Le Triangle de la Burle, le Bermudes des Cévennes qui détient le record de crashs
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Le Triangle de la Burle, le Bermudes des Cévennes qui détient le record de crashs
Correspondance, Gautier DEMOUVEAUX
Le Triangle de la Burle, zone située à la croisée de l’Ardèche, de la Loire et de la Haute-Loire, à l’est du Massif central, détiendrait le triste record des catastrophes aériennes en France. Depuis les années 1940, près de 80 accidents – dont de nombreux mortels – ont eu lieu dans cette région…
« Bermudes en Cévennes » : l’expression est popularisée par le journaliste Jean Peyrard, au milieu des années 1980, dans un ouvrage sur le triangle de la Burle, un espace plus ou moins défini entre le massif du Pilat près de Saint-Étienne, le Puy-en-Velay et le mont Mézenc. C’est là que bon nombre de catastrophes aériennes ont eu lieu depuis près d’un siècle.
Un véritable « Pot-au-Noir » local, qui serait redouté par les aviateurs, notamment en hiver. En effet, c’est là que souffle la Burle, « un vent indompté qui réussit à créer en quelques heures des congères de plus de huit mètres de haut […], un vent incontrôlable qui a fait se perdre plus d’un aéronef dans les Cévennes et qui a transformé cette magnifique région en un véritable tombeau à ciel ouvert, rempli d’avions venus s’écraser sur les monts ancestraux de l’Ardèche et de la Haute-Loire », écrit le romancier Renaud Benoist, auteur d’un livre enquête sur le sujet.
Le Progrès, Le Pays, La Montagne, Le Quotidien de la Haute-Loire… La presse régionale a évoqué à plusieurs reprises le Triangle de la Burle, en évoquant notamment les catastrophes aériennes, dont la plus importante, celle de 1971, et la disparition de l’élite du programme atomique français. (Photo : Klodo6975 / Wikicommons) (DR)
Si la zone connaît ses premiers accidents d’avion dans les années 1930, c’est durant la Seconde Guerre mondiale que débute la légende du Triangle de la Burle : plusieurs avions connaissent des avaries en survolant la zone, et les accidents se multiplient. En cause, bien souvent : la météo.
Le 3 novembre 1943, un Halifax de la Royal Air Force, chargé de parachuter des armes à la résistance française, s’écrase en pleine nuit à proximité du village de Marcols-les-Eaux. Bilan : six morts et un rescapé. « Le rapport officiel du mitrailleur de queue [le survivant du crash, NdlR] résume ainsi le fait que l’avion fut pris dans un orage terrifiant et que plus aucune commande ne fonctionnait, poursuit Renaud Benoist. Plus tard, il dira qu’à une soudaine chaleur intense succéda un froid glacial à l’intérieur de l’appareil. »
Au sol, les témoignages des résistants sont aussi troublants. Plusieurs d’entre eux parlent de sphères lumineuses entourant l’avion quelques secondes avant le drame.
La série noire continue
Les accidents se multiplient à intervalles réguliers dans les décennies d’après-guerre entre les monts d’Ardèche, du Velay et du Forez. Parmi les victimes – plus d’une soixantaine – on trouve des personnalités, comme la sœur d’un président des États-Unis ou le dirigeant d’un club de football anglais.
Le 13 mai 1948, un avion de la compagnie Skyways qui vole vers Nice s’écrase au lieu-dit « Serre du Péronnier », avec à son bord trois membres d’équipage et quatre passagers. Parmi ces derniers, Kathleen Kennedy, fille de l’ambassadeur des États-Unis à Londres et sœur cadette de JFK. Ce drame marque le début de la soi-disant malédiction des Kennedy, mais donne surtout un retentissement international à ce triangle tant redouté. Tout comme la mort, trente ans plus tard, du président du club de football de Birmingham, aux commandes de son avion de tourisme, dans un accident aérien inexpliqué.
