LE FILM "PLANETE OCEAN " Yann Arthus-Bertrand & Michael Pitiot
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LE FILM "PLANETE OCEAN " Yann Arthus-Bertrand & Michael Pitiot
Un film de 90 minutes réalisé par Yann Arthus-Bertrand et Michael Pitiot.
Peut-on imaginer un film qui changerait le regard des hommes sur l'océan? Peut-on raconter simplement et à tous le plus grand mystère naturel de notre planète? Peut-on enfin aider nos enfants à croire à un monde de demain meilleur et durable?
C'est le triple défi de cette nouvelle aventure cinématographique signée Yann Arthus-Bertrand dont le rédacteur en chef est Michael Pitiot, qui entraîne dans son sillage les missions scientifiques de TARA, un pool unique de chercheurs, océanographes et biologistes de plusieurs pays.
Grâce à une photographie époustouflante, ce film nous emmène dans un voyage magnifique et inédit au cœur des régions les plus mal connues de notre planète.
Ce film raconte les plus merveilleuses comme les plus terrifiantes expériences humaines de notre temps. Tourné aux quatre coins d'une géographie extrême, il raconte l'odyssée moderne des hommes à la découverte de leur planète bleue.
Ce film se veut aussi un plaidoyer pour le respect du monde dans lequel nous vivons.
Si vous êtes une ONG ou une école et que vous souhaitez diffuser le film "Planète Océan" gratuitement, adressez-vous à la Fondation GoodPlanet : communication@goodplanet.org
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Musique
"Née de la glace" de Armand Amar (Google Play)
Planète Océan, est un film documentaire (1h29) de Yann Arthus-Bertrand, qui raconte la beauté et la vie dans les océans, et les plus merveilleuses comme les plus terrifiantes expériences humaines de notre temps. Tourné aux quatre coins du monde, il nous fait prendre conscience que les océans sont sources de vie pour tous et que l'homme doit cesser de les polluer et les dévaliser de sa faune si nous voulons continuer à vivre.
Peut-on imaginer un film qui changerait le regard des hommes sur l’océan ? Peut-on raconter simplement et à tous le plus grand mystère naturel de notre planète ? Peut-on enfin aider nos enfants à croire à un monde de demain meilleur et durable ?
C’est le triple défi de cette nouvelle aventure cinématographique signée Yann Arthus-Bertrand dont le rédacteur en chef est Michael Pitiot, qui entraîne dans son sillage les missions scientifiques de TARA, un pool unique de chercheurs, océanographes et biologistes de plusieurs pays. « L’océan n’appartient à personne, donc à tout le monde, donc au premier qui se sert… », dit le réalisateur.
Grâce à des images aériennes époustouflante et à celles saisissantes de cadreurs sous-marins primés, ce film nous emmène dans un voyage magnifique et inédit au cœur des régions les plus mal connues de notre planète bleue.
« Longtemps, j’ai contemplé l’océan sans le comprendre. Je ressentais l’énergie immense de ses eaux. Je m’étonnais de la profondeur de ses bleus. Je respirais l’air du large, mais en réalité, je ne voyais rien... ». Ainsi commence le film Planète Océan.
En collaboration avec une équipe inédite d’océanographes et de biologistes de plusieurs pays, cette œuvre chorale vient nous rappeler que nous sommes tous habitants d’une même planète bleue, la Terre, et explore le lien ancestral et fragile qui unit l’Homme aux océans. Planète Océan est un plaidoyer pour le respect du monde dans lequel nous vivons.
Présenté en avant-première lors du sommet de la Terre Rio +20, ce film met en avant la nécessité d’une prise de conscience générale et de l’instauration d’une responsabilité mondiale des océans, qui apparait comme une solution forte pour une meilleure gestion de la haute mer, aujourd’hui libre de tout contrôle.
« Les baleines et les dauphins ne sont pas les seuls habitants des océans. Il faut également compter les citoyens des Maldives dans le Pacifique ou les pêcheurs de Papouasie-Nouvelle Guinée, et aussi les marins qui sillonnent les océans dans leur navire de pêche ou sur l’un des multiples porte-conteneurs qui font l’aller-retour entre la Chine et les USA. Il y a aussi tous les habitants de ces métropoles côtières que sont New-York, Shanghai, Rotterdam ou Nagoya…
Nous le savons tous, même si nous l’oublions parfois, nous habitons une même planète. Parce que les océans fournissent l’oxygène que nous respirons, parce qu’ils produisent une partie importante de notre nourriture, parce qu’ils permettent l’essentiel de nos échanges commerciaux, ils sont au cœur de notre vie à tous.
Méconnus, mal-aimés parfois car dangereux, et en tout cas mésestimés, les océans ont gardé avec nous un lien profond. La capacité apaisante du flux et du reflux de leurs vagues en est peut-être le signe..., tout comme le fait que les plages restent la destination préférée des vacanciers qui veulent rompre avec leur quotidien de béton et de bitume. Ou peut-être, encore, parce que nous venons tous de cette soupe primitive qui a permis à la vie d’apparaître il y a des milliards d’années.
C’est ce lien que j’ai voulu montrer dans ce film. J’ai voulu montrer la beauté des océans, leur diversité, leur utilité, mais aussi les menaces qui pèsent aujourd’hui sur eux et les solutions que l’on peut y apporter, car l’Homme est à la fois la cause et la solution de tous les problèmes...
Pour réaliser ce projet, j’ai fait appel, avec Michael Pitiot, aux meilleurs cameramen, aux meilleurs connaisseurs des océans. Ils ont conjugué leurs efforts pour produire ou rassembler les images les plus belles, les plus saisissantes ou les plus significatives de nos océans.
D’une certaine manière, ce film est une œuvre chorale construite à l’image des efforts collectifs et des nouvelles solidarités qu’il faudra mettre en place pour protéger notre planète, car il faudra bien sûr travailler ensemble pour changer le monde. Chacun de ces photographes et de ces cameramen avec qui j’ai été heureux de travailler a connu une histoire similaire à la mienne : Chacun a vu la beauté du monde, en a été ému et a choisi d’en témoigner pour la protéger, car même si le monde a changé et que de multiples menaces pèsent sur lui, il reste magnifique.
Dire sa beauté, c’est susciter, peut-être, l’élan qui permettra de le préserver. « Ce ne sont pas mes épines qui me protègent, dit la rose, c’est mon parfum », a écrit Paul Claudel. De la même manière, ce ne sont pas les terribles prédictions des Cassandres de l’environnement qui sauveront le monde, c’est notre capacité à nous émouvoir, à ressentir sa beauté. C’est aussi notre capacité à voir la beauté qui habite en chacun d’entre nous, et à la faire éclore, parfois, en nous ouvrant aux autres et en laissant notre cœur parler d’amour.
C’est l’amour qui changera notre monde. C’est ce que j’essaie de dire dans ce film. C’est ce que j’ai toujours essayé de dire. »
(yannarthusbertrand.org/ - goodplanet.org/)
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