Une salariée licenciée pour un statut malheureux sur Facebook
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Une salariée licenciée pour un statut malheureux sur Facebook
Une salariée licenciée pour un statut malheureux sur Facebook
Liberation.frPar Libération.fr | Liberation.fr – mer. 21 janv. 2015
avis personnel
( j'ai toujours pensé que "CHARLIE" était le droit à la liberté d'expression ,petit à petit l'effet retombe ....et la délation j'aime encore moins bien :evil: )
Une aide-documentaliste d’un établissement scolaire de l’agglomération de Vichy (Allier) a été licenciée à la suite de conversations tenues sur sa page Facebook, a révélé le quotidien la Montagne. En novembre, elle entend les propos désobligeants tenus par des enseignants lors d’un déjeuner au réfectoire. «Ils se moquaient des élèves, les traitaient de bulots. Il y avait des élèves dans la salle qui pouvaient écouter, ça allait trop loin», explique l’employée. Le soir même, elle se connecte sur Facebook et lance un coup de gueule : «J’ai mis comme statut : "Combien de profs dans l’Education nationale à être désabusés ?"Je ne m’attaquais pas à l’établissement ni n’insultais personne, je voulais juste ouvrir un débat», dit-elle. L’un de ses 3 000 contacts Facebook signale ses propos à l’établissement dans un mail courageusement anonyme. Elle est mise à pied quarante-huit heures plus tard, licenciée pour faute lourde. «J’ai été maladroite, mais la sanction est très forte», proteste-t-elle.
http://www.lepoint.fr/societe/richard-malka-l-esprit-de-charlie-c-est-le-droit-au-blaspheme-12-01-2015-1895767_23.php
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( j'ai toujours pensé que "CHARLIE" était le droit à la liberté d'expression ,petit à petit l'effet retombe ....et la délation j'aime encore moins bien :evil: )
Une aide-documentaliste d’un établissement scolaire de l’agglomération de Vichy (Allier) a été licenciée à la suite de conversations tenues sur sa page Facebook, a révélé le quotidien la Montagne. En novembre, elle entend les propos désobligeants tenus par des enseignants lors d’un déjeuner au réfectoire. «Ils se moquaient des élèves, les traitaient de bulots. Il y avait des élèves dans la salle qui pouvaient écouter, ça allait trop loin», explique l’employée. Le soir même, elle se connecte sur Facebook et lance un coup de gueule : «J’ai mis comme statut : "Combien de profs dans l’Education nationale à être désabusés ?"Je ne m’attaquais pas à l’établissement ni n’insultais personne, je voulais juste ouvrir un débat», dit-elle. L’un de ses 3 000 contacts Facebook signale ses propos à l’établissement dans un mail courageusement anonyme. Elle est mise à pied quarante-huit heures plus tard, licenciée pour faute lourde. «J’ai été maladroite, mais la sanction est très forte», proteste-t-elle.
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