Kathleen Kennedy, sœur du président américain, fait partie des victimes décédées dans l’un des 80 accidents d’avion survenus dans cette région. (Photo : JFK Presidential library / Wikicommons) (JFK Presidential library - Wikicommons)
L’élite du programme nucléaire français décapitée
Aux côtés des nombreux avions civils victimes du Triangle de la Burle, on trouve également bon nombre d’appareils militaires français et étrangers. En effet, l’espace aérien au-dessus du Massif central sert de terrain d’entraînement pour les chasseurs, et les drames sont nombreux. Mais le plus important d’entre eux se déroule le 21 janvier 1971.
Ce jour-là, un bimoteur Nord 262 de l’armée de l’air s’écrase à 1 342 mètres d’altitude, du côté de Mézilhace en Ardèche. À son bord : les plus grands cerveaux du programme nucléaire français, dont le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, qui se rendaient à la centrale du Tricastin. Après l’accident, qui fit 22 victimes, trois hélicoptères et 500 gendarmes et militaires sont mobilisés pour boucler la zone, afin de récupérer deux valises contenant des documents classés secret-défense. Officiellement, c’est la météo qui est une nouvelle fois en cause dans cet accident.
Mais la presse de l’époque évoque le « mystère du 22e passager ». « Lors des recherches, les sauveteurs retrouvèrent 22 corps, alors qu’il n’y avait que 21 passagers officiellement à bord Nord 262, note Renaud Benoist. À l’époque, beaucoup de journalistes soulevèrent l’idée qu’il pouvait y avoir un terroriste parmi les passagers, caché dans l’avion… »
Un monument à la mémoire des 21 scientifiques et militaires de la catastrophe du 21 janvier 1971 a été dressé sur les hauteurs du village de Mézilhac et inauguré par le Président Pompidou. (Photo : Fracademic / Wikicommons) (Fracademic/Wikicommons)
Des accidents parfois inexpliqués
Une nouvelle fois, plusieurs témoins de l’accident affirment avoir vu des objets lumineux entourer l’appareil lors de sa chute. Des observations étonnantes que l’on retrouve dans bien des cas. Car une part de mystère entoure certains des accidents survenus dans la zone du Triangle de la Burle. Sans parler de ces avions dont on ne retrouvera jamais la trace.
Comme ce 18 décembre 1980, avec ce que l’on appelle « un crash de rien » : ce jour-là, de nombreux témoins aperçoivent un avion en difficulté dans le ciel du côté du Puy-en-Velay, et préviennent la gendarmerie. L’appareil disparaît derrière une montagne et une grande colonne de fumée noire s’élève dans les airs. Le plan SATER (pour Sauvetage AéroTERestre) est déclenché, les secours se rendent vers le lieu du crash, où ils rencontrent agriculteurs et automobilistes qui se sont arrêtés pour observer le phénomène. Un hélicoptère survole le lieu du mystérieux crash, mais on ne retrouve rien ; pas un débris, pas un indice… Deux mois plus tard, un autre avion est signalé en perdition par des témoins, dont une patrouille de gendarmerie.
Une nouvelle fois, les secours sont envoyés à la recherche de l’engin, mais sans plus de succès : on ne trouve aucune trace d’accident et aucun avion n’est signalé perdu dans la région. Un mystère de plus !
Certes, le vent glacial soufflant en bourrasques et gelant une partie des sondes des avions peut justifier certains drames, tout comme le relief de cette partie est du Massif Central. Mais les phénomènes météorologiques ne peuvent pas expliquer à eux seuls la totalité des crashs. Erreurs humaines, pannes, malchance… Renaud Benoist liste également dans son ouvrage les différentes théories qu’il a pu recueillir, de la plus scientifique à la plus fantastique. Celle qui revient la plus fréquemment est celle des perturbations magnétiques.
