HAPPY FROM PLOUHA ...
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HAPPY FROM PLOUHA ...
VIDEO Happy from Plouha
Plouha n'échappe pas au succès populaire qui secoue internet depuis de nombreuses années !!!! je ne sais pas si vous avez découvert celle ci sur la page du site ,à défaut la voici :
https://youtu.be/Rj0on1WkeiQ
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Les origines de ce mouvement
« We are happy from » ou le bonheur de bouger dans la ville !
Paris, Dunkerque, Albi, Bordeaux, Lyon, Vesoul, Angers, Le Havre, Nice … sur la toile de plus en plus de villes françaises, ou plutôt leurs habitants, entrent dans la danse mondiale en participant au phénomène vidéo du web « Happy from ». Le principe : danser et exprimer son bonheur dans un point précis du monde, sa ville. 4 minutes de joie de vivre qui constituent une formidable vitrine pour les villes en tête desquelles se hisse Angers.
Après les Lip dub et les Harlem Shake, un nouveau type de clip vidéo envahit la toile depuis fin 2013. Sous l’appellation « We are happy from », ils mettent en scène des personnes de tous âges qui expriment leur bonheur et leur joie de vivre en dansant à tout moment de la journée, à travers les rues et devant les monuments de leur ville sur la chanson « Happy ».
Composé à l’origine pour la bande originale du film "Moi, moche et méchant 2", par Pharrell Williams, ce morceau est surtout devenu célèbre grâce à son clip, un long métrage musical d’une durée de 24h conçu avec le duo français We are from L.A, et visionnable par le biais d’une horloge interactive sur le site 24hoursofhappy.com. Depuis sa première diffusion le 21 novembre 2013, cette succession de 336 personnes, anonymes ou guests stars (Magic Johnson, Steve Carrell, Jamie Foxx, etc.) qui interprètent des mouvements dans les rues de Los Angeles sur le tube de Pharrell Willimans a été visionnée plus de 7,3 millions de fois en version intégrale et plus de 65 millions de fois en version courte de 4 minutes.
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Une mélodie addictive et un clip à l’optimisme communicatif facile à reproduire, il n’en fallait pas plus pour créer rapidement un phénomène viral sur le web et lancer le mouvement « We Are Happy From » à travers le monde. A Tokyo, Lausanne, Barcelone, Montréal , Sidney… , les internautes tournent leur propre version du clip. Déjà plus de 280 vidéos sont répertoriées sur le site www.wearehappyfrom.com créé le 24 janvier 2014, « en témoignage de gratitude envers Pharrell et We are from L.A. pour leur bonheur contagieux à travers le monde ». Chaque ville qui adhère au mouvement peut poster sa vidéo, rejoignant ainsi le cercle des cités où il fait bon vivre. Et la France n’est pas en reste ! Elle entre dans la danse dès le 3 décembre avec la vidéo « We Are from Paris », dans laquelle une vingtaine de personnes bougent au son de "Happy" devant la pyramide du Louvre, le Centre Pompidou, l’Hôtel de Ville, la Tour Eiffel ou dans le métro. Depuis, de nombreuses villes françaises de toutes tailles ont mis en ligne leur propre "Happy" : Montpellier, Strasbourg, Dunkerque, Albi, Rouen, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Vesoul, Angers, Le Havre, Nice…
Évidemment, pour ces clips diffusés sur le web, le rôle des réseaux sociaux est central en amont de la conception pour recruter les « danseurs » (via des messages ou événement sur Facebook) , tout comme après la diffusion pour faire connaître la vidéo au plus grand nombre (hashtag twitter, parfois relayé par un site web dédié comme à Strasbourg).
Une caméra et des personnes qui se déhanchent en playback sur la chanson "Happy" dans n’importe quel endroit d’une ville suffisent pour représenter le plus fièrement possible sa ville. Artistes, professionnels de l’audiovisuel, médias locaux, étudiants, familles, bandes de copains, équipes sportives… on retrouve dans ces clips, tous types de participants, tous styles de danse et tous degrés de réussite.
Et au milieu des grandes métropoles internationales, certaines villes françaises tirent plutôt bien leur épingle du jeu à commencer par Angers dont la version mise en ligne fin janvier enregistre déjà plus de 630 000 vues sur Youtube devant Paris (572 731), Toulouse (377 918 vues), Lyon (321 106), Bordeaux (186 800 ), Dunkerque (151 997) ... et toutes les autres villes « Happy » du monde. La version angevine est en effet de puis quelques jours celle qui comptabilise le plus grand nombre de vues après la version officielle du clip !
