Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
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Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Div Yezh Plouha et la mairie organisaient, vendredi, à l'Hermine, une conférence sur l'apprentissage de la lecture en filière bilingue.
Elle était animée par Anne Coadic, professeur en école bilingue, à Pabu, et Stéphane Alliot, conseiller pédagogique départemental, en langue et culture bretonne. Une quinzaine de personnes étaient venues s'informer surtout des parents d'élèves.
Cette réunion visait à aider les parents dans leur inquiétude d'apprentissage de la lecture.
« Il s'agit d'atteindre les compétences dans les deux langues. Il est préconisé d'apprendre le breton avant le français. La lecture est indissociable de l'écriture », a commenté Stéphane Alliot.
Des enseignants ont partagé le fruit de leur expérience. Trois méthodes ont tendance à se généraliser. Des livres seront imprimés et mis à la disposition du corps enseignant.
Anne Coadic expérimente chaque semaine qu'« il faut trouver une base et s'adapter plutôt que pratiquer l'alternance toutes les semaines. Les enfants font vite le transfert de langue. Cela augmente capacité orale-écrit »
Travailler avec les deux langues est même très profitable « dans l'apprentissage des mathématiques », a conclu Stéphane Alliot. Il recommande que les Atsem aient une connaissance de la langue Bretonne.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/plouha-22580/bilinguisme-lapprentissage-de-la-lecture-en-question-4209044
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Dernière édition par Admin le Lun 9 Mai - 0:57, édité 1 fois
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
http://madame.lefigaro.fr/enfants/burn-out-enfants-craquage-surmenage-ecole-040416-113692
http://www.education.gouv.fr/cid97827/strategie-langues-vivantes.html
http://eduscol.education.fr/cid48778/langues-vivantes-regionales-college.html
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/europe/france-3politik_minorites.htm
http://www.education.gouv.fr/cid97827/strategie-langues-vivantes.html
http://eduscol.education.fr/cid48778/langues-vivantes-regionales-college.html
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/europe/france-3politik_minorites.htm
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
de LUDOVIC .
1. Enseignement
Différentes enquêtes ont montré que les enfants bilingues possèdent :
• une pensée plus créative
• des compétences intellectuelles en avance dans divers domaines à l’âge de 4 et 5 ans
• une plus grande capacité à conserver leurs compétences mentales à un âge avancé
Résultats scolaires
• Les résultats des enfants inscrits dans les filières bilingues sont excellents.
• A titre d’exemple, le pourcentage de réussite au baccalauréat des lycéens ayant suivi une scolarité bilingue est chaque année parmi les meilleurs des académies de Rennes et Nantes avec un taux de réussite 95 à 100 %.
2. Vie professionnelle
La double compétence français-breton permet de postuler à un nombre d’emplois toujours croissant. Il existe en effet d’ores et déjà plus de 1200 emplois directs nécessitant la maîtrise du breton dans le cadre professionnel (enquête de l’Observatoire de l’Office Public de la Langue Bretonne ; 2010). De plus, le Conseil régional de Bretagne ayant pour objectif que le nombre d’élèves scolarisés dans les filières bilingues double, le nombre d’enseignants bilingues devra lui aussi suivre cette forte croissance. Au-delà de l’enseignement, la politique linguistique concerne d’autres métiers. Les domaines où la maîtrise du breton et du français est un atout se multiplient : petite enfance, tourisme, médias, santé, fonction publique territoriale, animation…
Cet élan est également présent au niveau des communes. Dans le cadre de la charte “Ya d’ar brezhoneg (Oui au breton)” proposée par l’Office Public de la Langue Bretonne, les mairies sont de plus en plus nombreuses à se doter d’une politique linguistique pour lesquelles elles ont besoin de personnels bilingues compétents.
3. Vie sociale
Un enfant qui est capable de parler 2 langues peut :
• entrer en contact avec un plus grand nombre de personnes. De ce fait, sa vie sociale en sera enrichie
• devenir un pont entre différentes générations. Cette expérience sera particulièrement enrichissante pour chacune d’entre elles
• s’ouvrir à une nouvelle culture. Maîtriser une seconde langue permettra à votre enfant de découvrir de nouveaux horizons, de comparer des manières de voir grâce à l’ouverture d’esprit que lui procureront ces deux cultures.
