Le Chêne de Tronjoly (Ar Ven Der, Bulat-Pestivien (22)
Page 1 sur 1
Le Chêne de Tronjoly (Ar Ven Der, Bulat-Pestivien (22)
Au Nord-Est de Callac, dans les Côtes d'Armor (22), trône depuis des siècles un chêne que l'on surnomme "le Chêne Tronjoly" ou chêne de Bulat-Pestivien. Localement, on préfère l'appeler "Ar Ven Der".
Circonférence: 12 mètres. Il est peut-être le plus gros chêne de tous ceux situés en Europe Occidentale, et certainement un des plus vieux:
Âge: entre 1300 & 1600 ans.
Les anciens vous raconterons que vers 1750, un moine ascète appelé Le Graët, en fit son hermitage et installa sa bibliothèque dans le ventre de l'arbre.
ps: j'en vois venir tout de suite au nom de ce moine. Noël Le Graet, Président de la FFF (Fédération Française de Football) depuis 2011 et né à Bourbriac (22) un 25 décembre, à défaut d'être le père noël, serait-il un de ses descendants ? J'en doute, je vous laisse libre de faire des recherches.
Ar Ven Der s'écrivait Ar Wezenn Derv: "Ar Wezenn" signifiant "l'arbre" et "Derv" pour "chêne".
Circonférence: 12 mètres. Il est peut-être le plus gros chêne de tous ceux situés en Europe Occidentale, et certainement un des plus vieux:
Âge: entre 1300 & 1600 ans.
Les anciens vous raconterons que vers 1750, un moine ascète appelé Le Graët, en fit son hermitage et installa sa bibliothèque dans le ventre de l'arbre.
ps: j'en vois venir tout de suite au nom de ce moine. Noël Le Graet, Président de la FFF (Fédération Française de Football) depuis 2011 et né à Bourbriac (22) un 25 décembre, à défaut d'être le père noël, serait-il un de ses descendants ? J'en doute, je vous laisse libre de faire des recherches.
Dernière édition par Admin le Mar 10 Jan - 22:09, édité 1 fois
Re: Le Chêne de Tronjoly (Ar Ven Der, Bulat-Pestivien (22)
Bulat-Pestivien. Le chêne de Tronjoly a traversé les siècles
Au pied de mon arbre. À Bulat-Pestivien, ce chêne est l’un des plus vieux d’Europe. Il a inspiré de nombreuses légendes.
Il est toujours là, fier et debout. Majestueux arbre qui a traversé les siècles. À Bulat-Pestivien, le chêne de Tronjoly n’est pas tout jeune. Certains estiment son âge à 900 ans. D’autres vont jusqu’à 1 600 printemps. La vérité se situe sûrement entre les deux.
Une chose est sûre : il est l’un des plus anciens et des plus colossaux chênes d’Europe. Aujourd’hui, son tronc est scindé en deux : une partie saine, qui continue de produire des feuilles, une autre partie morte mais toujours présente. À une époque, l’arbre a eu un tronc d’une circonférence d’environ 13 mètres. Tout de même !
Le secret d’une telle longévité : son emplacement. Ses racines côtoyant en effet un petit ruisseau, affluent du Léguer.
Situé sur un domaine privé, mais accessible en respectant la tranquillité des lieux, le chêne de Tronjoly a également été choyé ces dernières années : pour aider ses longues branches à soutenir le poids des années, des étais ont été installés. Et l’arbre continue ainsi sa vie, qui semble infinie.
Un moine dans son tronc
Au fil des siècles, ce chêne si imposant a inspiré différentes légendes. Vers 1750, un moine ascète, du nom de Le Graët, en aurait même fait son ermitage et aurait établi une bibliothèque au creux de son tronc.
Vous aurez beau chercher, point d’anciens livres cachés dans le vieil arbre. Mais un profond respect et beaucoup d’humilité face à ce témoin de l’Histoire.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/bulat-pestivien-22160/bulat-pestivien-le-chene-de-tronjoly-traverse-les-siecles-4416739
Au pied de mon arbre. À Bulat-Pestivien, ce chêne est l’un des plus vieux d’Europe. Il a inspiré de nombreuses légendes.
Il est toujours là, fier et debout. Majestueux arbre qui a traversé les siècles. À Bulat-Pestivien, le chêne de Tronjoly n’est pas tout jeune. Certains estiment son âge à 900 ans. D’autres vont jusqu’à 1 600 printemps. La vérité se situe sûrement entre les deux.
