Commune. Le poste d'animateur non reconduit
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Commune. Le poste d'animateur non reconduit
5 octobre 2015
Samedi, à 11 h, c'est en présence des forces de l'ordre que des Plouhatins, enfants, parents, employés municipaux, représentants d'associations, élus de l'opposition, se sont rassemblés devant la mairie en quête d'explications motivant la non-pérennisation de Nicolas Gaillard dans son emploi d'animateur auprès des enfants.
« Une affaire privée » La demande de séance publique a été refusée par Hubert de La Villeon, 2e adjoint, Françoise Disquay, chargée des affaires sociales et familiales et Chantal Devessier, chargée des affaires scolaires. Jugeant qu'il s'agit « d'une affaire privée », Hubert de La Villeon a également « refusé la présence de la presse ».
À 12 h, une délégation composée de Floriane Temen, représentante de l'API, de cinq parents d'élèves, de trois représentants de la municipalité de deux citoyens et de M. Gaillard, père de Nicolas, a été reçue par les trois élus. « Nous voulons savoir pourquoi Nicolas, qui a été reconduit dans ses fonctions pendant cinq ans, et à qui la municipalité a fait confiance cet été pour assurer la direction du centre de loisirs n'a pas été pérennisé dans son poste ». Aucun élément concret À 13 h 25, le collectif a quitté la mairie et les élus ont fermé la porte.
« Pendant plus d'une heure et demie, des échanges se sont tenus sans qu'aucun élément concret n'ait été livré. Si le collectif présent a fait des propositions afin de pérenniser et garantir l'emploi de Nicolas, aucune sortie de crise n'a été retenue ou proposée par les élus à l'exception de la possibilité de reprendre rendez-vous avec le maire », a indiqué Floriane Temen
http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/plouha/commune-le-poste-d-animateur-non-reconduit-05-10-2015-10799302.php
Samedi, à 11 h, c'est en présence des forces de l'ordre que des Plouhatins, enfants, parents, employés municipaux, représentants d'associations, élus de l'opposition, se sont rassemblés devant la mairie en quête d'explications motivant la non-pérennisation de Nicolas Gaillard dans son emploi d'animateur auprès des enfants.
« Une affaire privée » La demande de séance publique a été refusée par Hubert de La Villeon, 2e adjoint, Françoise Disquay, chargée des affaires sociales et familiales et Chantal Devessier, chargée des affaires scolaires. Jugeant qu'il s'agit « d'une affaire privée », Hubert de La Villeon a également « refusé la présence de la presse ».
À 12 h, une délégation composée de Floriane Temen, représentante de l'API, de cinq parents d'élèves, de trois représentants de la municipalité de deux citoyens et de M. Gaillard, père de Nicolas, a été reçue par les trois élus. « Nous voulons savoir pourquoi Nicolas, qui a été reconduit dans ses fonctions pendant cinq ans, et à qui la municipalité a fait confiance cet été pour assurer la direction du centre de loisirs n'a pas été pérennisé dans son poste ». Aucun élément concret À 13 h 25, le collectif a quitté la mairie et les élus ont fermé la porte.
« Pendant plus d'une heure et demie, des échanges se sont tenus sans qu'aucun élément concret n'ait été livré. Si le collectif présent a fait des propositions afin de pérenniser et garantir l'emploi de Nicolas, aucune sortie de crise n'a été retenue ou proposée par les élus à l'exception de la possibilité de reprendre rendez-vous avec le maire », a indiqué Floriane Temen
http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/plouha/commune-le-poste-d-animateur-non-reconduit-05-10-2015-10799302.php
Re: Commune. Le poste d'animateur non reconduit
Nicolas GAILLARD écrit :
"Merci aux journalistes de Ouest- France et du Télégramme pour leurs comptes rendus très objectifs de la situation. Merci encore à vous tous.
Pour moi, la situation peut se résumer ainsi :
- soit, il m’est reproché quelque chose – ( en ce sens M. Namyls qui déclare à la presse que c’est une « affaire strictement personnelle et individuelle », ou refus de M. de la VILLEON de recevoir la presse au motif que ce serait « une affaire privée »)- auquel cas je donne expressément et irrévocablement mon accord pour libérer totalement la parole des élus .
En contrepartie cela me permettrait, le cas échéant, d’apporter tout aussi librement mon propre éclairage sur ce dossier.
-soit, il ne m’est rien reproché, comme cela a été dit en réunion publique du 3 octobre, et cela reste simplement un choix de candidature, qui pour tous s’apparente à une simple cooptation.
Une sortie de crise de manière à ce que tout le monde s’en sorte la tête haute reste possible, compte tenu qu’un poste de animateur/directrice adjointe est actuellement vacant.
1/ Me titulariser aux mêmes conditions (28 heures) sur le poste que j’occupais précédemment, sans aucun triomphalisme, ni rancœur de ma part à l’égard de quiconque, ce à quoi je m’engage.
2/ Remettre mademoiselle F… sur le poste qu’elle occupait, qu’elle souhaitait conserver, et unique poste auquel elle avait postulé . (35 heures comme initialement)
3/ Conserver la nouvelle recrue sur la base du contrat qu’il a signé (35 heures)
Que pensez-vous de cette proposition ?
N.B. Je souhaiterais la publication de cet article, et son maintien de manière continue au moins jusqu’à une prochaine rencontre avec M . Duval."
"Merci aux journalistes de Ouest- France et du Télégramme pour leurs comptes rendus très objectifs de la situation. Merci encore à vous tous.
Pour moi, la situation peut se résumer ainsi :
- soit, il m’est reproché quelque chose – ( en ce sens M. Namyls qui déclare à la presse que c’est une « affaire strictement personnelle et individuelle », ou refus de M. de la VILLEON de recevoir la presse au motif que ce serait « une affaire privée »)- auquel cas je donne expressément et irrévocablement mon accord pour libérer totalement la parole des élus .
En contrepartie cela me permettrait, le cas échéant, d’apporter tout aussi librement mon propre éclairage sur ce dossier.
-soit, il ne m’est rien reproché, comme cela a été dit en réunion publique du 3 octobre, et cela reste simplement un choix de candidature, qui pour tous s’apparente à une simple cooptation.
Une sortie de crise de manière à ce que tout le monde s’en sorte la tête haute reste possible, compte tenu qu’un poste de animateur/directrice adjointe est actuellement vacant.
1/ Me titulariser aux mêmes conditions (28 heures) sur le poste que j’occupais précédemment, sans aucun triomphalisme, ni rancœur de ma part à l’égard de quiconque, ce à quoi je m’engage.
2/ Remettre mademoiselle F… sur le poste qu’elle occupait, qu’elle souhaitait conserver, et unique poste auquel elle avait postulé . (35 heures comme initialement)
3/ Conserver la nouvelle recrue sur la base du contrat qu’il a signé (35 heures)
Que pensez-vous de cette proposition ?
N.B. Je souhaiterais la publication de cet article, et son maintien de manière continue au moins jusqu’à une prochaine rencontre avec M . Duval."
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