Aujourd'hui, ça remue dans les rues !
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Aujourd'hui, ça remue dans les rues !
Activité fournie par des employés en échange d'un salaire, capital, facteur de production de l'économie, marché du travail, économie du travail, droit du travail, droit au travail,
le travail est-il toujours une valeur sûre ?
Pas sûr ...
Si l'on en croit les "experts" il serait même une valeur en voie de disparition.
Au XIIe siècle, le mot désigne déjà un tourment psychologique ou une souffrance physique (le travail d'accouchement) et même une torture !
Le christianisme le lit comme une conséquence du péché originel. Les règles édictées par saint Benoît destinées à régler la vie des moines bénédictins reposent sur trois piliers, dont une activité manuelle effectuée en commun, dénommée travail et destinée à la fois à œuvrer pour permettre la subsistance de la communauté, mais aussi pour expier le péché originel : "tu te nourriras du travail de tes mains".
L'expression « un travail de bénédictin » passée dans le vocabulaire commun, a pour signification « un labeur considérable » Toute la nature est elle-même "en travail", de la semence d'herbe aux insectes, pour régénérer, produire et maintenir de la vie, non du capital ...
Forcés de travailler alors ?
Le travail forcé comprend l'esclavage, les corvées, et les peines de travaux des prisonniers. Il est alors vécu comme une véritable aliénation.
Aujourd'hui, force est de constater que le travailleur doit produire toujours plus, alors que l'on baigne dans la surproduction d'objets superflus et que l'on consomme beaucoup trop d'énergie au détriment de l'équilibre écologique de la planète !
Plein de manifs un peu partout ce mardi, avec ici ou là un reste de cathos qui pourraient s'en remettre aussi au bon Saint Joseph, patron des travailleurs !
Mais si le travail est une conséquence du péché originel, il est sûrement meilleur de demander à en être totalement libéré, du moins au sens de contre-partie en deniers !
Vaste réflexion ! A chacun de voir !
Bon travail !
Une prière non exaucée ?
- Je n'ai rien reçu de ce que je voulais, j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.
- Regardez les oiseaux du ciel : ils ne font ni semailles ni moisson, ils ne font pas de réserves dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit.
Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Evangile Matthieu
le travail est-il toujours une valeur sûre ?
Pas sûr ...
Si l'on en croit les "experts" il serait même une valeur en voie de disparition.
Au XIIe siècle, le mot désigne déjà un tourment psychologique ou une souffrance physique (le travail d'accouchement) et même une torture !
Le christianisme le lit comme une conséquence du péché originel. Les règles édictées par saint Benoît destinées à régler la vie des moines bénédictins reposent sur trois piliers, dont une activité manuelle effectuée en commun, dénommée travail et destinée à la fois à œuvrer pour permettre la subsistance de la communauté, mais aussi pour expier le péché originel : "tu te nourriras du travail de tes mains".
L'expression « un travail de bénédictin » passée dans le vocabulaire commun, a pour signification « un labeur considérable » Toute la nature est elle-même "en travail", de la semence d'herbe aux insectes, pour régénérer, produire et maintenir de la vie, non du capital ...
Forcés de travailler alors ?
Le travail forcé comprend l'esclavage, les corvées, et les peines de travaux des prisonniers. Il est alors vécu comme une véritable aliénation.
Aujourd'hui, force est de constater que le travailleur doit produire toujours plus, alors que l'on baigne dans la surproduction d'objets superflus et que l'on consomme beaucoup trop d'énergie au détriment de l'équilibre écologique de la planète !
Plein de manifs un peu partout ce mardi, avec ici ou là un reste de cathos qui pourraient s'en remettre aussi au bon Saint Joseph, patron des travailleurs !
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