Le fils du figuier de Roscoff planté au verger de Ty Dour
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Le fils du figuier de Roscoff planté au verger de Ty Dour
(Source : Ouest France)
Publié le jeudi 12 février 2015, par LA RÉDACTION
Après être passée par plusieurs propriétaires, une bouture du mythique figuier, abattu en 1987, a trouvé sa place dans le verger conservatoire de Ty Dour, à Morlaix
C’est une toute petite tige. Quelques dizaines de centimètres. Dans quelques années, ce sera un figuier. Pas n’importe lequel. Il est le fils du grand figuier de Roscoff, planté vers 1621 dans le jardin de l’ancien couvent des Capucins, route de Saint-Pol-de-Léon, et abattu en 1987 pour y construire une résidence immobilière.
C’était un vrai monument naturel qui attirait les touristes. Né d’un pied unique, il s’était étendu, par marcottage naturel des branches traînantes, lesquelles, se redressant, ont donné de nouveaux troncs. De nombreux piliers soutenaient les très longues branches horizontales qui formaient, par leur ensemble, une cime de 600 m2. Sa disparition est à l’origine du jardin de l’abbaye de Daoulas où ont été conservées plusieurs boutures.
C’est l’une de ces boutures qui a été offerte à Jean-Charles Pouliquen, adjoint au maire en charge du développement durable par un Morlaisien, M. Cadiou, qui l’avait lui-même obtenue du conservateur de l’abbaye.
Vendredi après-midi, cette bouture a rejoint le verger conservatoire de la vallée Ty Dour. Créé à l’origine pour conserver les variétés anciennes de pommes et poires, ce verger est géré par Bretagne Vivante qui y propose de nombreuses animations pédagogiques. Raymond Lachuer de l’association environnementale et le service des espaces verts de la vile de Morlaix ont aussi planté une oseraie. Les scions d’osier ont été fournis par l’association des vanniers de Plouzévédé « Gwialen ar Vro ».
Publié le jeudi 12 février 2015, par LA RÉDACTION
Après être passée par plusieurs propriétaires, une bouture du mythique figuier, abattu en 1987, a trouvé sa place dans le verger conservatoire de Ty Dour, à Morlaix
C’est une toute petite tige. Quelques dizaines de centimètres. Dans quelques années, ce sera un figuier. Pas n’importe lequel. Il est le fils du grand figuier de Roscoff, planté vers 1621 dans le jardin de l’ancien couvent des Capucins, route de Saint-Pol-de-Léon, et abattu en 1987 pour y construire une résidence immobilière.
C’était un vrai monument naturel qui attirait les touristes. Né d’un pied unique, il s’était étendu, par marcottage naturel des branches traînantes, lesquelles, se redressant, ont donné de nouveaux troncs. De nombreux piliers soutenaient les très longues branches horizontales qui formaient, par leur ensemble, une cime de 600 m2. Sa disparition est à l’origine du jardin de l’abbaye de Daoulas où ont été conservées plusieurs boutures.
C’est l’une de ces boutures qui a été offerte à Jean-Charles Pouliquen, adjoint au maire en charge du développement durable par un Morlaisien, M. Cadiou, qui l’avait lui-même obtenue du conservateur de l’abbaye.
Vendredi après-midi, cette bouture a rejoint le verger conservatoire de la vallée Ty Dour. Créé à l’origine pour conserver les variétés anciennes de pommes et poires, ce verger est géré par Bretagne Vivante qui y propose de nombreuses animations pédagogiques. Raymond Lachuer de l’association environnementale et le service des espaces verts de la vile de Morlaix ont aussi planté une oseraie. Les scions d’osier ont été fournis par l’association des vanniers de Plouzévédé « Gwialen ar Vro ».
Re: Le fils du figuier de Roscoff planté au verger de Ty Dour
L'histoire. Le fils du figuier de Roscoff planté au verger de Ty Dour !
Après être passée par plusieurs propriétaires, une bouture du mythique figuier, abattu en 1987, a trouvé sa place dans le verger conservatoire de Ty Dour, à Morlaix.
C’est une toute petite tige. Quelques dizaines de centimètres. Dans quelques années, ce sera un figuier. Pas n’importe lequel. Il est le fils du grand figuier de Roscoff, planté vers 1621 dans le jardin de l’ancien couvent des Capucins, route de Saint-Pol-de-Léon, et abattu en 1987 pour y construire une résidence immobilière.
C’était un vrai monument naturel qui attirait les touristes. Né d’un pied unique, il s’était étendu, par marcottage naturel des branches traînantes, lesquelles, se redressant, ont donné de nouveaux troncs. De nombreux piliers soutenaient les très longues branches horizontales qui formaient, par leur ensemble, une cime de 600 m². Sa disparition est à l’origine du jardin de l’abbaye de Daoulas où ont été conservées plusieurs boutures.
C’est l’une de ces boutures qui a été offerte à Jean-Charles Pouliquen, adjoint au maire en charge du développement durable par un Morlaisien, M. Cadiou, qui l’avait lui-même obtenue du conservateur de l’abbaye.
Vendredi après-midi, cette bouture a rejoint le verger conservatoire de la vallée Ty Dour. Créé à l’origine pour conserver les variétés anciennes de pommes et poires, ce verger est géré par Bretagne Vivante qui y propose de nombreuses animations pédagogiques. Raymond Lachuer de l’association environnementale et le service des espaces verts de la vile de Morlaix ont aussi planté une oseraie. Les scions d’osier ont été fournis par l’association des vanniers de Plouzévédé « Gwialen ar Vro ».
source ouest france
Après être passée par plusieurs propriétaires, une bouture du mythique figuier, abattu en 1987, a trouvé sa place dans le verger conservatoire de Ty Dour, à Morlaix.
C’est une toute petite tige. Quelques dizaines de centimètres. Dans quelques années, ce sera un figuier. Pas n’importe lequel. Il est le fils du grand figuier de Roscoff, planté vers 1621 dans le jardin de l’ancien couvent des Capucins, route de Saint-Pol-de-Léon, et abattu en 1987 pour y construire une résidence immobilière.
C’était un vrai monument naturel qui attirait les touristes. Né d’un pied unique, il s’était étendu, par marcottage naturel des branches traînantes, lesquelles, se redressant, ont donné de nouveaux troncs. De nombreux piliers soutenaient les très longues branches horizontales qui formaient, par leur ensemble, une cime de 600 m². Sa disparition est à l’origine du jardin de l’abbaye de Daoulas où ont été conservées plusieurs boutures.
C’est l’une de ces boutures qui a été offerte à Jean-Charles Pouliquen, adjoint au maire en charge du développement durable par un Morlaisien, M. Cadiou, qui l’avait lui-même obtenue du conservateur de l’abbaye.
Vendredi après-midi, cette bouture a rejoint le verger conservatoire de la vallée Ty Dour. Créé à l’origine pour conserver les variétés anciennes de pommes et poires, ce verger est géré par Bretagne Vivante qui y propose de nombreuses animations pédagogiques. Raymond Lachuer de l’association environnementale et le service des espaces verts de la vile de Morlaix ont aussi planté une oseraie. Les scions d’osier ont été fournis par l’association des vanniers de Plouzévédé « Gwialen ar Vro ».
source ouest france
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