Le pâté d’cochonne conserve les Bretonnes
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Le pâté d’cochonne conserve les Bretonnes
22 janvier 2016
Cogérantes de la conserverie artisanale Secrets de Famille, Sarah Jettain et Sandra Kerloch se lancent dans le circuit de la grande distribution à coups de pâté tout rond, tout rose, tout mignon. Tout de glamour et de chair tendre, le Pâté d’cochonne mitonné par les deux sœurs a fait une entrée remarquée par la ménagère dans les rayons des magasins Leclerc. Suivez les boîtes roses !
Mon petit canaillou, toi qui considère que le pâté rentre dans le torride registre de l’érotisme à tartiner, voilà de quoi parer les dessous de ton garde-manger. Le Pâté d’cochonne va faire danser le french cancan à tes placards et apporter une touche de canaillerie dans ton rayon conserves, que tu le dégustes froid ou chaud comme la braise. Dans son emballage rose bonbon, c’est un pâté de chair juste assez gras pour répandre sur tes papilles la saveur d’un bouillon fait-maison et d’un assaisonnement qui te fait dire : « gast mon cochon, qu’il est bon c’pâté d’jambon! ».
Rencontre avec la plus charcutière de ses mamans, Sarah Jettain.
Comment est né le Pâté d’cochonne?
Nous l’avons inauguré l’an dernier pour fêter les dix ans de notre conserverie artisanale Secret de Famille. On le propose en épicerie fine, comme le reste de nos produits, mais aussi en grandes surfaces, un nouveau défi ! L’idée est simple : que cette petite boîte nous raconte une histoire qui peut évoluer au fil des saisons et se collectionner ! On pourrait avoir une petite cochonne de la rentrée des classes, une en Mère Noël…Et notre recette se défend : un pâté de chair maigre de viande bretonne, fait par des gens d’ici, avec des oignons d’ici. Même la boîte est fabriquée à Douarnenez !
Qu’est ce qui vous a conduit sur la voie de la conserverie artisanale bretonne ?
A la base, c’est un rêve que nous partagions avec ma sœur Sandra Kerloch : associer nos compétences, moi de charcutière traiteur, elle de communication, gestion et administration des entreprises. On a papillonné et accumulé de l’expérience un peu partout avant de revenir en Bretagne et de se lancer. On s’est rapidement concentrées sur la conserve fine en créant Secrets de Famille. Pourquoi la conserve ? Parce que ça nous permet de travailler sur la durée et de concilier notre vie de famille. Nous créons sans cesse de nouveaux produits dans des gammes très variées, allant de la terrine aux plats préparés, en passant par les desserts … On ne veut rien s’interdire dans la conserve !
Comment avez-vous débuté votre activité ?
Nous avons commencé notre activité en louant à la journée un atelier agréé du lycée agricole de Lesneven : on s’y retrouvait 4 à 6 jours par mois pour faire nos conserves, et le reste de notre temps, nous le passions à faire déguster nos recettes dans les salons, à démarcher les épiceries fines, les stands de produits régionaux… Au bout d’un an et demi, nous avons pu louer puis acheter des locaux et un terrain, construire une extension, étoffer notre matériel… Maintenant, nous employons 4 personnes à temps-plein, et 7 à 8 personnes en pleine saison, c’est-à-dire les derniers mois de l’année Nos produits sont maintenant distribués dans tout le Grand Ouest, et gagnent petit à petit toute la France
http://www.bretagne-bretons.fr/le-pate-dcochonne-conserve-les-bretonnes/
Cogérantes de la conserverie artisanale Secrets de Famille, Sarah Jettain et Sandra Kerloch se lancent dans le circuit de la grande distribution à coups de pâté tout rond, tout rose, tout mignon. Tout de glamour et de chair tendre, le Pâté d’cochonne mitonné par les deux sœurs a fait une entrée remarquée par la ménagère dans les rayons des magasins Leclerc. Suivez les boîtes roses !
Mon petit canaillou, toi qui considère que le pâté rentre dans le torride registre de l’érotisme à tartiner, voilà de quoi parer les dessous de ton garde-manger. Le Pâté d’cochonne va faire danser le french cancan à tes placards et apporter une touche de canaillerie dans ton rayon conserves, que tu le dégustes froid ou chaud comme la braise. Dans son emballage rose bonbon, c’est un pâté de chair juste assez gras pour répandre sur tes papilles la saveur d’un bouillon fait-maison et d’un assaisonnement qui te fait dire : « gast mon cochon, qu’il est bon c’pâté d’jambon! ».
Rencontre avec la plus charcutière de ses mamans, Sarah Jettain.
Comment est né le Pâté d’cochonne?
Nous l’avons inauguré l’an dernier pour fêter les dix ans de notre conserverie artisanale Secret de Famille. On le propose en épicerie fine, comme le reste de nos produits, mais aussi en grandes surfaces, un nouveau défi ! L’idée est simple : que cette petite boîte nous raconte une histoire qui peut évoluer au fil des saisons et se collectionner ! On pourrait avoir une petite cochonne de la rentrée des classes, une en Mère Noël…Et notre recette se défend : un pâté de chair maigre de viande bretonne, fait par des gens d’ici, avec des oignons d’ici. Même la boîte est fabriquée à Douarnenez !
Qu’est ce qui vous a conduit sur la voie de la conserverie artisanale bretonne ?
A la base, c’est un rêve que nous partagions avec ma sœur Sandra Kerloch : associer nos compétences, moi de charcutière traiteur, elle de communication, gestion et administration des entreprises. On a papillonné et accumulé de l’expérience un peu partout avant de revenir en Bretagne et de se lancer. On s’est rapidement concentrées sur la conserve fine en créant Secrets de Famille. Pourquoi la conserve ? Parce que ça nous permet de travailler sur la durée et de concilier notre vie de famille. Nous créons sans cesse de nouveaux produits dans des gammes très variées, allant de la terrine aux plats préparés, en passant par les desserts … On ne veut rien s’interdire dans la conserve !
Comment avez-vous débuté votre activité ?
Nous avons commencé notre activité en louant à la journée un atelier agréé du lycée agricole de Lesneven : on s’y retrouvait 4 à 6 jours par mois pour faire nos conserves, et le reste de notre temps, nous le passions à faire déguster nos recettes dans les salons, à démarcher les épiceries fines, les stands de produits régionaux… Au bout d’un an et demi, nous avons pu louer puis acheter des locaux et un terrain, construire une extension, étoffer notre matériel… Maintenant, nous employons 4 personnes à temps-plein, et 7 à 8 personnes en pleine saison, c’est-à-dire les derniers mois de l’année Nos produits sont maintenant distribués dans tout le Grand Ouest, et gagnent petit à petit toute la France
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