« Ce seraient elles qui affoleraient complètement les instruments de navigation des avions, explique l’auteur du livre En quête du Triangle de la Burle. Ces perturbations magnétiques dérégleraient les radios et GPS et créeraient différentes pannes électriques. »
Les raisons ? Des nuages électromagnétiques se formant en altitude avec la Burle, ou des perturbations liées à la nature du sol de ces anciens volcans, où furent creusées les premières mines d’uranium de l’Hexagone. « Certains chercheurs décrivent le mont Mézenc comme un lieu de concentration énergétique, […] symbolisant un pic d’énergie spectaculaire, libérant une force électromagnétique fabuleuse. »
L’équipage du bombardier anglais Halifax, victime de la première catastrophe aérienne qui lança la légende du Triangle de la Burle, repose dans le cimetière de Marcols-les-Eaux. Les cendres du sergent Brough, seul survivant du crash, ont été dispersées à sa mort en 1994 près de ses six camarades, comme il l’avait demandé. (Photo : Jastrow / Wikicommons) (Klodo6975/Wikicommons)
Des explications plus ou moins rationnelles
Du côté des théories fantastiques, Renaud Benoist évoque l’observation d’Ovnis ou la présence de bases militaires secrètes dans la région. Il fait appel également aux légendes locales, comme celle de la Table d’or : dans l’Antiquité, des guerriers gaulois auraient ramené au Puy-en-Velay une main dorée (en orichalque, un métal légendaire fabriqué sur l’Atlantide) arrachée à une statue du dieu Apollon, après le sac de Delphes en Grèce.
Ce butin de guerre apporta le malheur dans la cité, où d’étranges phénomènes apparurent. Les druides firent fondre l’objet pour en faire une table d’or, sans pour autant réussir à annuler le sortilège. Ils décidèrent finalement de l’enterrer finalement dans les montagnes, dans le massif du Mézenc, du côté des « Dents du Diables ». « Pour beaucoup, ce serait donc cette fameuse Table d’or, reliquat de la main d’Apollon, qui serait la cause des crashs aériens, poursuit l’auteur. Elle parviendrait à désorienter les pilotes et affolerait complètement les tableaux de bord des avions. »
Drames humains, météo capricieuse, soupçons d’espionnage, sphères lumineuses, trésor celte et ésotérisme… Voilà la recette du Triangle de la Burle, un cocktail savoureux pour les amateurs de fantastique
ouest france
Le Triangle de la Burle, zone située à la croisée de l’Ardèche, de la Loire et de la Haute-Loire, à l’est du Massif central, détiendrait le triste record des catastrophes aériennes en France. Depuis les années 1940, près de 80 accidents – dont de nombreux mortels – ont eu lieu dans cette région…
« Bermudes en Cévennes » : l’expression est popularisée par le journaliste Jean Peyrard, au milieu des années 1980, dans un ouvrage sur le triangle de la Burle, un espace plus ou moins défini entre le massif du Pilat près de Saint-Étienne, le Puy-en-Velay et le mont Mézenc. C’est là que bon nombre de catastrophes aériennes ont eu lieu depuis près d’un siècle.
Un véritable « Pot-au-Noir » local, qui serait redouté par les aviateurs, notamment en hiver. En effet, c’est là que souffle la Burle, « un vent indompté qui réussit à créer en quelques heures des congères de plus de huit mètres de haut […], un vent incontrôlable qui a fait se perdre plus d’un aéronef dans les Cévennes et qui a transformé cette magnifique région en un véritable tombeau à ciel ouvert, rempli d’avions venus s’écraser sur les monts ancestraux de l’Ardèche et de la Haute-Loire », écrit le romancier Renaud Benoist, auteur d’un livre enquête sur le sujet.
Le Progrès, Le Pays, La Montagne, Le Quotidien de la Haute-Loire… La presse régionale a évoqué à plusieurs reprises le Triangle de la Burle, en évoquant notamment les catastrophes aériennes, dont la plus importante, celle de 1971, et la disparition de l’élite du programme atomique français. (Photo : Klodo6975 / Wikicommons) (DR)
Si la zone connaît ses premiers accidents d’avion dans les années 1930, c’est durant la Seconde Guerre mondiale que débute la légende du Triangle de la Burle : plusieurs avions connaissent des avaries en survolant la zone, et les accidents se multiplient. En cause, bien souvent : la météo.
