diaporama 11.11.2014
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diaporama 11.11.2014
Bonsoir un petit kizoa concernant le 11.11.2014
http://www.kizoa.fr/slideshow-maker/d14832344k4741397o1/11-novembre
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Madame, Monsieur,
La longueur de la liste des 176 Plouhatins qui ne sont pas revenus vivants, effraie autant qu’elle donne la mesure de la cruauté d’une guerre qui a pris des familles entières.
Prononcer le nom de ceux qui sont morts pour que nous vivions dans la paix,
de ceux qui ont trouvé dans la boue des tranchées les pires tourments de la douleur humaine,
c’est se rappeler que chacun d’eux étaient promis, comme nous le sommes nous même, à une vie en paix, à grandir, évoluer, ressentir, aimer, fonder une famille…
Au lieu de cela, ils ont trouver la mort dans la boue, sur les barbelés, dans l’assaut, dans la mitraille, dans les explosions. Combien de soldats agonisant sur le champs de bataille ? Combien de corps mutilés ? Combien de soldats ont fermés les yeux en accrochant le souvenir de ceux qu’ils aiment et qu’ils ne reverront jamais ?
La froideur du marbre du monument aux morts qui porte leurs noms, l’absence de témoins directs et surtout la distance du temps, ne doivent pas nous faire oublier que ceux pour qui la vie s’est arrêtée, étaient comme nous avec les mêmes aspirations, les mêmes envies, la même volonté de construire leur avenir.
Le monument aux morts doit nous faire penser aussi au nombre de soldats rentrés du front, brisés dans leur chair ou dans leur âme. Ce qu’ils ont vu les aura à jamais marqué.
Pour les générations qui comme la mienne n’ont pas connu la guerre, comment ne pas se mettre à la place de ceux qui sont partis au front il y a 100 ans. Ils avaient nos âges ! Ils ont laissé derrière eux leur famille, leur fiancée, leur travail, leur village… Ils ont vu leur vie basculer emportés par le déchainement des instincts humains.
Cela fait 100 ans. Le premier confit mondial appartient aujourd’hui à l’histoire. Mais c’est à chacun de nous de ne pas oublier que même si le temps a creuser la distance entre cette époque et la notre, ce sont des gens comme nous qui, avec les mêmes émotions ont souffert et ont combattu pour que nous vivions en paix dans un pays libre. Nous aurions pu être à leur place.
Leur mémoire restera à jamais gravée dans nos coeurs.
Vive la République
Vive la France
Eric DUVAL, Maire de Plouha
http://www.kizoa.fr/slideshow-maker/d14832344k4741397o1/11-novembre
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Madame, Monsieur,
La longueur de la liste des 176 Plouhatins qui ne sont pas revenus vivants, effraie autant qu’elle donne la mesure de la cruauté d’une guerre qui a pris des familles entières.
Prononcer le nom de ceux qui sont morts pour que nous vivions dans la paix,
de ceux qui ont trouvé dans la boue des tranchées les pires tourments de la douleur humaine,
c’est se rappeler que chacun d’eux étaient promis, comme nous le sommes nous même, à une vie en paix, à grandir, évoluer, ressentir, aimer, fonder une famille…
Au lieu de cela, ils ont trouver la mort dans la boue, sur les barbelés, dans l’assaut, dans la mitraille, dans les explosions. Combien de soldats agonisant sur le champs de bataille ? Combien de corps mutilés ? Combien de soldats ont fermés les yeux en accrochant le souvenir de ceux qu’ils aiment et qu’ils ne reverront jamais ?
La froideur du marbre du monument aux morts qui porte leurs noms, l’absence de témoins directs et surtout la distance du temps, ne doivent pas nous faire oublier que ceux pour qui la vie s’est arrêtée, étaient comme nous avec les mêmes aspirations, les mêmes envies, la même volonté de construire leur avenir.
Le monument aux morts doit nous faire penser aussi au nombre de soldats rentrés du front, brisés dans leur chair ou dans leur âme. Ce qu’ils ont vu les aura à jamais marqué.
Pour les générations qui comme la mienne n’ont pas connu la guerre, comment ne pas se mettre à la place de ceux qui sont partis au front il y a 100 ans. Ils avaient nos âges ! Ils ont laissé derrière eux leur famille, leur fiancée, leur travail, leur village… Ils ont vu leur vie basculer emportés par le déchainement des instincts humains.
Cela fait 100 ans. Le premier confit mondial appartient aujourd’hui à l’histoire. Mais c’est à chacun de nous de ne pas oublier que même si le temps a creuser la distance entre cette époque et la notre, ce sont des gens comme nous qui, avec les mêmes émotions ont souffert et ont combattu pour que nous vivions en paix dans un pays libre. Nous aurions pu être à leur place.
Leur mémoire restera à jamais gravée dans nos coeurs.
Vive la République
Vive la France
Eric DUVAL, Maire de Plouha
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