Une chose est sûre : il est l’un des plus anciens et des plus colossaux chênes d’Europe. Aujourd’hui, son tronc est scindé en deux : une partie saine, qui continue de produire des feuilles, une autre partie morte mais toujours présente. À une époque, l’arbre a eu un tronc d’une circonférence d’environ 13 mètres. Tout de même !
Le secret d’une telle longévité : son emplacement. Ses racines côtoyant en effet un petit ruisseau, affluent du Léguer.
Situé sur un domaine privé, mais accessible en respectant la tranquillité des lieux, le chêne de Tronjoly a également été choyé ces dernières années : pour aider ses longues branches à soutenir le poids des années, des étais ont été installés. Et l’arbre continue ainsi sa vie, qui semble infinie.
Un moine dans son tronc
Au fil des siècles, ce chêne si imposant a inspiré différentes légendes. Vers 1750, un moine ascète, du nom de Le Graët, en aurait même fait son ermitage et aurait établi une bibliothèque au creux de son tronc.
Vous aurez beau chercher, point d’anciens livres cachés dans le vieil arbre. Mais un profond respect et beaucoup d’humilité face à ce témoin de l’Histoire.
http://www.ouest-france.fr/bretagne/bulat-pestivien-22160/bulat-pestivien-le-chene-de-tronjoly-traverse-les-siecles-4416739
Re: Le Chêne de Tronjoly (Ar Ven Der, Bulat-Pestivien (22)
http://www.ouest-france.fr/le-mag/jardin/le-chene-de-tronjoly-temoin-des-temps-celtes-4439365
.........................................................................................................................................................................................................................
http://pierrecuny.canalblog.com/archives/2012/08/24/24959966.html
...........................................................................................................................................................................................................................
.........................................................................................................................................................................................................................
http://pierrecuny.canalblog.com/archives/2012/08/24/24959966.html
...........................................................................................................................................................................................................................
Re: Le Chêne de Tronjoly (Ar Ven Der, Bulat-Pestivien (22)
Bulat-Pestivien : une cure de jouvence pour le chêne millénaire de Tronjoly
C'est l'un des plus vieux chênes du monde, selon ses admirateurs ! Allons rêver au pied du chêne de Tronjoly, à Bulat-Pestivien...
06/05/2016 à 17:21 par llefur
On se devait de prendre des nouvelles de notre vieil ami de Bulat-Pestivien, le légendaire chêne de Tronjoly. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les lieux ont changé depuis nos dernières visites. La propriété (privée rappelons-le) sur lequel se trouve le chêne de Tronjoly a été rachetée il y a cinq ans et les lieux se sont métamorphosés depuis. Mais la volonté des nouveaux propriétaires a été de continuer à entretenir l’arbre du mieux possible et de permettre au public de venir l’admirer, comme par le passé, « tant que tout se passe bien et qu’il n’y a pas d’excès », insiste Fabrice Ringot, le technicien forestier qui bichonne sa majesté.
Propriété privée, mais visite autorisée
Les promeneurs sont donc toujours les bienvenus, mais de coquettes barrières en bois ont été installées sur le site pour délimiter l’espace de visite autorisé. A une dizaine de mètres de là, en amont, un périmètre a aussi été délimité pour permettre aux voitures de stationner. De quoi accueillir un petit flux régulier de visiteurs. « En période de vacances on compte entre cinq et dix visiteurs par jour. Il y a des gens qui viennent du monde entier pour le photographier », assure le technicien forestier, qui est régulièrement sur place, ou dans les massifs alentours, et garde toujours un oeil sur Tronjoly.
C’est lui qui a réaménagé les lieux pour sublimer l’arbre dans son nouvel environnement. La grande haie de sapins qui se trouvait jadis à côté a été abattue, par précaution et pour l’esthétique des lieux. « L’un des épicéas était tombé sur le chêne en décembre. On a tout coupé autour, ça apporte de la lumière et on a planté d’autres essences à proximité. » Des copeaux ont été déposés au pied du chêne millénaire, pour limiter la pousse des herbes et le piétinement. D’imposantes béquilles ont aussi été installées pour supporter le poids des plus grosses branches. « La portée est énorme et il fallait soulager l’arbre. Le poids était encore plus lourd à porter quand il y avait de la neige ou du vent », détaille Fabrice Ringot. Par contre, les bois morts restent volontairement en place, « on laisse l’arbre vivre sa vie, l’idée ce n’est pas de faire de l’acharnement thérapeutique ».