Le 3 novembre 1943, un Halifax de la Royal Air Force, chargé de parachuter des armes à la résistance française, s’écrase en pleine nuit à proximité du village de Marcols-les-Eaux. Bilan : six morts et un rescapé. « Le rapport officiel du mitrailleur de queue [le survivant du crash, NdlR] résume ainsi le fait que l’avion fut pris dans un orage terrifiant et que plus aucune commande ne fonctionnait, poursuit Renaud Benoist. Plus tard, il dira qu’à une soudaine chaleur intense succéda un froid glacial à l’intérieur de l’appareil. »
Au sol, les témoignages des résistants sont aussi troublants. Plusieurs d’entre eux parlent de sphères lumineuses entourant l’avion quelques secondes avant le drame.
La série noire continue
Les accidents se multiplient à intervalles réguliers dans les décennies d’après-guerre entre les monts d’Ardèche, du Velay et du Forez. Parmi les victimes – plus d’une soixantaine – on trouve des personnalités, comme la sœur d’un président des États-Unis ou le dirigeant d’un club de football anglais.
Le 13 mai 1948, un avion de la compagnie Skyways qui vole vers Nice s’écrase au lieu-dit « Serre du Péronnier », avec à son bord trois membres d’équipage et quatre passagers. Parmi ces derniers, Kathleen Kennedy, fille de l’ambassadeur des États-Unis à Londres et sœur cadette de JFK. Ce drame marque le début de la soi-disant malédiction des Kennedy, mais donne surtout un retentissement international à ce triangle tant redouté. Tout comme la mort, trente ans plus tard, du président du club de football de Birmingham, aux commandes de son avion de tourisme, dans un accident aérien inexpliqué.
Kathleen Kennedy, sœur du président américain, fait partie des victimes décédées dans l’un des 80 accidents d’avion survenus dans cette région. (Photo : JFK Presidential library / Wikicommons) (JFK Presidential library - Wikicommons)
L’élite du programme nucléaire français décapitée
Aux côtés des nombreux avions civils victimes du Triangle de la Burle, on trouve également bon nombre d’appareils militaires français et étrangers. En effet, l’espace aérien au-dessus du Massif central sert de terrain d’entraînement pour les chasseurs, et les drames sont nombreux. Mais le plus important d’entre eux se déroule le 21 janvier 1971.
Ce jour-là, un bimoteur Nord 262 de l’armée de l’air s’écrase à 1 342 mètres d’altitude, du côté de Mézilhace en Ardèche. À son bord : les plus grands cerveaux du programme nucléaire français, dont le directeur du Commissariat à l’énergie atomique, qui se rendaient à la centrale du Tricastin. Après l’accident, qui fit 22 victimes, trois hélicoptères et 500 gendarmes et militaires sont mobilisés pour boucler la zone, afin de récupérer deux valises contenant des documents classés secret-défense. Officiellement, c’est la météo qui est une nouvelle fois en cause dans cet accident.
Mais la presse de l’époque évoque le « mystère du 22e passager ». « Lors des recherches, les sauveteurs retrouvèrent 22 corps, alors qu’il n’y avait que 21 passagers officiellement à bord Nord 262, note Renaud Benoist. À l’époque, beaucoup de journalistes soulevèrent l’idée qu’il pouvait y avoir un terroriste parmi les passagers, caché dans l’avion… »
Un monument à la mémoire des 21 scientifiques et militaires de la catastrophe du 21 janvier 1971 a été dressé sur les hauteurs du village de Mézilhac et inauguré par le Président Pompidou. (Photo : Fracademic / Wikicommons) (Fracademic/Wikicommons)
Des accidents parfois inexpliqués
Une nouvelle fois, plusieurs témoins de l’accident affirment avoir vu des objets lumineux entourer l’appareil lors de sa chute. Des observations étonnantes que l’on retrouve dans bien des cas. Car une part de mystère entoure certains des accidents survenus dans la zone du Triangle de la Burle. Sans parler de ces avions dont on ne retrouvera jamais la trace.