Un enfant inscrit dans une filière bilingue dès son plus jeune âge bénéficie d’un énorme avantage : plus on est jeune, plus l’apprentissage des langues se fait rapidement et plus cela sera fécond pour apprendre d’autres matières. Or, dans les Académies de Rennes et de Nantes, votre enfant peut être inscrit dans une filière bilingue français-breton dès la maternelle. Bien évidemment, il pourra ensuite poursuivre en élémentaire. Dans le second degré, il continuera à apprendre d’autres matières par le biais de la langue bretonne car dans un véritable système bilingue, les langues ne sont pas seulement des objets d’étude : elles sont des moyens d’apprentissage.
Au fur et à mesure que vos enfants avancent dans leur cursus scolaire, vous souhaitez bien évidemment, en tant que parents, les voir progresser et acquérir de nouvelles compétences. Parmi celles-ci figureront naturellement le breton et le français (les évaluations des Inspections Académiques ont montré que les enfants bilingues ont à l’issue du CM2 au minimum la même compétence en français que les enfants ayant suivi un cursus exclusivement en français). Vous pouvez être certain que grâce à l’enseignement bilingue, vous aurez donné à votre enfant la clé la plus sûre pour la maîtrise de ces 2 langues, mais également bien d’autres encore…
Je ne parle pas breton : est-ce que je peux quand même inscrire mon enfant dans un cursus bilingue ?
Il n’est pas nécessaire d’être soi-même brittophone pour pouvoir inscrire son enfant en crèche ou en filière bilingue. En réalité, aujourd’hui la très grande majorité des parents dont les enfants fréquentent les filières bilingues ne parlent pas breton. Les enfants deviennent facilement bilingues même si à la maison on ne parle qu’une langue.
Comment faire si je viens de déménager et que mon enfant n’est pas allé en crèche ou en filière bilingue jusque là parce que nous habitions dans une commune qui ne disposait pas d’offre d’enseignement bilingue ?
Dans les écoles maternelles, il est toujours possible d’inscrire votre enfant. Après le CP, cela peut être un peu plus difficile. Prenez le temps d’en parler avec l’équipe pédagogique, la motivation de l’enfant ou des familles est un élément important qui peut aider à rattraper le temps perdu.
Que se passe-t-il après le primaire bilingue ?
La continuité se fait naturellement entre le primaire et le secondaire bilingue. Les capacités d’expression des enfants s’enrichissent considérablement. C’est à partir du secondaire que les bases acquises au primaire sont vraiment assimilées pour tout le restant de la vie. L’enseignement approfondi d’autres matières par le biais d’une deuxième langue ouvre aux enfants les portes d’une expression plus variée. Le nombre de collèges dispensant un enseignement bilingue breton-français croit d’année en année.
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La.... / Mon fils n'a pas un emploi du temps de ministre. Il va à l'école comme les enfants de son âge mais fait juste qqs heures de breton par jour. Si cela nuisait à quoi que ce soit chez lui ou si tout simplement, il émettait le désir d'arrêter, nous le ferions. Mais il ne faut pas partir dans les extrêmes cher Monsieur !
PATRICK.
Bonsoir La...., laissons le monsieur de coté, et restons à Patrick ...Vous faites ce que vous voulez de vos enfants, je donne simplement un avis, en dehors de la Bretagne qui parle breton ? à Marseille ou ailleurs …. il parle breton ? NON ...
Je vais vous donner un exemple, j’ai terminé ma période de 9 ans dans l'armée en Allemagne à KHEL .A l'époque pas de chômage, il m'a fallu trouver du travail, j’étais en alsace, à coté de STRASBOURG, à chaque fois que je me présentais pour un travail, il fallait que je parle Allemand ou ALSACIEN !! Donc la double langue j'en connais les problèmes. J'ai trouvé un travail de chauffeur, et un an après je suis parti en Savoie.
En Savoie il fallait que je parle FRA NCAIS 1 ère langue nationale, si possible anglais, mais pas alsacien, et encore moins allemand et breton (car j’ai mes origines de Plouha) .
Que vous défendiez votre Langue bretonne, toutes et tous, cela vous honorent, soyez honnêtes avec moi, il faut reconnaître que en dehors de la Bretagne cette langue ne sert à rien !
Ma belle fille parle plusieurs langues à 23 ans, elle est ukrainienne, écrit et parle mieux le français que moi !!! Encore un exemple selon lequel je ne suis pas contre des jeunes qui parlent plusieurs langues, MAIS DES LANGUES sans vouloir toutes et tous vous froisser.
LUDOVIC bonsoir, essaye s’il te plait de te placer vis-à-vis d’une personne qui ne vit pas en Bretagne, qui arrive dans les cotes d’Armor pour 3 ou 4 ans avec des enfants qui iront en primaire, à qui nous allons faire apprendre le breton EN PREMIERE LANGUE !!! qu’ensuite les parents soient mutés pour une raison « X » sur Paris ou ailleurs (exemple les enfants de militaire) penses tu à ses enfants ? bien entendu je suis d’accord avec vous ils auront un esprit ouvert et peut être plus compétitif que les autres ,mais s’il vous plait encore une fois nos enfants ,ne sont pas « des robots » ils faut qu’ils puissent vivre leur enfance
Enfin je dois mettre fin à ce débat, car il serait interminable, vous êtes « des menhirs et je suis un pot de terre » ,le combat est perdu d’avance….
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1. Enseignement
Différentes enquêtes ont montré que les enfants bilingues possèdent :
• une pensée plus créative
• des compétences intellectuelles en avance dans divers domaines à l’âge de 4 et 5 ans
• une plus grande capacité à conserver leurs compétences mentales à un âge avancé
Résultats scolaires
• Les résultats des enfants inscrits dans les filières bilingues sont excellents.
• A titre d’exemple, le pourcentage de réussite au baccalauréat des lycéens ayant suivi une scolarité bilingue est chaque année parmi les meilleurs des académies de Rennes et Nantes avec un taux de réussite 95 à 100 %.
2. Vie professionnelle
La double compétence français-breton permet de postuler à un nombre d’emplois toujours croissant. Il existe en effet d’ores et déjà plus de 1200 emplois directs nécessitant la maîtrise du breton dans le cadre professionnel (enquête de l’Observatoire de l’Office Public de la Langue Bretonne ; 2010). De plus, le Conseil régional de Bretagne ayant pour objectif que le nombre d’élèves scolarisés dans les filières bilingues double, le nombre d’enseignants bilingues devra lui aussi suivre cette forte croissance. Au-delà de l’enseignement, la politique linguistique concerne d’autres métiers. Les domaines où la maîtrise du breton et du français est un atout se multiplient : petite enfance, tourisme, médias, santé, fonction publique territoriale, animation…
Cet élan est également présent au niveau des communes. Dans le cadre de la charte “Ya d’ar brezhoneg (Oui au breton)” proposée par l’Office Public de la Langue Bretonne, les mairies sont de plus en plus nombreuses à se doter d’une politique linguistique pour lesquelles elles ont besoin de personnels bilingues compétents.
3. Vie sociale
Un enfant qui est capable de parler 2 langues peut :
• entrer en contact avec un plus grand nombre de personnes. De ce fait, sa vie sociale en sera enrichie
• devenir un pont entre différentes générations. Cette expérience sera particulièrement enrichissante pour chacune d’entre elles
• s’ouvrir à une nouvelle culture. Maîtriser une seconde langue permettra à votre enfant de découvrir de nouveaux horizons, de comparer des manières de voir grâce à l’ouverture d’esprit que lui procureront ces deux cultures.
Un enfant inscrit dans une filière bilingue dès son plus jeune âge bénéficie d’un énorme avantage : plus on est jeune, plus l’apprentissage des langues se fait rapidement et plus cela sera fécond pour apprendre d’autres matières. Or, dans les Académies de Rennes et de Nantes, votre enfant peut être inscrit dans une filière bilingue français-breton dès la maternelle. Bien évidemment, il pourra ensuite poursuivre en élémentaire. Dans le second degré, il continuera à apprendre d’autres matières par le biais de la langue bretonne car dans un véritable système bilingue, les langues ne sont pas seulement des objets d’étude : elles sont des moyens d’apprentissage.
Au fur et à mesure que vos enfants avancent dans leur cursus scolaire, vous souhaitez bien évidemment, en tant que parents, les voir progresser et acquérir de nouvelles compétences. Parmi celles-ci figureront naturellement le breton et le français (les évaluations des Inspections Académiques ont montré que les enfants bilingues ont à l’issue du CM2 au minimum la même compétence en français que les enfants ayant suivi un cursus exclusivement en français). Vous pouvez être certain que grâce à l’enseignement bilingue, vous aurez donné à votre enfant la clé la plus sûre pour la maîtrise de ces 2 langues, mais également bien d’autres encore…
Je ne parle pas breton : est-ce que je peux quand même inscrire mon enfant dans un cursus bilingue ?
Il n’est pas nécessaire d’être soi-même brittophone pour pouvoir inscrire son enfant en crèche ou en filière bilingue. En réalité, aujourd’hui la très grande majorité des parents dont les enfants fréquentent les filières bilingues ne parlent pas breton. Les enfants deviennent facilement bilingues même si à la maison on ne parle qu’une langue.
Comment faire si je viens de déménager et que mon enfant n’est pas allé en crèche ou en filière bilingue jusque là parce que nous habitions dans une commune qui ne disposait pas d’offre d’enseignement bilingue ?
Dans les écoles maternelles, il est toujours possible d’inscrire votre enfant. Après le CP, cela peut être un peu plus difficile. Prenez le temps d’en parler avec l’équipe pédagogique, la motivation de l’enfant ou des familles est un élément important qui peut aider à rattraper le temps perdu.
Que se passe-t-il après le primaire bilingue ?
La continuité se fait naturellement entre le primaire et le secondaire bilingue. Les capacités d’expression des enfants s’enrichissent considérablement. C’est à partir du secondaire que les bases acquises au primaire sont vraiment assimilées pour tout le restant de la vie. L’enseignement approfondi d’autres matières par le biais d’une deuxième langue ouvre aux enfants les portes d’une expression plus variée. Le nombre de collèges dispensant un enseignement bilingue breton-français croit d’année en année.
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La.... / Mon fils n'a pas un emploi du temps de ministre. Il va à l'école comme les enfants de son âge mais fait juste qqs heures de breton par jour. Si cela nuisait à quoi que ce soit chez lui ou si tout simplement, il émettait le désir d'arrêter, nous le ferions. Mais il ne faut pas partir dans les extrêmes cher Monsieur !
PATRICK.
Bonsoir La...., laissons le monsieur de coté, et restons à Patrick ...Vous faites ce que vous voulez de vos enfants, je donne simplement un avis, en dehors de la Bretagne qui parle breton ? à Marseille ou ailleurs …. il parle breton ? NON ...
Je vais vous donner un exemple, j’ai terminé ma période de 9 ans dans l'armée en Allemagne à KHEL .A l'époque pas de chômage, il m'a fallu trouver du travail, j’étais en alsace, à coté de STRASBOURG, à chaque fois que je me présentais pour un travail, il fallait que je parle Allemand ou ALSACIEN !! Donc la double langue j'en connais les problèmes. J'ai trouvé un travail de chauffeur, et un an après je suis parti en Savoie.
En Savoie il fallait que je parle FRA NCAIS 1 ère langue nationale, si possible anglais, mais pas alsacien, et encore moins allemand et breton (car j’ai mes origines de Plouha) .
Que vous défendiez votre Langue bretonne, toutes et tous, cela vous honorent, soyez honnêtes avec moi, il faut reconnaître que en dehors de la Bretagne cette langue ne sert à rien !