C’est Angers Télé, chaîne de télévision locale créée il y a un an, qui a eu l’idée, au départ pour ses vœux, de reproduire le clip de Pharrell William. La vidéo tournée avec l’aide de la radio NRJ et Kryzalid Films regroupe plus d’une centaine de participants dans plusieurs lieux emblématiques de la ville et son agglomération avec un final sur la place du Ralliement, en centre-ville d’Angers. « Je trouve le clip Happy Angers plutôt pas mal. Angers Télé connaît bien le territoire et ça se voit, nous indique Bruno Hindahl, directeur de l'information et de la communication d’Angers/Angers Loire Métropole. Dans le clip, on voit de la diversité… Il manque peut-être juste un peu de végétal, il aurait fallu peut-être montrer plus de parcs pour une ville comme la nôtre qui vient justement d’être désignée la ville la plus verte de France »
Ces vidéos "Happy" se veulent en effet le plus souvent représentative de la ville à travers la mise en avant des habitants et du patrimoine. Elles renvoient une image dynamique, positive et parfois rajeunie d’une cité . Bruno Hindahl, parle « d’un effet rassembleur autour de la fierté de vivre sur un territoire.» « Il y a beaucoup d’énergie locale et de cœur dans cette vidéo. On voit le plaisir des gens. Quand on parle de « Happy Angers » dans la ville et dans l’Agglomération, tout le monde, aussi bien en interne qu’en externe dit que ce clip fait du bien ».
Une manière originale et péchue de présenter la ville qui a largement de quoi séduire les collectivités locales bien qu’elles ne soient pas à l’initiative de ces vidéos. Bruno Hindahl précise d’ailleurs « On s’est dit qu’on allait arrêter de promouvoir le clip pour qu’à aucun moment en cette période préélectorale on ne puisse imaginer que la ville est à l’origine du projet ou qu’elle y soit associée. Après les élections un travail sera très certainement engagé sur la manière dont on peut utiliser cette vidéo en déclinant le concept ou sous forme des clins d’œil. Ça peut permettre de porter un autre regard sur soi plus positif et plus partagé ». Rendez-vous donc après les élections pour voir si et comment les services com' des collectivités se saisissent du phénomène "Happy".
Auteur: Anne Revol
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Plouha n'échappe pas au succès populaire qui secoue internet depuis de nombreuses années !!!! je ne sais pas si vous avez découvert celle ci sur la page du site ,à défaut la voici :
https://youtu.be/Rj0on1WkeiQ
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Les origines de ce mouvement
« We are happy from » ou le bonheur de bouger dans la ville !
Paris, Dunkerque, Albi, Bordeaux, Lyon, Vesoul, Angers, Le Havre, Nice … sur la toile de plus en plus de villes françaises, ou plutôt leurs habitants, entrent dans la danse mondiale en participant au phénomène vidéo du web « Happy from ». Le principe : danser et exprimer son bonheur dans un point précis du monde, sa ville. 4 minutes de joie de vivre qui constituent une formidable vitrine pour les villes en tête desquelles se hisse Angers.
Après les Lip dub et les Harlem Shake, un nouveau type de clip vidéo envahit la toile depuis fin 2013. Sous l’appellation « We are happy from », ils mettent en scène des personnes de tous âges qui expriment leur bonheur et leur joie de vivre en dansant à tout moment de la journée, à travers les rues et devant les monuments de leur ville sur la chanson « Happy ».
Composé à l’origine pour la bande originale du film "Moi, moche et méchant 2", par Pharrell Williams, ce morceau est surtout devenu célèbre grâce à son clip, un long métrage musical d’une durée de 24h conçu avec le duo français We are from L.A, et visionnable par le biais d’une horloge interactive sur le site 24hoursofhappy.com. Depuis sa première diffusion le 21 novembre 2013, cette succession de 336 personnes, anonymes ou guests stars (Magic Johnson, Steve Carrell, Jamie Foxx, etc.) qui interprètent des mouvements dans les rues de Los Angeles sur le tube de Pharrell Willimans a été visionnée plus de 7,3 millions de fois en version intégrale et plus de 65 millions de fois en version courte de 4 minutes.