Comme ce 18 décembre 1980, avec ce que l’on appelle « un crash de rien » : ce jour-là, de nombreux témoins aperçoivent un avion en difficulté dans le ciel du côté du Puy-en-Velay, et préviennent la gendarmerie. L’appareil disparaît derrière une montagne et une grande colonne de fumée noire s’élève dans les airs. Le plan SATER (pour Sauvetage AéroTERestre) est déclenché, les secours se rendent vers le lieu du crash, où ils rencontrent agriculteurs et automobilistes qui se sont arrêtés pour observer le phénomène. Un hélicoptère survole le lieu du mystérieux crash, mais on ne retrouve rien ; pas un débris, pas un indice… Deux mois plus tard, un autre avion est signalé en perdition par des témoins, dont une patrouille de gendarmerie.
Une nouvelle fois, les secours sont envoyés à la recherche de l’engin, mais sans plus de succès : on ne trouve aucune trace d’accident et aucun avion n’est signalé perdu dans la région. Un mystère de plus !
Certes, le vent glacial soufflant en bourrasques et gelant une partie des sondes des avions peut justifier certains drames, tout comme le relief de cette partie est du Massif Central. Mais les phénomènes météorologiques ne peuvent pas expliquer à eux seuls la totalité des crashs. Erreurs humaines, pannes, malchance… Renaud Benoist liste également dans son ouvrage les différentes théories qu’il a pu recueillir, de la plus scientifique à la plus fantastique. Celle qui revient la plus fréquemment est celle des perturbations magnétiques.
« Ce seraient elles qui affoleraient complètement les instruments de navigation des avions, explique l’auteur du livre En quête du Triangle de la Burle. Ces perturbations magnétiques dérégleraient les radios et GPS et créeraient différentes pannes électriques. »
Les raisons ? Des nuages électromagnétiques se formant en altitude avec la Burle, ou des perturbations liées à la nature du sol de ces anciens volcans, où furent creusées les premières mines d’uranium de l’Hexagone. « Certains chercheurs décrivent le mont Mézenc comme un lieu de concentration énergétique, […] symbolisant un pic d’énergie spectaculaire, libérant une force électromagnétique fabuleuse. »
L’équipage du bombardier anglais Halifax, victime de la première catastrophe aérienne qui lança la légende du Triangle de la Burle, repose dans le cimetière de Marcols-les-Eaux. Les cendres du sergent Brough, seul survivant du crash, ont été dispersées à sa mort en 1994 près de ses six camarades, comme il l’avait demandé. (Photo : Jastrow / Wikicommons) (Klodo6975/Wikicommons)
Des explications plus ou moins rationnelles
Du côté des théories fantastiques, Renaud Benoist évoque l’observation d’Ovnis ou la présence de bases militaires secrètes dans la région. Il fait appel également aux légendes locales, comme celle de la Table d’or : dans l’Antiquité, des guerriers gaulois auraient ramené au Puy-en-Velay une main dorée (en orichalque, un métal légendaire fabriqué sur l’Atlantide) arrachée à une statue du dieu Apollon, après le sac de Delphes en Grèce.
Ce butin de guerre apporta le malheur dans la cité, où d’étranges phénomènes apparurent. Les druides firent fondre l’objet pour en faire une table d’or, sans pour autant réussir à annuler le sortilège. Ils décidèrent finalement de l’enterrer finalement dans les montagnes, dans le massif du Mézenc, du côté des « Dents du Diables ». « Pour beaucoup, ce serait donc cette fameuse Table d’or, reliquat de la main d’Apollon, qui serait la cause des crashs aériens, poursuit l’auteur. Elle parviendrait à désorienter les pilotes et affolerait complètement les tableaux de bord des avions. »
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