et des zones humides de ce qui est aujourd'hui les Pays-Bas, entre 5300 et 3400 av.
Une multitude d'objets et de vestiges de Swifterbant, environ 136 000 (bien plus que ce qui a été découvert sur le site type de Swifterbant, dans la province de Flevoland), ont été découverts sous six pieds et demi d'argile et de tourbe dans le parc d'activités Het Klooster, à Nieuwegein. Les artefacts comprennent des centaines de morceaux de silex, une meule usée jusqu'à une surface lisse par la deuxième meule utilisée pour moudre les grains et les céréales, un pendentif en jais, des ciseaux en os d'animaux et de la poterie en terre cuite. L'argile et la tourbe ont permis de conserver les objets et les vestiges dans un état de conservation exceptionnellement bon pendant des milliers d'années. L'un des récipients en poterie contenait encore une couche de nourriture.
Ils ont également découvert quatre squelettes qu'ils ont découpés en bloc dans l'argile et transportés au laboratoire de Leyde du RAAP Archaeological Consultancy pour une fouille minutieuse. L'un d'entre eux était le squelette d'une jeune femme adulte âgée de 20 à 30 ans au moment de son décès. Lorsque les restes ont été déterrés pour la première fois, les archéologues n'ont pas réalisé qu'ils venaient de trouver la plus ancienne sépulture de nourrisson des Pays-Bas. Ils n'ont pas réalisé qu'il s'agissait d'une période de sépulture infantile.
Il n'y avait pas de matériel ostéologique immédiatement visible indiquant la présence d'un bébé enterré avec la jeune femme. C'est le bras droit de la femme, plié à un angle de 90 degrés et le coude en dehors, qui a suggéré aux archéologues qu'il y avait quelque chose d'anormal à cet endroit. La culture Swifterbant enterrait ses morts les jambes tendues et les bras tendus le long du corps.
Lorsque les restes ont été excavés en laboratoire, les archéologues ont découvert de petits fragments d'os dans le creux du bras droit de la femme : des morceaux de clavicules, de crâne, un os de la jambe, une mandibule complète avec des dents de lait. Les dents étaient si petites qu'elles auraient pu appartenir à un nouveau-né (il y a des petites dents dans leurs petites mâchoires, mais elles n'ont pas encore fait éruption) ou à un bébé de six mois.
Il s'agit d'une découverte exceptionnellement rare. Les os des nourrissons sont si mous qu'ils se désintègrent dans les mois qui suivent l'enterrement. Les conditions d'immersion de cette sépulture, les épais dépôts d'argile alluviale et la tourbe ont préservé ces restes fragiles pendant 6 000 ans.
L'équipe d'archéologues espère déterminer si la femme adulte et le bébé qu'elle repose en le berçant sont, comme on pourrait le supposer, la mère et l'enfant, grâce à l'analyse de l'ADN.
Les tests ADN devront déterminer si la femme est la mère du bébé, bien qu'il semble y avoir peu de doutes à ce sujet, et le sexe du bébé. Les archéologues espèrent que cette découverte leur permettra d'en savoir plus sur les cérémonies funéraires du peuple Swifterbant. "Nous savons comment ils vivaient, quelle sorte de nourriture ils mangeaient, à quoi ressemblaient leurs maisons, mais nous ne savons pas encore grand-chose sur la façon dont ils enterraient leurs morts et sur ce qu'il advenait des enfants", a déclaré M. Molthof à la chaîne de télévision.
L'analyse isotopique devra montrer si la femme est née dans la région ou si elle s'y est rendue à une date ultérieure.
https://www.facebook.com/photo/?fbid=857128859776012&set=a.458288679660034
Des archéologues néerlandais ont découvert, dans la ville de Nieuwegein, au centre des Pays-Bas, une sépulture datant de l'âge de pierre, vieille de 6 000 ans, représentant une femme portant un bébé dans son bras. Il s'agit de la plus ancienne sépulture d'enfant jamais découverte aux Pays-Bas.