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Une mélodie addictive et un clip à l’optimisme communicatif facile à reproduire, il n’en fallait pas plus pour créer rapidement un phénomène viral sur le web et lancer le mouvement « We Are Happy From » à travers le monde. A Tokyo, Lausanne, Barcelone, Montréal , Sidney… , les internautes tournent leur propre version du clip. Déjà plus de 280 vidéos sont répertoriées sur le site www.wearehappyfrom.com créé le 24 janvier 2014, « en témoignage de gratitude envers Pharrell et We are from L.A. pour leur bonheur contagieux à travers le monde ». Chaque ville qui adhère au mouvement peut poster sa vidéo, rejoignant ainsi le cercle des cités où il fait bon vivre. Et la France n’est pas en reste ! Elle entre dans la danse dès le 3 décembre avec la vidéo « We Are from Paris », dans laquelle une vingtaine de personnes bougent au son de "Happy" devant la pyramide du Louvre, le Centre Pompidou, l’Hôtel de Ville, la Tour Eiffel ou dans le métro. Depuis, de nombreuses villes françaises de toutes tailles ont mis en ligne leur propre "Happy" : Montpellier, Strasbourg, Dunkerque, Albi, Rouen, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Vesoul, Angers, Le Havre, Nice…
Évidemment, pour ces clips diffusés sur le web, le rôle des réseaux sociaux est central en amont de la conception pour recruter les « danseurs » (via des messages ou événement sur Facebook) , tout comme après la diffusion pour faire connaître la vidéo au plus grand nombre (hashtag twitter, parfois relayé par un site web dédié comme à Strasbourg).
Une caméra et des personnes qui se déhanchent en playback sur la chanson "Happy" dans n’importe quel endroit d’une ville suffisent pour représenter le plus fièrement possible sa ville. Artistes, professionnels de l’audiovisuel, médias locaux, étudiants, familles, bandes de copains, équipes sportives… on retrouve dans ces clips, tous types de participants, tous styles de danse et tous degrés de réussite.
Et au milieu des grandes métropoles internationales, certaines villes françaises tirent plutôt bien leur épingle du jeu à commencer par Angers dont la version mise en ligne fin janvier enregistre déjà plus de 630 000 vues sur Youtube devant Paris (572 731), Toulouse (377 918 vues), Lyon (321 106), Bordeaux (186 800 ), Dunkerque (151 997) ... et toutes les autres villes « Happy » du monde. La version angevine est en effet de puis quelques jours celle qui comptabilise le plus grand nombre de vues après la version officielle du clip !
C’est Angers Télé, chaîne de télévision locale créée il y a un an, qui a eu l’idée, au départ pour ses vœux, de reproduire le clip de Pharrell William. La vidéo tournée avec l’aide de la radio NRJ et Kryzalid Films regroupe plus d’une centaine de participants dans plusieurs lieux emblématiques de la ville et son agglomération avec un final sur la place du Ralliement, en centre-ville d’Angers. « Je trouve le clip Happy Angers plutôt pas mal. Angers Télé connaît bien le territoire et ça se voit, nous indique Bruno Hindahl, directeur de l'information et de la communication d’Angers/Angers Loire Métropole. Dans le clip, on voit de la diversité… Il manque peut-être juste un peu de végétal, il aurait fallu peut-être montrer plus de parcs pour une ville comme la nôtre qui vient justement d’être désignée la ville la plus verte de France »
Ces vidéos "Happy" se veulent en effet le plus souvent représentative de la ville à travers la mise en avant des habitants et du patrimoine. Elles renvoient une image dynamique, positive et parfois rajeunie d’une cité . Bruno Hindahl, parle « d’un effet rassembleur autour de la fierté de vivre sur un territoire.» « Il y a beaucoup d’énergie locale et de cœur dans cette vidéo. On voit le plaisir des gens. Quand on parle de « Happy Angers » dans la ville et dans l’Agglomération, tout le monde, aussi bien en interne qu’en externe dit que ce clip fait du bien ».
Une manière originale et péchue de présenter la ville qui a largement de quoi séduire les collectivités locales bien qu’elles ne soient pas à l’initiative de ces vidéos. Bruno Hindahl précise d’ailleurs « On s’est dit qu’on allait arrêter de promouvoir le clip pour qu’à aucun moment en cette période préélectorale on ne puisse imaginer que la ville est à l’origine du projet ou qu’elle y soit associée. Après les élections un travail sera très certainement engagé sur la manière dont on peut utiliser cette vidéo en déclinant le concept ou sous forme des clins d’œil. Ça peut permettre de porter un autre regard sur soi plus positif et plus partagé ». Rendez-vous donc après les élections pour voir si et comment les services com' des collectivités se saisissent du phénomène "Happy".
Auteur: Anne Revol
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