Ma belle fille parle plusieurs langues à 23 ans, elle est ukrainienne, écrit et parle mieux le français que moi !!! Encore un exemple selon lequel je ne suis pas contre des jeunes qui parlent plusieurs langues, MAIS DES LANGUES sans vouloir toutes et tous vous froisser.
LUDOVIC bonsoir, essaye s’il te plait de te placer vis-à-vis d’une personne qui ne vit pas en Bretagne, qui arrive dans les cotes d’Armor pour 3 ou 4 ans avec des enfants qui iront en primaire, à qui nous allons faire apprendre le breton EN PREMIERE LANGUE !!! qu’ensuite les parents soient mutés pour une raison « X » sur Paris ou ailleurs (exemple les enfants de militaire) penses tu à ses enfants ? bien entendu je suis d’accord avec vous ils auront un esprit ouvert et peut être plus compétitif que les autres ,mais s’il vous plait encore une fois nos enfants ,ne sont pas « des robots » ils faut qu’ils puissent vivre leur enfance
Enfin je dois mettre fin à ce débat, car il serait interminable, vous êtes « des menhirs et je suis un pot de terre » ,le combat est perdu d’avance….
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Dernière édition par Admin le Lun 9 Mai - 0:53, édité 1 fois
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
La... Ce qui m'a intéressé c'est le fait d'apprendre une langue à un jeune âge (afin d'acquérir des automatismes) pas la langue en elle-même. J'aurai d'ailleurs préféré l'anglais... Mais nous vivons en Bretagne et le Breton a aussi sa place dans notre patrimoine.
Patrick Trike le patrimoine c'est avant avant tout le francais ,et moi le premier à mon age je fais souvent des fautes !! à 61 ans , bon d'un autre coté j'ai un parcours scolaire quasi de zéro ,les jeunes de maintenant (les ados) ils ont "2 pouces et une langue à eux ....par le passé il y avait le "verlan"encore une fois Laure à chacun sa vie ,ses idées , vous aimez la Bretagne comme moi , je suis contre le fait de placer le breton en première langue ! comme l'arabe en région parisienne ou dans le nord . A ce rythme dans 10 ans qui parlera encore le francais ? Le gouvernement n'a pas encore "voté" les langues régionales "dans les écoles , enfin en janvier 2016 . Mais bon si cela vous fait plaisir ,tant mieux pour votre famille et pour vous .je vous souhaite une bonne soirée patrick
Patrick Trike le patrimoine c'est avant avant tout le francais ,et moi le premier à mon age je fais souvent des fautes !! à 61 ans , bon d'un autre coté j'ai un parcours scolaire quasi de zéro ,les jeunes de maintenant (les ados) ils ont "2 pouces et une langue à eux ....par le passé il y avait le "verlan"encore une fois Laure à chacun sa vie ,ses idées , vous aimez la Bretagne comme moi , je suis contre le fait de placer le breton en première langue ! comme l'arabe en région parisienne ou dans le nord . A ce rythme dans 10 ans qui parlera encore le francais ? Le gouvernement n'a pas encore "voté" les langues régionales "dans les écoles , enfin en janvier 2016 . Mais bon si cela vous fait plaisir ,tant mieux pour votre famille et pour vous .je vous souhaite une bonne soirée patrick
Dernière édition par Admin le Lun 9 Mai - 0:52, édité 1 fois
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Dernière édition par Admin le Lun 9 Mai - 0:52, édité 1 fois
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Dernière édition par Admin le Lun 9 Mai - 0:47, édité 2 fois
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Bonjour ,
Un petit rappel s’il vous plait, partout ou j’interviens, mes propos sont enregistrés et déposés sur ce forum, pour protection juridique.( ou informations)
que cela soit ici ou ailleurs nous sommes toutes et tous responsables de nos écrits et photos ou dessins devant la loi sachez le .
des exemples : jean luc un photographe de Plouha étant passé professionnel m'a demandé un jour de retirer ses photos ....
Ludovic : en principe sait que j'interviens pas sur "tous à Plouha " il y a un historique et je le respecte .
il y a également de superbes photos présentées par des plouhatins ,je ne touche pas non plus ...
Tous les articles portent les sources en fin de page .
etc ........
POURQUOI ? j’écris et j’interviens pour aider depuis 2005 dans mes forums, blogs, ou mes magazines,
par deux fois en aidant une personne j’ai rencontré un sérieux soucis, un à terminé à la gendarmerie en « main courante » pour menaces, alors que je n’y étais pour rien !
Cette personne était à un rassemblement dans le l’Ain, habitant en alsace, sensée être malade, malheureusement il sait retrouver sur des photos posées sur mon forum.
Son patron ayant vu les photos, l’a licencié sur le champ ! Alors depuis je me protège.
le deuxième étant les menaces d'un hacker ...
Dans le cas de cet article, j’ai caché à la demande de LA….. le nom la photo ,mais le texte restera ,et l’original dans une partie cachée du public dans le forum .
Avec mes remerciements
patrick
Un petit rappel s’il vous plait, partout ou j’interviens, mes propos sont enregistrés et déposés sur ce forum, pour protection juridique.( ou informations)
que cela soit ici ou ailleurs nous sommes toutes et tous responsables de nos écrits et photos ou dessins devant la loi sachez le .
des exemples : jean luc un photographe de Plouha étant passé professionnel m'a demandé un jour de retirer ses photos ....
Ludovic : en principe sait que j'interviens pas sur "tous à Plouha " il y a un historique et je le respecte .
il y a également de superbes photos présentées par des plouhatins ,je ne touche pas non plus ...
Tous les articles portent les sources en fin de page .
etc ........
POURQUOI ? j’écris et j’interviens pour aider depuis 2005 dans mes forums, blogs, ou mes magazines,
par deux fois en aidant une personne j’ai rencontré un sérieux soucis, un à terminé à la gendarmerie en « main courante » pour menaces, alors que je n’y étais pour rien !
Cette personne était à un rassemblement dans le l’Ain, habitant en alsace, sensée être malade, malheureusement il sait retrouver sur des photos posées sur mon forum.
Son patron ayant vu les photos, l’a licencié sur le champ ! Alors depuis je me protège.
le deuxième étant les menaces d'un hacker ...
Dans le cas de cet article, j’ai caché à la demande de LA….. le nom la photo ,mais le texte restera ,et l’original dans une partie cachée du public dans le forum .
Avec mes remerciements
patrick
Re: Bilinguisme : l'apprentissage de la lecture en question
Un jeune Français sur dix en grande difficulté de lecture
Près d'un jeune Français sur dix éprouve des difficultés de lecture et 4,3% sont en situation d'illettrisme, indique une étude publiée ce mercredi.
Cette étude s'appuie sur des tests conduits auprès des 770 000 jeunes de 16 à 25 ans ayant participé à la Journée défense et citoyenneté.
Les garçons sont plus en difficulté que les filles, précise cette étude de la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), rattachée au ministère de l'Éducation. La fréquence des difficultés est plus prononcée dans les départements du Nord, entourant l'Ile-de-France ou plus encore en outre-mer.
4,3 % « en situation d'illettrisme »
Quelque 9,9 % des jeunes gens testés en 2015 présentent de « très faibles capacités de lecture » (pour 5,6 % du total des participants) ou « des difficultés sérieuses » (4,3 %).
Ces 4,3 % « peuvent être considérés en situation d'illettrisme », selon les critères de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme. Ils se caractérisent par « un déficit important de vocabulaire ». Les 5,6 % ont un niveau lexical correct mais ne parviennent pas à comprendre les textes écrits, ajoute la Depp.
Au sein de ce groupe de jeunes ayant de très faibles capacités ou de sérieuses difficultés figurent 11,3 % des garçons testés et 8,4 % des filles. Ces différences entre les sexes « s'observent en particulier pour les niveaux d'études les moins élevés », note le rapport. Pour les jeunes ayant atteint le niveau baccalauréat dans leur scolarité, les différences s'estompent.
