PLOUHA 29.04.2017 Commerces. L'association change de nom

Patricia René, la nouvelle présidente de l'association des commerçants.

L'Union des commerçants artisans de Plouha (Ucap) change de nom. Elle s'appelle désormais Cap sur Plouha et regroupera artisans et commerçants de la commune. « Nous espérons attirer un maximum de personnes », a indiqué Patricia René, sa nouvelle présidente. Jeudi, les premières bases de l'activité de la nouvelle association ont été posées, à commencer par le programme des réjouissances auquel tout le monde est convié : la buvette des Jeudis de l'été, la dizaine commerciale de fin d'année, la tombola et la soirée disco. Ne reste plus qu'à attendre pour voir comment ces nouveaux commerçants plouhatins entendent promouvoir le commerce local. Une chose est sûre, les lignes bougent et les animations seront, cette année encore, au rendez-vous.


http://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/plouha/commerces-l-association-change-de-nom-29-04-2017-11493743.php#closePopUp

https://lasandalettedeplouha.lebonforum.com/t5563-union-des-commercants-le-president-demissionne





Quand je vous annonçais que cette personne pouvait faire des miracles au sein de notre bourg ! incroyable ! j'ai lu dans la PRESSE D'ARMOR HIER LE 03.05.2017

que PLOUHA avait désormais maintenant : 300 commerçants et artisans !




MAINTENANT SOYONS REALISTES, Mme RENE peut- elle nous donner en retour par le biais, bien entendu du journal, le bien fondé de ce miracle ?

car, si je prends un peu les artisans que l'on voit circuler dans le bourg,  plus ceux des zones artisanales, la liste des quelques gîtes que nous trouvons sur la porte du syndicat d'initiative, nous sommes loin du nombre avancé .

Concernant les gîtes , encore une fois je sais que seuls certains  propriétaires  passent  par le syndicat d'initiative pour des questions de mauvaises relations

En premier lieu, ils n'écoutent rien pour preuve, ils ne modifient toujours pas la position de l'affiche des offres sur leur porte d'accueil !
IL FAUT CERTAINEMENT LE DEMANDER EN BRETON ?



LA MISE EN PLACE DE CE BUREAU SE FERA SOUS UNE APPROCHE OFFICIELLE EN JUIN?


Je propose à Mme René :

DE RECENSER LES BESOINS DE LA POPULATION


Il semble par ailleurs nécessaire de recenser les besoins auprès des consommateurs eux-mêmes : « des sondages » peuvent être menés au sein de zones déterminées dans le bourg  ou auprès d’un échantillon représentatif dans les communes plus petites autour de Plouha.

Les enquêteurs peuvent interroger la population sur leurs types d’achats (alimentaires, « non-alimentaires », services…), les raisons de fréquentation du bourg, les motivations ou les freins d’achats (proximité domicile / travail, dépannage, facilité d’accès ou de stationnement, qualité de service, « diversité des commerces » ou produits, rapport qualité / prix…).

POURQUOI VONT-ILS AILLEURS ?

Les enquêtes peuvent par ailleurs recueillir l’opinion des personnes contactées sur le dynamisme du centre-ville, l’adaptabilité des commerces aux nouvelles technologies, la sécurité et l’éclairage etc... là, une remarque le parking principal de l’hermine n’a pas d'éclairage publique ! pourquoi ?

la signalisation inexistante,  les horaires d’ouverture…L’approche Handicap très importante.

La mairie peut aussi mettre en place une plateforme numérique participative, qui permet aux habitants d’exprimer des avis sur le commerce de Plouha  et proposer des initiatives ou des projets innovants.

J’ai déjà réclamé ce point à la mairie plusieurs fois, il faut un forum simple et basic sur le portail, ouvert à toutes et tous, que nous soyons de Plouha ou d’ailleurs .

Là je comprends, pourquoi le président précèdent a préféré passer la main, d’ailleurs je me souviens très bien, avoir été présent au moment des débats de l’élection, il avait bien précisé qu’il avait un travail très prenant déjà de son coté, qu’il ne lui serait peut être pas possible de poursuivre dans sa fonction.

l’objectif d’un président au sein d’un bourg comme Plouha peut être simple : soit poursuivre l’action menée à ce jour, soit à partir de ces données, il est possible d’analyser un certain nombre de besoins qui permettront d’engager les actions nécessaires de manière complète et équilibrée.

Cette analyse peut consister en un document de synthèse qui reprendra les données identifiées et les besoins ou opportunités qu’elles dégagent, complétée par les informations recueillies par les enquêtes auprès des commerçants et consommateurs.

C’est ce document qui servira de base pour définir les objectifs, le plan d’actions et le cahier des charges du projet de revitalisation commerciale.
Celui-ci sera remis et étudié auprès du maire et des autorisées compétentes afin de débloquer des subventions nécessaires.

Le dossier doit permettre d’identifier un certain nombre de besoins en matière de commerce au bourg. C’est sur la base de ce diagnostic que le maire et son équipe vont pouvoir déterminer une stratégie et un plan d’actions pour Plouha et fixer un cahier des charges des projets à mener sur quelques années.



CE QUE DIT LA LOI MAINTENANT ET CE QUI ME CHOQUE DANS LE BOURG



Par l’habillage des vitrines vides


Pour pallier le phénomène caractéristique des « dents creuses », qui accentuent l’impression de déliquescence d’une rue vidée en partie de ses commerces, reconnaissons que pour exemple l’ancien magasin De Mme RENE reste toujours A VENDRE !  et dans l’attente d’un repreneur, une solution pour la municipalité est de couvrir les vitrines vides par des leurres : la ville peut utiliser ainsi ces espaces vides comme espaces de décoration ou de promotion des évènements de la ville ou son histoire (photographies, citations, dessins…) avec l’accord du propriétaire ou sous contrainte du propriétaire.




Ma boutique à l’essai L’objectif est de permettre aux personnes qui souhaitent ouvrir un commerce de tester leur concept au sein d’une boutique pilote située dans le centre-ville OU UN BOURG. Le local est loué à loyer négocié pour 4 mois,



A saint Brieuc la période est de deux ans 350 e par mois sur la base d’un loyer de 850 e, le complément étant pris par la ville, ( à voir pour les charges ? ) mais au moins le magasin vit ! au terme des deux formules, cela fonctionne et le commerce est repris avec le loyer à 850 e ou il ferme et un autre se met en place. il n’y a pas de bail dans le 1er cas de figure.

je connaissais ce principe à Chanaz (en Savoie, il y a déjà 12 ans !!!)

« L’idée est double : dynamiser un centre-ville et permettre à une personne de tester son idée d’entreprise ». La mise en place de ce concept a mis en lumière le potentiel commerçant briochins déclinant depuis quelques années.