Mais le spécialiste nous rassure : « l’arbre est encore relativement en bonne santé », même si on constate que les années passent pour lui aussi. Son âge ? Entre 900 et 1200 ans quand même, d’après l’expert. Pas mal pour ce recordman qui pris la foudre selon certains, se serait ouvert sous son propre poids d’après d’autres. Peut-être aussi des bêtes allaient-elles se réfugier dans le tronc autrefois ? Est-ce plusieurs chênes collés les uns aux autres ? On raconte aussi qu’un moine, vers 1750, aurait établi sa bibliothèque au creux de son tronc… Les histoires et légendes ne manquent pas autour du chêne de Tronjoly !
http://www.lechodelargoat.fr/2016/05/08/bulat-pestivien-une-cure-de-jouvence-pour-le-chene-millenaire-de-tronjoly/
C'est l'un des plus vieux chênes du monde, selon ses admirateurs ! Allons rêver au pied du chêne de Tronjoly, à Bulat-Pestivien...
06/05/2016 à 17:21 par llefur
On se devait de prendre des nouvelles de notre vieil ami de Bulat-Pestivien, le légendaire chêne de Tronjoly. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les lieux ont changé depuis nos dernières visites. La propriété (privée rappelons-le) sur lequel se trouve le chêne de Tronjoly a été rachetée il y a cinq ans et les lieux se sont métamorphosés depuis. Mais la volonté des nouveaux propriétaires a été de continuer à entretenir l’arbre du mieux possible et de permettre au public de venir l’admirer, comme par le passé, « tant que tout se passe bien et qu’il n’y a pas d’excès », insiste Fabrice Ringot, le technicien forestier qui bichonne sa majesté.
Propriété privée, mais visite autorisée
Les promeneurs sont donc toujours les bienvenus, mais de coquettes barrières en bois ont été installées sur le site pour délimiter l’espace de visite autorisé. A une dizaine de mètres de là, en amont, un périmètre a aussi été délimité pour permettre aux voitures de stationner. De quoi accueillir un petit flux régulier de visiteurs. « En période de vacances on compte entre cinq et dix visiteurs par jour. Il y a des gens qui viennent du monde entier pour le photographier », assure le technicien forestier, qui est régulièrement sur place, ou dans les massifs alentours, et garde toujours un oeil sur Tronjoly.
Des béquilles pour supporter les branches
C’est lui qui a réaménagé les lieux pour sublimer l’arbre dans son nouvel environnement. La grande haie de sapins qui se trouvait jadis à côté a été abattue, par précaution et pour l’esthétique des lieux. « L’un des épicéas était tombé sur le chêne en décembre. On a tout coupé autour, ça apporte de la lumière et on a planté d’autres essences à proximité. » Des copeaux ont été déposés au pied du chêne millénaire, pour limiter la pousse des herbes et le piétinement. D’imposantes béquilles ont aussi été installées pour supporter le poids des plus grosses branches. « La portée est énorme et il fallait soulager l’arbre. Le poids était encore plus lourd à porter quand il y avait de la neige ou du vent », détaille Fabrice Ringot. Par contre, les bois morts restent volontairement en place, « on laisse l’arbre vivre sa vie, l’idée ce n’est pas de faire de l’acharnement thérapeutique ».
Mais le spécialiste nous rassure : « l’arbre est encore relativement en bonne santé », même si on constate que les années passent pour lui aussi. Son âge ? Entre 900 et 1200 ans quand même, d’après l’expert. Pas mal pour ce recordman qui pris la foudre selon certains, se serait ouvert sous son propre poids d’après d’autres. Peut-être aussi des bêtes allaient-elles se réfugier dans le tronc autrefois ? Est-ce plusieurs chênes collés les uns aux autres ? On raconte aussi qu’un moine, vers 1750, aurait établi sa bibliothèque au creux de son tronc… Les histoires et légendes ne manquent pas autour du chêne de Tronjoly !
http://www.lechodelargoat.fr/2016/05/08/bulat-pestivien-une-cure-de-jouvence-pour-le-chene-millenaire-de-tronjoly/
Sujets similaires
» Concoret : trop connu le chêne à Guillotin ?
» "La Maison d'accueil spécialisée (Mas) du Chêne vert a été inaugurée,
» PLOUHA Dix-sept nouveaux logements au Chêne-Vert
» Le gros chêne de la Chevasse, Saint-Sulpice-le-Verdon (Vendée)
» "La Maison d'accueil spécialisée (Mas) du Chêne vert a été inaugurée,
» PLOUHA Dix-sept nouveaux logements au Chêne-Vert
» Le gros chêne de la Chevasse, Saint-Sulpice-le-Verdon (Vendée)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum