La NASA teste un moteur à propulsion solaire pour les futurs voyages interstellaires
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La NASA teste un moteur à propulsion solaire pour les futurs voyages interstellaires
par
Sarah Ben Bouzid
| 23 novembre 2020
Les scientifiques du laboratoire de physique appliquée de l’université Johns-Hopkins étudient la possibilité d’exploiter la propulsion solaire pour les futurs voyages interstellaires https://www.ulyces.co/news/les-voyages-interstellaires-pourraient-completement-transformer-le-langage-humain/ d’ici 2030, pour le compte de la NASA, révélait Wired le 20 novembre.
Pour les astrophysiciens de l’université Johns-Hopkins, la propulsion solaire est une alternative crédible au carburant actuel. Pour le prouver, ils ont créé un « simulateur solaire » à partir d’un conteneur en métal transformé pour être équipé de milliers de LED. « C’est la preuve que la propulsion solaire thermique n’est pas une idée complètement folle », a déclaré Jason Benjoski, spécialiste des matériaux au laboratoire de physique appliquée.
L’exploration spatiale se heurte actuellement aux limites de l’héliopause, la frontière au-delà de laquelle les effets des vents solaires se tarissent. Seules les sondes Voyager 1 et 2 sont parvenues à la franchir, et il leur a fallu plus d’un demi-siècle pour atteindre l’espace interstellaire.
Voilà pourquoi la NASA travaille avec les scientifiques de Johns-Hopkins depuis 2019, afin de trouver de nouvelles façons de propulser les vaisseaux spatiaux, à des vitesses beaucoup plus élevées qu’auparavant. Plutôt que de consommer des litres de carburant, une sonde à propulsion solaire serait propulsée par un moteur thermique qui absorberait l’hydrogène émanant du Soleil. Porté à combustion, il serait recraché hors de la fusée afin de générer une poussée à très grande vitesse.
Au-delà des défis de conception que représente la création d’un tel moteur, la fusée https://www.ulyces.co/news/une-fusee-soyouz-transporte-des-astronautes-sur-liss-en-3-heures-seulement/ à propulsion solaire devra se rapprocher énormément du Soleil pour absorber son hydrogène, et ce sans fondre. Cela lui permettra d’atteindre une vitesse située entre 48 000 à 322 000 km/h. Pour l’heure, seuls quelques matériaux connus des scientifiques peuvent résister à des températures aussi élevées tout en étant capables de canaliser l’hydrogène du Soleil.
Source : Wired
Sarah Ben Bouzid
| 23 novembre 2020
Les scientifiques du laboratoire de physique appliquée de l’université Johns-Hopkins étudient la possibilité d’exploiter la propulsion solaire pour les futurs voyages interstellaires https://www.ulyces.co/news/les-voyages-interstellaires-pourraient-completement-transformer-le-langage-humain/ d’ici 2030, pour le compte de la NASA, révélait Wired le 20 novembre.
Pour les astrophysiciens de l’université Johns-Hopkins, la propulsion solaire est une alternative crédible au carburant actuel. Pour le prouver, ils ont créé un « simulateur solaire » à partir d’un conteneur en métal transformé pour être équipé de milliers de LED. « C’est la preuve que la propulsion solaire thermique n’est pas une idée complètement folle », a déclaré Jason Benjoski, spécialiste des matériaux au laboratoire de physique appliquée.
L’exploration spatiale se heurte actuellement aux limites de l’héliopause, la frontière au-delà de laquelle les effets des vents solaires se tarissent. Seules les sondes Voyager 1 et 2 sont parvenues à la franchir, et il leur a fallu plus d’un demi-siècle pour atteindre l’espace interstellaire.
Voilà pourquoi la NASA travaille avec les scientifiques de Johns-Hopkins depuis 2019, afin de trouver de nouvelles façons de propulser les vaisseaux spatiaux, à des vitesses beaucoup plus élevées qu’auparavant. Plutôt que de consommer des litres de carburant, une sonde à propulsion solaire serait propulsée par un moteur thermique qui absorberait l’hydrogène émanant du Soleil. Porté à combustion, il serait recraché hors de la fusée afin de générer une poussée à très grande vitesse.
Au-delà des défis de conception que représente la création d’un tel moteur, la fusée https://www.ulyces.co/news/une-fusee-soyouz-transporte-des-astronautes-sur-liss-en-3-heures-seulement/ à propulsion solaire devra se rapprocher énormément du Soleil pour absorber son hydrogène, et ce sans fondre. Cela lui permettra d’atteindre une vitesse située entre 48 000 à 322 000 km/h. Pour l’heure, seuls quelques matériaux connus des scientifiques peuvent résister à des températures aussi élevées tout en étant capables de canaliser l’hydrogène du Soleil.
Source : Wired
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