Des différences entre les régions
Le pourcentage de jeunes en difficulté s'était réduit de 2010 (10,6 %) à 2014 (9,6 %) mais il a légèrement augmenté en 2015. Les comparaisons sont toutefois délicates selon la Depp, car les résultats ne portent pas sur le même groupe de jeunes testé chaque année, mais sur des populations nouvelles à chaque Journée défense et citoyenneté, avec des participants d'âges différents (de 16 à 25 ans).
La Depp relève par ailleurs des différences entre les régions. En France métropolitaine, la part des jeunes en difficulté de lecture s'élève à 16,7 % dans l'Aisne, 14,5 % dans la Somme, 12,9 % dans l'Oise et 12,7 % dans la Nièvre. En revanche, elle est en moyenne inférieure à 8 % dans les départements bretons. En Ile-de-France, cette part varie de 4,6 % à Paris à 11,5 % en Seine-Saint-Denis.
Ces pourcentages sont bien plus élevés en outre-mer : 30 % en Guadeloupe, Martinique et Réunion, 48 % en Guyane et 75 % à Mayotte.
http://www.ouest-france.fr/education/ecole/un-jeune-francais-sur-dix-en-grande-difficulte-de-lecture-4235445
.............................................................................................................................
Il y a encore du travail avant d'imposer le BRETON en premiere langue !
patrick
Près d'un jeune Français sur dix éprouve des difficultés de lecture et 4,3% sont en situation d'illettrisme, indique une étude publiée ce mercredi.
Cette étude s'appuie sur des tests conduits auprès des 770 000 jeunes de 16 à 25 ans ayant participé à la Journée défense et citoyenneté.
Les garçons sont plus en difficulté que les filles, précise cette étude de la direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), rattachée au ministère de l'Éducation. La fréquence des difficultés est plus prononcée dans les départements du Nord, entourant l'Ile-de-France ou plus encore en outre-mer.
4,3 % « en situation d'illettrisme »
Quelque 9,9 % des jeunes gens testés en 2015 présentent de « très faibles capacités de lecture » (pour 5,6 % du total des participants) ou « des difficultés sérieuses » (4,3 %).
Ces 4,3 % « peuvent être considérés en situation d'illettrisme », selon les critères de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme. Ils se caractérisent par « un déficit important de vocabulaire ». Les 5,6 % ont un niveau lexical correct mais ne parviennent pas à comprendre les textes écrits, ajoute la Depp.
Au sein de ce groupe de jeunes ayant de très faibles capacités ou de sérieuses difficultés figurent 11,3 % des garçons testés et 8,4 % des filles. Ces différences entre les sexes « s'observent en particulier pour les niveaux d'études les moins élevés », note le rapport. Pour les jeunes ayant atteint le niveau baccalauréat dans leur scolarité, les différences s'estompent.
Des différences entre les régions
Le pourcentage de jeunes en difficulté s'était réduit de 2010 (10,6 %) à 2014 (9,6 %) mais il a légèrement augmenté en 2015. Les comparaisons sont toutefois délicates selon la Depp, car les résultats ne portent pas sur le même groupe de jeunes testé chaque année, mais sur des populations nouvelles à chaque Journée défense et citoyenneté, avec des participants d'âges différents (de 16 à 25 ans).
La Depp relève par ailleurs des différences entre les régions. En France métropolitaine, la part des jeunes en difficulté de lecture s'élève à 16,7 % dans l'Aisne, 14,5 % dans la Somme, 12,9 % dans l'Oise et 12,7 % dans la Nièvre. En revanche, elle est en moyenne inférieure à 8 % dans les départements bretons. En Ile-de-France, cette part varie de 4,6 % à Paris à 11,5 % en Seine-Saint-Denis.
Ces pourcentages sont bien plus élevés en outre-mer : 30 % en Guadeloupe, Martinique et Réunion, 48 % en Guyane et 75 % à Mayotte.
http://www.ouest-france.fr/education/ecole/un-jeune-francais-sur-dix-en-grande-difficulte-de-lecture-4235445
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Il y a encore du travail avant d'imposer le BRETON en premiere langue !
patrick
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