Nieuwegein est riche en matériel archéologique de la culture du Swifterbant, une culture de l'ère néolithique qui est passée de la chasse à la cueillette à l'élevage de bétail dans des établissements situés le long des berges des rivières et des zones humides de ce qui est aujourd'hui les Pays-Bas, entre 5300 et 3400 av.
Une multitude d'objets et de vestiges de Swifterbant, environ 136 000 (bien plus que ce qui a été découvert sur le site type de Swifterbant, dans la province de Flevoland), ont été découverts sous six pieds et demi d'argile et de tourbe dans le parc d'activités Het Klooster, à Nieuwegein. Les artefacts comprennent des centaines de morceaux de silex, une meule usée jusqu'à une surface lisse par la deuxième meule utilisée pour moudre les grains et les céréales, un pendentif en jais, des ciseaux en os d'animaux et de la poterie en terre cuite. L'argile et la tourbe ont permis de conserver les objets et les vestiges dans un état de conservation exceptionnellement bon pendant des milliers d'années. L'un des récipients en poterie contenait encore une couche de nourriture.
Ils ont également découvert quatre squelettes qu'ils ont découpés en bloc dans l'argile et transportés au laboratoire de Leyde du RAAP Archaeological Consultancy pour une fouille minutieuse. L'un d'entre eux était le squelette d'une jeune femme adulte âgée de 20 à 30 ans au moment de son décès. Lorsque les restes ont été déterrés pour la première fois, les archéologues n'ont pas réalisé qu'ils venaient de trouver la plus ancienne sépulture de nourrisson des Pays-Bas. Ils n'ont pas réalisé qu'il s'agissait d'une période de sépulture infantile.
Il n'y avait pas de matériel ostéologique immédiatement visible indiquant la présence d'un bébé enterré avec la jeune femme. C'est le bras droit de la femme, plié à un angle de 90 degrés et le coude en dehors, qui a suggéré aux archéologues qu'il y avait quelque chose d'anormal à cet endroit. La culture Swifterbant enterrait ses morts les jambes tendues et les bras tendus le long du corps.
Lorsque les restes ont été excavés en laboratoire, les archéologues ont découvert de petits fragments d'os dans le creux du bras droit de la femme : des morceaux de clavicules, de crâne, un os de la jambe, une mandibule complète avec des dents de lait. Les dents étaient si petites qu'elles auraient pu appartenir à un nouveau-né (il y a des petites dents dans leurs petites mâchoires, mais elles n'ont pas encore fait éruption) ou à un bébé de six mois.
Il s'agit d'une découverte exceptionnellement rare. Les os des nourrissons sont si mous qu'ils se désintègrent dans les mois qui suivent l'enterrement. Les conditions d'immersion de cette sépulture, les épais dépôts d'argile alluviale et la tourbe ont préservé ces restes fragiles pendant 6 000 ans.
L'équipe d'archéologues espère déterminer si la femme adulte et le bébé qu'elle repose en le berçant sont, comme on pourrait le supposer, la mère et l'enfant, grâce à l'analyse de l'ADN.
Les tests ADN devront déterminer si la femme est la mère du bébé, bien qu'il semble y avoir peu de doutes à ce sujet, et le sexe du bébé. Les archéologues espèrent que cette découverte leur permettra d'en savoir plus sur les cérémonies funéraires du peuple Swifterbant. "Nous savons comment ils vivaient, quelle sorte de nourriture ils mangeaient, à quoi ressemblaient leurs maisons, mais nous ne savons pas encore grand-chose sur la façon dont ils enterraient leurs morts et sur ce qu'il advenait des enfants", a déclaré M. Molthof à la chaîne de télévision.
L'analyse isotopique devra montrer si la femme est née dans la région ou si elle s'y est rendue à une date ultérieure.
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