LES JEUDIS EN FETES enfin pas pour tout le monde !
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LES JEUDIS EN FETES enfin pas pour tout le monde !
QUE FAUT IL FAIRE ? je pose la question à tous les services et les responsables de cette manifestation d'ailleurs ....
Voici le parking ce matin de la place de l'hermine
VIVE LA STATION BALNEAIRE DE PLOUHA ,ses plages ,son tourisme ,son classement vert ....
Plus sérieusement je pense que les organisateurs des "jeudis en fetes" feraient bien de placer plus de containers à disposition
A quoi tient la propreté ?
La propreté s’apprend. Elle fait partie de notre histoire et de notre éducation. Dans certaines familles, cette problématique est abordée, et fait partie des valeurs essentielles transmises, attestant du respect de l’autre et de la collectivité. Dans d’autres, cela sera moins marqué.
A cet apprentissage peuvent s’ajouter des éléments culturels. Il est des lieux, des villes ou des pays où l’on vit dans le respect absolu de la propreté, où l’on ne va pas s’autoriser à jeter un mégot ou un papier par terre. Et comme il y a un effet de masse, et de conformité au groupe, ces règles de propreté sont respectées. Ce qui n’est pas le cas en France, où la propreté repose pour l’essentiel sur l’éducation.
A l’éducation et à la culture s’ajoutent des éléments de personnalité. On peut évidemment être sale dans une famille irréprochablement propre ! Sans compter qu’à certaines périodes de sa vie, le rapport à la propreté et à l’hygiène peut devenir un problème : l’adolescence, par exemple, marquée par la provocation et la rébellion, s’accompagne parfois de l’irrespect des lieux collectifs, d’une remise en question des règles, d’un refus des contraintes. Une fois passée cette période, la plupart des individus « rentrent dans le droit chemin ».
Pourquoi certains salissent-ils l’espace public ?
Une majorité des personnes qui contreviennent aux règles de propreté dans les lieux partagés n’ont pas le sentiment de manquer de respect lorsqu’elles le font. Et c’est sans aucune culpabilité qu’elles se délestent d’un détritus. Ces personnalités fonctionnent sur un mode très égoiste, ne s’embarrassant pas de l’autre. Il n’y a pour elles aucune valeur ajoutée à respecter un trottoir. D’autant plus que les contrevenants sont étrangers à l’idée qu’ils peuvent déranger ou « agresser » leurs semblables. Certains d’entre eux vont jusqu’à considérer que d’autres sont là pour ramasser.
Contrevenir aux règles de propreté peut aussi s’expliquer par une faute d’inattention qui tient davantage à la précipitation ou à un geste automatique.
Enfin, un autre phénomène, qu’on appelle « l’apprentissage vicariant » en psychologie, peut entrer en ligne de compte. Si vous êtes dans un endroit où le plus grand nombre ne respecte pas les règles de propreté qu’il sous-tend, vous êtes davantage enclins à suivre leur exemple.
Comment réagir face aux « jeteurs » ?
Si l’on est gêné par un comportement, il importe de le signifier. Quand on fait savoir au « salisseur » que son geste incommode, il est souvent agressif. Et pour cause, dans ce rapport de force, pris en faute, il se braque car il ne tient pas à être dévalorisé et/ou dominé sur la place publique.
Plus rarement, il peut reconnaître ses torts. Notamment si celui qui l’interpelle le fait sur un ton dénué d’agressivité, avec tact, en parlant en son propre nom – « Cela m’attriste que… » ou « Je suis désolé(e) ou surpris(e) de voir que… ». Un discours qui évite le reproche et qui utilise le « je » ne laissera pas « l’agresseur » indifférent. La manière de verbaliser fait que le message est entendu et qu’il va être considéré.
Voici le parking ce matin de la place de l'hermine
VIVE LA STATION BALNEAIRE DE PLOUHA ,ses plages ,son tourisme ,son classement vert ....
Plus sérieusement je pense que les organisateurs des "jeudis en fetes" feraient bien de placer plus de containers à disposition
J'AI TROUVE EN FOUILLANT INTERNANT UN TEXTE INTERESSANT .
A quoi tient la propreté ?
La propreté s’apprend. Elle fait partie de notre histoire et de notre éducation. Dans certaines familles, cette problématique est abordée, et fait partie des valeurs essentielles transmises, attestant du respect de l’autre et de la collectivité. Dans d’autres, cela sera moins marqué.
A cet apprentissage peuvent s’ajouter des éléments culturels. Il est des lieux, des villes ou des pays où l’on vit dans le respect absolu de la propreté, où l’on ne va pas s’autoriser à jeter un mégot ou un papier par terre. Et comme il y a un effet de masse, et de conformité au groupe, ces règles de propreté sont respectées. Ce qui n’est pas le cas en France, où la propreté repose pour l’essentiel sur l’éducation.
A l’éducation et à la culture s’ajoutent des éléments de personnalité. On peut évidemment être sale dans une famille irréprochablement propre ! Sans compter qu’à certaines périodes de sa vie, le rapport à la propreté et à l’hygiène peut devenir un problème : l’adolescence, par exemple, marquée par la provocation et la rébellion, s’accompagne parfois de l’irrespect des lieux collectifs, d’une remise en question des règles, d’un refus des contraintes. Une fois passée cette période, la plupart des individus « rentrent dans le droit chemin ».
Pourquoi certains salissent-ils l’espace public ?
Une majorité des personnes qui contreviennent aux règles de propreté dans les lieux partagés n’ont pas le sentiment de manquer de respect lorsqu’elles le font. Et c’est sans aucune culpabilité qu’elles se délestent d’un détritus. Ces personnalités fonctionnent sur un mode très égoiste, ne s’embarrassant pas de l’autre. Il n’y a pour elles aucune valeur ajoutée à respecter un trottoir. D’autant plus que les contrevenants sont étrangers à l’idée qu’ils peuvent déranger ou « agresser » leurs semblables. Certains d’entre eux vont jusqu’à considérer que d’autres sont là pour ramasser.
Contrevenir aux règles de propreté peut aussi s’expliquer par une faute d’inattention qui tient davantage à la précipitation ou à un geste automatique.
Enfin, un autre phénomène, qu’on appelle « l’apprentissage vicariant » en psychologie, peut entrer en ligne de compte. Si vous êtes dans un endroit où le plus grand nombre ne respecte pas les règles de propreté qu’il sous-tend, vous êtes davantage enclins à suivre leur exemple.
Comment réagir face aux « jeteurs » ?
Si l’on est gêné par un comportement, il importe de le signifier. Quand on fait savoir au « salisseur » que son geste incommode, il est souvent agressif. Et pour cause, dans ce rapport de force, pris en faute, il se braque car il ne tient pas à être dévalorisé et/ou dominé sur la place publique.
Plus rarement, il peut reconnaître ses torts. Notamment si celui qui l’interpelle le fait sur un ton dénué d’agressivité, avec tact, en parlant en son propre nom – « Cela m’attriste que… » ou « Je suis désolé(e) ou surpris(e) de voir que… ». Un discours qui évite le reproche et qui utilise le « je » ne laissera pas « l’agresseur » indifférent. La manière de verbaliser fait que le message est entendu et qu’il va être considéré.
Re: LES JEUDIS EN FETES enfin pas pour tout le monde !
vous pouvez remercier le personnel de Plouha !
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