Stephen King, une "royale" imposture
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Stephen King, une "royale" imposture
Qui n'a pas lu au moins une fois dans sa vie un roman de Stephen King, le "maître de l'horreur et du fantastique" ? Ou vu un film tiré de ses romans ?
Qui est vraiment Stephen King et quel est son rôle en tant qu'écrivain ? Un nom obligatoire de Miles Mathis nous présente les fruits de sa recherche.
Par Donny JoelOsmont (17 août 2018)
Traduit par Apolline
Stephen King est un écrivain très prolifique. J'ai voulu savoir combien de livres il avait écrit et j'ai tapé sur Google, "combien de livres Stephen King a-t-il écrit ?" Eh bien, Google m'a donné une réponse : " 94, au moins". Qu'en dites-vous ? Même l'algorithme de recherche le plus sophistiqué au monde semble incapable de donner un décompte précis. Wikipédia dit qu'il a publié 58 romans et six œuvres non-romanesques, ainsi que plusieurs séries de nouvelles. Mais il fournit ensuite le récapitulatif suivant :
Romans : 59
Séries : 10
Œuvres non-romanesques : 5
Autres : 11
Ce qui donne 85, Wikipédia se contredit donc lui-même et, comme Google, semble tout aussi perdu et dépassé par l'ampleur des œuvres de King. Un article de janvier 2018 du blog Barnes and Noble, intitulé "Classement définitif de tous les romans de Stephen King à ce jour" recense 49 romans et mentionne son 50ème roman à venir en mai 2018 ("The Outsider"). Vous allez dire qu'ils n'ont pas tenu compte des 7 romans écrits sous le nom d'emprunt de Richard Bachman, mais cela ne ferait toujours que 57 et non 58 ou 59. Un article de EW.com de septembre 2017 en l'honneur du 70ème anniversaire de King mentionne la coïncidence des "70 livres publiés environ" par King. Pourquoi personne ne peut s'accorder sur le nombre de livres écrits par Stephen King ?
Pour simplifier, nous supposerons que le chiffre correct de livres est à peu près à mi-chemin entre les réponses de Google et celles de Wikipédia – disons, 90. King a écrit son premier roman publié, Carrie, en 1973, il y a 45 ans. Un calcul rapide fait dire que King a pondu un livre digne de publication tous les six mois pendant près d'un demi-siècle. Quel genre d'écrivain possède cette fécondité ? Beaucoup l'ont, direz-vous, il n'y a qu'à regarder cette liste d'écrivains prolifiques.
D'accord, mais examinons qui figure sur cette liste : Isaac Asimov, L. Ron Hubbard, Jacob Appel, Ursula Bloom, Charles Hamilton, Prentiss Ingraham, Kathleen Lindsay, Nora Roberts, R. L. Stine, Bertrand Russell, H.P. Lovecraft, et ainsi de suite. Vous avez remarqué ? Tous ces noms sont soit juifs ou ceux de familles renommées de la noblesse (crypto-juives). Plusieurs ont déjà été décryptés sur ce site (Asimov, Hubbard, Russell et Lovecraft). Je suggère que tous ces auteurs sont des agents du Renseignement dont les livres ont été composés à Langley par des comités d'écriture, King inclus.
Vous pourriez critiquer une supposition aussi radicale de ma part, mais nous savons déjà que la plupart des vrais écrivains ont été progressivement éliminés au cours du 20ème siècle et remplacés par des auteurs factices. Oui, Tolstoï, Dickens et Twain étaient prolifiques et probablement les descendants des familles gouvernantes (Twain l'était certainement), mais vous pourriez dire qu'ils ont écrit leur propre littérature et qu'ils avaient un réel talent.
Ils produisaient de l'art. Ils ne parlaient pas de jeunes filles dont les pouvoirs de télékinésie étaient libérés pendant leurs règles ou de couples dévorés par des crapauds carnivores, ou de clowns venant d'autres dimensions jaillissant des bouches d'égouts pour trancher les membres. Au début des années 1900, le Renseignement a commencé à faire tourner sa machine à chaos à plein régime, ce qui ne pouvait s'accomplir que grâce à une complète prise de contrôle de la littérature par les comités d'écriture de Langley, qui avait à la fois la main d’œuvre nécessaire et un manque total de scrupule à produire une propagande qui allait détruire ainsi l'art véritable à un rythme sans précédent.
Le comité de King ne peut s'empêcher de l'avouer au travers de sa propre rédaction. Car ils adorent parler d'eux-mêmes. Ils ne savent pas quoi écrire d'autre car ils ne sont pas en prise avec la réalité, ayant vécu si longtemps dans les réalités factices qu'ils ont créées. Je parle de deux récits de King, Misery et L'ordinateur des dieux [titre anglais :Word processor of the gods]. La plupart d'entre nous connaissons Misery. Un romancier est retenu captif par l'une de ses plus grandes admiratrices. Elle s'avère être une infirmière psychotique tueuse en série , qui va obliger l'écrivain à réécrire sous la torture son dernier roman parce qu'elle désapprouve sa décision de tuer le personnage principal.
Si vous pensez que la leçon n'est pas de compromettre votre vision artistique, vous avez tort. Une nouvelle version est pressentie comme devant être son plus grand bestseller. L'ordinateur des dieux est encore plus explicite. Publié dans Playboy en 1983, la nouvelle parle d'un écrivain d'âge moyen qui n'est pas satisfait de sa vie. Après la mort de son neveu dans un accident de voiture, il découvre dans les affaires de ce dernier un logiciel de traitement de texte qui peut modifier la réalité. Il "efface" son fils et sa femme et fait ensuite de sa belle-sœur sa nouvelle épouse, son neveu décédé devenant ainsi son fils (maintenant en vie).
Voyez-vous les indices ? C'est si évident que c'en est risible. Les écrivains du comité sont les "dieux" qui non seulement écrivent les histoires, mais aussi celles des auteurs qui leur servent de couverture. Stephen King est tout aussi fictif que les personnages de ses romans. Il n'est pas surprenant que l'expansion de la métafiction se produise parallèlement à la prise de contrôle massive de la littérature par le Renseignement.
Voyez par exemple le Typewriter in the sky de L. Ron Hubbard, où le protagoniste se retrouve dans l'histoire du livre de son ami, ou un épisode de The Twilight Zone, "A World of his Own", où une machine à dicter donne vie aux choses, ou le film de 2006, Stranger than Fiction [en français, "L'incroyable destin de Harold Crick"]. Ils n'ont aucune autre réalité à décrire en dehors de leur propre expérience de fabrication de la réalité. Avec les mêmes familles qui renforcent maintenant rapidement leur contrôle sur tous les aspects de la vie moderne, leurs (nos) culture et art sont devenus totalement auto-référents. Nous assistons aujourd'hui à la chute de la littérature dans son propre vide.
Vous faut-il d'autres preuves que le style "King" n'est autre que l’œuvre d'un comité d'écriture ? King nous dit qu'en devenant célèbre, il a dépensé son argent en alcool et en drogues et qu'il en est rapidement devenu dépendant, au point de déclarer qu'il ne se souvient même pas comment il a écrit certains livres ! Il est bien sûr difficile de se souvenir de livres qu'on n'a pas écrit. Et si un livre tous les six mois est déjà peu crédible, ça l'est encore moins quand on a une addiction aux drogues et à l'alcool.
Mon petit préambule terminé, nous pouvons maintenant passer au travail de généalogie, qui constitue l'essentiel de cet article. Si cela vous ennuie, faites votre propre recherche, ce qui est bien plus amusant. J'ai assurément laissé de côté quelques branches de l'arbre généalogique de la famille King, et rien ne vous empêche de compléter ma recherche par la vôtre. Je vais essayer en tout cas de rendre ce travail généalogique le moins fastidieux possible. Je pense que vous serez surpris par ce que j'ai découvert.
Pour les non-initiés, je vais employer la méthodologie "mathisienne" [à la Miles Mathis, vous l'aurez compris]. C'est à dire que je vais chercher des liens entre King et les "Familles". Dès que vous pouvez relier des personnes à ces Familles, vous pouvez supposer que toute organisation, événement ou art pour lesquels elle sont connues constitue un "projet" à un niveau ou un autre. Ces Familles, qui contrôlent la structure du pouvoir mondial depuis des siècles (millénaires?) grâce aux quatre leviers que sont la banque, l'industrie, la politique et la culture, sont juives ou crypto-juives et elles dissimulent leur rattachement aux Familles en manipulant, expurgeant et révisant constamment l'histoire et la généalogie. Mais comme tous ceux qui pratiquent le crime impunément, elles s'en vantent et dévoilent de temps à autre leur jeu, peut-être parce que cela les amuse de voir à quel point les masses sont aveugles. Elles sont aussi connues pour se démasquer mutuellement dans le cadre de conflits internes comme il s'en produit dans toute famille. Pour cette raison, les gens ordinaires peuvent en découvrir beaucoup sur ces Familles et leurs projets avec juste une connexion internet et un cerveau qui fonctionne.
Équipés de la méthodologie "mathisienne", il est aisé de révéler qu'un auteur célèbre comme Stephen King appartient à ces Familles cachées. N'importe quel lecteur ici pourrait faire le boulot aussi bien. Mais la tâche m'a échu et j'ai l'honneur de soulever le voile de notre cher ami M. King. Je vais juste vous dire comment j'ai procédé. Sachant que son nom est King et qu'il est originaire du Maine, je me suis naturellement posé la question s'il venait des célèbres King du Maine.
Richard King était un riche marchand et spéculateur terrien et son fils William (ci-dessus) devint le premier gouverneur du Maine. Il y a un autre Richard King, fondateur du ranch King au Texas, que Miles a déjà démasqué. Ce Richard King était un grand négociant en coton et nos King du Maine inaugurèrent la première égreneuse à coton. On peut supposer qu'ils avaient un lien étroit de parenté. Le grand-père de William s'appelait John Fennel King et c'est à ce stade sur geni.com qu'Érica Howton, la "déconnecteuse" prend le contrôle, nous pouvons donc supposer qu'il se trame quelque chose. Le père de John, un John aussi, est né en 1670 à Salem, Massachusetts, il aurait donc eu 22 ans au début du procès des sorcières de Salem. C'est un énorme signal d'alarme, car il semble que toute la ville de Salem a participé à ce canular. La mère de John, Tabitha Walker, nous fait le lien avec tous les célèbres Walker, George Herbert Walker Bush compris. Ces King sont originaires de King Langley, un village du Hertfordshire en Angleterre. Et oui, la ville de Langley en Virginie a été nommée d'après ce village, les deux appartenant à la renommée famille Lee d'Angleterre et d'Amérique. Langley, comme vous le savez, est le siège des quartiers généraux de la CIA, le centre George [Herbert] Walker Bush des renseignements généraux. Le Langley de l'Hertfordshire fut autrefois le site du King Langley Palace, palais des rois Plantagenêt. [qui régnèrent dans la province du Maine et de l'Anjou]. Langley fut plus tard attribué aux Russell, ducs de Bedford. Bedford n'arrête pas de revenir dans les récents articles de Miles.
Nous avons déjà trois liens pour Stephen King. Premièrement, le prénom de sa femme est Tabitha, comme Tabitha Walker King. Ce qui peut sembler pour l'instant un lien ténu, mais ce ne sera pas le cas à la fin de cet article. Deuxièmement, de nombreux récits de Stephen King se situent dans la ville fictive de Jerusalem's Lot, ou la mentionnent, dans le Maine, raccourci en Salem's Lot. De nouveau, cela apparaît comme un lien ténu maintenant mais qui se confirmera plus tard. Enfin, comme nous l'avons découvert, Stephen King a des liens familiaux avec les Russell.
Mais je n'ai pas encore établi que Stephen King descend réellement de ces King, n'est-ce pas ? Hélas, vous comprendrez mon désarroi quand j'ai découvert que Stephen King n'est pas du tout un King. C'est un Pollock. Pourquoi ne fais-je que parler des King, alors ? Quelle perte de temps, direz-vous ! Pas du tout. Il s'avère que Stephen est en fait relié à ces King, même si ce n'est pas comme vous le pensez. Vous en saurez plus dans un moment.
Le nom de naissance du père de Stephen était Donald Pollock, mais il en a changé à l'âge adulte pour prendre celui de King. La raison de ce changement n'est jamais donnée. Mais je peux le faire. C'est pour cacher le fait qu'il était juif, car Pollock est un nom juif courant [voyez par exemple le célèbre peintre bidon Jackson Pollock, qui admet être juif]. On ne nous a jamais dit qu'il avait changé de nom légalement. Wikipédia nous dit seulement qu'il "a utilisé le nom de King" à l'âge adulte. C'est encore plus suspect. Couplé au fait que Donald Pollock "King" appartenait à la marine marchande, nous commençons à déceler la marque du Renseignement. La marine marchande est un auxiliaire de la Navy et en temps de guerre, elle est considérée comme du personnel militaire. De nombreux officiers du Renseignement de la marine ont opéré sous couvert de la marine marchande pour camoufler leurs liens avec le Renseignement, ceux en particulier qui devinrent plus tard auteurs : Jack London, Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Herman Melville et Mark Twain faisaient tous partie de la marine marchande. L'inexplicable changement de nom de Donald fournit une forte preuve que le père de Stephen King appartenait au Renseignement de la Navy. En fait, nous trouvons que Wikipédia reste évasif à propos des liens de Donald avec la Navy, car sa nécrologie déclare clairement qu'il était officier de la Navy, et faisait partie de la marine marchande.
Étudions sa nécrologie d'un peu plus près. Remarquez-vous quelque chose ? Elle répertorie trois fils et une fille, dont aucun n'est Stephen. On dira que c'est parce qu'il s'était séparé de sa famille d'origine, d'où l'absence de Stephen [né d'un premier mariage]. Mais il est mort en 1980, à l'époque où Stephen était déjà une star, ayant écrit la plupart de ses romans emblématiques, comme Carrie, Rage, The Shining [Shining, l'enfant lumière] et The Stand [Le fléau]. N'êtes-vous pas d'avis que la notice nécrologique de Donald devrait le mentionner comme le père de Stephen King ? Elle cite aussi son épouse (la belle-mère de Stephen) comme étant Mayard Costa, mais sur geni.com, elle s'appelle Helen Costa et sa généalogie est totalement expurgée. Le père de Donald figure comme William David Pollock, mais est donné comme William E. Pollock sur geni.com. Nous pouvons d'ores et déjà dire que les racines familiales de Stephen sont trafiquées.
Qui est vraiment Stephen King et quel est son rôle en tant qu'écrivain ? Un nom obligatoire de Miles Mathis nous présente les fruits de sa recherche.
Par Donny JoelOsmont (17 août 2018)
Traduit par Apolline
Stephen King est un écrivain très prolifique. J'ai voulu savoir combien de livres il avait écrit et j'ai tapé sur Google, "combien de livres Stephen King a-t-il écrit ?" Eh bien, Google m'a donné une réponse : " 94, au moins". Qu'en dites-vous ? Même l'algorithme de recherche le plus sophistiqué au monde semble incapable de donner un décompte précis. Wikipédia dit qu'il a publié 58 romans et six œuvres non-romanesques, ainsi que plusieurs séries de nouvelles. Mais il fournit ensuite le récapitulatif suivant :
Romans : 59
Séries : 10
Œuvres non-romanesques : 5
Autres : 11
Ce qui donne 85, Wikipédia se contredit donc lui-même et, comme Google, semble tout aussi perdu et dépassé par l'ampleur des œuvres de King. Un article de janvier 2018 du blog Barnes and Noble, intitulé "Classement définitif de tous les romans de Stephen King à ce jour" recense 49 romans et mentionne son 50ème roman à venir en mai 2018 ("The Outsider"). Vous allez dire qu'ils n'ont pas tenu compte des 7 romans écrits sous le nom d'emprunt de Richard Bachman, mais cela ne ferait toujours que 57 et non 58 ou 59. Un article de EW.com de septembre 2017 en l'honneur du 70ème anniversaire de King mentionne la coïncidence des "70 livres publiés environ" par King. Pourquoi personne ne peut s'accorder sur le nombre de livres écrits par Stephen King ?
Pour simplifier, nous supposerons que le chiffre correct de livres est à peu près à mi-chemin entre les réponses de Google et celles de Wikipédia – disons, 90. King a écrit son premier roman publié, Carrie, en 1973, il y a 45 ans. Un calcul rapide fait dire que King a pondu un livre digne de publication tous les six mois pendant près d'un demi-siècle. Quel genre d'écrivain possède cette fécondité ? Beaucoup l'ont, direz-vous, il n'y a qu'à regarder cette liste d'écrivains prolifiques.
D'accord, mais examinons qui figure sur cette liste : Isaac Asimov, L. Ron Hubbard, Jacob Appel, Ursula Bloom, Charles Hamilton, Prentiss Ingraham, Kathleen Lindsay, Nora Roberts, R. L. Stine, Bertrand Russell, H.P. Lovecraft, et ainsi de suite. Vous avez remarqué ? Tous ces noms sont soit juifs ou ceux de familles renommées de la noblesse (crypto-juives). Plusieurs ont déjà été décryptés sur ce site (Asimov, Hubbard, Russell et Lovecraft). Je suggère que tous ces auteurs sont des agents du Renseignement dont les livres ont été composés à Langley par des comités d'écriture, King inclus.
Vous pourriez critiquer une supposition aussi radicale de ma part, mais nous savons déjà que la plupart des vrais écrivains ont été progressivement éliminés au cours du 20ème siècle et remplacés par des auteurs factices. Oui, Tolstoï, Dickens et Twain étaient prolifiques et probablement les descendants des familles gouvernantes (Twain l'était certainement), mais vous pourriez dire qu'ils ont écrit leur propre littérature et qu'ils avaient un réel talent.
Ils produisaient de l'art. Ils ne parlaient pas de jeunes filles dont les pouvoirs de télékinésie étaient libérés pendant leurs règles ou de couples dévorés par des crapauds carnivores, ou de clowns venant d'autres dimensions jaillissant des bouches d'égouts pour trancher les membres. Au début des années 1900, le Renseignement a commencé à faire tourner sa machine à chaos à plein régime, ce qui ne pouvait s'accomplir que grâce à une complète prise de contrôle de la littérature par les comités d'écriture de Langley, qui avait à la fois la main d’œuvre nécessaire et un manque total de scrupule à produire une propagande qui allait détruire ainsi l'art véritable à un rythme sans précédent.
Le comité de King ne peut s'empêcher de l'avouer au travers de sa propre rédaction. Car ils adorent parler d'eux-mêmes. Ils ne savent pas quoi écrire d'autre car ils ne sont pas en prise avec la réalité, ayant vécu si longtemps dans les réalités factices qu'ils ont créées. Je parle de deux récits de King, Misery et L'ordinateur des dieux [titre anglais :Word processor of the gods]. La plupart d'entre nous connaissons Misery. Un romancier est retenu captif par l'une de ses plus grandes admiratrices. Elle s'avère être une infirmière psychotique tueuse en série , qui va obliger l'écrivain à réécrire sous la torture son dernier roman parce qu'elle désapprouve sa décision de tuer le personnage principal.
Si vous pensez que la leçon n'est pas de compromettre votre vision artistique, vous avez tort. Une nouvelle version est pressentie comme devant être son plus grand bestseller. L'ordinateur des dieux est encore plus explicite. Publié dans Playboy en 1983, la nouvelle parle d'un écrivain d'âge moyen qui n'est pas satisfait de sa vie. Après la mort de son neveu dans un accident de voiture, il découvre dans les affaires de ce dernier un logiciel de traitement de texte qui peut modifier la réalité. Il "efface" son fils et sa femme et fait ensuite de sa belle-sœur sa nouvelle épouse, son neveu décédé devenant ainsi son fils (maintenant en vie).
Voyez-vous les indices ? C'est si évident que c'en est risible. Les écrivains du comité sont les "dieux" qui non seulement écrivent les histoires, mais aussi celles des auteurs qui leur servent de couverture. Stephen King est tout aussi fictif que les personnages de ses romans. Il n'est pas surprenant que l'expansion de la métafiction se produise parallèlement à la prise de contrôle massive de la littérature par le Renseignement.
Voyez par exemple le Typewriter in the sky de L. Ron Hubbard, où le protagoniste se retrouve dans l'histoire du livre de son ami, ou un épisode de The Twilight Zone, "A World of his Own", où une machine à dicter donne vie aux choses, ou le film de 2006, Stranger than Fiction [en français, "L'incroyable destin de Harold Crick"]. Ils n'ont aucune autre réalité à décrire en dehors de leur propre expérience de fabrication de la réalité. Avec les mêmes familles qui renforcent maintenant rapidement leur contrôle sur tous les aspects de la vie moderne, leurs (nos) culture et art sont devenus totalement auto-référents. Nous assistons aujourd'hui à la chute de la littérature dans son propre vide.
Vous faut-il d'autres preuves que le style "King" n'est autre que l’œuvre d'un comité d'écriture ? King nous dit qu'en devenant célèbre, il a dépensé son argent en alcool et en drogues et qu'il en est rapidement devenu dépendant, au point de déclarer qu'il ne se souvient même pas comment il a écrit certains livres ! Il est bien sûr difficile de se souvenir de livres qu'on n'a pas écrit. Et si un livre tous les six mois est déjà peu crédible, ça l'est encore moins quand on a une addiction aux drogues et à l'alcool.
Mon petit préambule terminé, nous pouvons maintenant passer au travail de généalogie, qui constitue l'essentiel de cet article. Si cela vous ennuie, faites votre propre recherche, ce qui est bien plus amusant. J'ai assurément laissé de côté quelques branches de l'arbre généalogique de la famille King, et rien ne vous empêche de compléter ma recherche par la vôtre. Je vais essayer en tout cas de rendre ce travail généalogique le moins fastidieux possible. Je pense que vous serez surpris par ce que j'ai découvert.
Pour les non-initiés, je vais employer la méthodologie "mathisienne" [à la Miles Mathis, vous l'aurez compris]. C'est à dire que je vais chercher des liens entre King et les "Familles". Dès que vous pouvez relier des personnes à ces Familles, vous pouvez supposer que toute organisation, événement ou art pour lesquels elle sont connues constitue un "projet" à un niveau ou un autre. Ces Familles, qui contrôlent la structure du pouvoir mondial depuis des siècles (millénaires?) grâce aux quatre leviers que sont la banque, l'industrie, la politique et la culture, sont juives ou crypto-juives et elles dissimulent leur rattachement aux Familles en manipulant, expurgeant et révisant constamment l'histoire et la généalogie. Mais comme tous ceux qui pratiquent le crime impunément, elles s'en vantent et dévoilent de temps à autre leur jeu, peut-être parce que cela les amuse de voir à quel point les masses sont aveugles. Elles sont aussi connues pour se démasquer mutuellement dans le cadre de conflits internes comme il s'en produit dans toute famille. Pour cette raison, les gens ordinaires peuvent en découvrir beaucoup sur ces Familles et leurs projets avec juste une connexion internet et un cerveau qui fonctionne.
Équipés de la méthodologie "mathisienne", il est aisé de révéler qu'un auteur célèbre comme Stephen King appartient à ces Familles cachées. N'importe quel lecteur ici pourrait faire le boulot aussi bien. Mais la tâche m'a échu et j'ai l'honneur de soulever le voile de notre cher ami M. King. Je vais juste vous dire comment j'ai procédé. Sachant que son nom est King et qu'il est originaire du Maine, je me suis naturellement posé la question s'il venait des célèbres King du Maine.
Richard King était un riche marchand et spéculateur terrien et son fils William (ci-dessus) devint le premier gouverneur du Maine. Il y a un autre Richard King, fondateur du ranch King au Texas, que Miles a déjà démasqué. Ce Richard King était un grand négociant en coton et nos King du Maine inaugurèrent la première égreneuse à coton. On peut supposer qu'ils avaient un lien étroit de parenté. Le grand-père de William s'appelait John Fennel King et c'est à ce stade sur geni.com qu'Érica Howton, la "déconnecteuse" prend le contrôle, nous pouvons donc supposer qu'il se trame quelque chose. Le père de John, un John aussi, est né en 1670 à Salem, Massachusetts, il aurait donc eu 22 ans au début du procès des sorcières de Salem. C'est un énorme signal d'alarme, car il semble que toute la ville de Salem a participé à ce canular. La mère de John, Tabitha Walker, nous fait le lien avec tous les célèbres Walker, George Herbert Walker Bush compris. Ces King sont originaires de King Langley, un village du Hertfordshire en Angleterre. Et oui, la ville de Langley en Virginie a été nommée d'après ce village, les deux appartenant à la renommée famille Lee d'Angleterre et d'Amérique. Langley, comme vous le savez, est le siège des quartiers généraux de la CIA, le centre George [Herbert] Walker Bush des renseignements généraux. Le Langley de l'Hertfordshire fut autrefois le site du King Langley Palace, palais des rois Plantagenêt. [qui régnèrent dans la province du Maine et de l'Anjou]. Langley fut plus tard attribué aux Russell, ducs de Bedford. Bedford n'arrête pas de revenir dans les récents articles de Miles.
Nous avons déjà trois liens pour Stephen King. Premièrement, le prénom de sa femme est Tabitha, comme Tabitha Walker King. Ce qui peut sembler pour l'instant un lien ténu, mais ce ne sera pas le cas à la fin de cet article. Deuxièmement, de nombreux récits de Stephen King se situent dans la ville fictive de Jerusalem's Lot, ou la mentionnent, dans le Maine, raccourci en Salem's Lot. De nouveau, cela apparaît comme un lien ténu maintenant mais qui se confirmera plus tard. Enfin, comme nous l'avons découvert, Stephen King a des liens familiaux avec les Russell.
Mais je n'ai pas encore établi que Stephen King descend réellement de ces King, n'est-ce pas ? Hélas, vous comprendrez mon désarroi quand j'ai découvert que Stephen King n'est pas du tout un King. C'est un Pollock. Pourquoi ne fais-je que parler des King, alors ? Quelle perte de temps, direz-vous ! Pas du tout. Il s'avère que Stephen est en fait relié à ces King, même si ce n'est pas comme vous le pensez. Vous en saurez plus dans un moment.
Le nom de naissance du père de Stephen était Donald Pollock, mais il en a changé à l'âge adulte pour prendre celui de King. La raison de ce changement n'est jamais donnée. Mais je peux le faire. C'est pour cacher le fait qu'il était juif, car Pollock est un nom juif courant [voyez par exemple le célèbre peintre bidon Jackson Pollock, qui admet être juif]. On ne nous a jamais dit qu'il avait changé de nom légalement. Wikipédia nous dit seulement qu'il "a utilisé le nom de King" à l'âge adulte. C'est encore plus suspect. Couplé au fait que Donald Pollock "King" appartenait à la marine marchande, nous commençons à déceler la marque du Renseignement. La marine marchande est un auxiliaire de la Navy et en temps de guerre, elle est considérée comme du personnel militaire. De nombreux officiers du Renseignement de la marine ont opéré sous couvert de la marine marchande pour camoufler leurs liens avec le Renseignement, ceux en particulier qui devinrent plus tard auteurs : Jack London, Jack Kerouac, Allen Ginsberg, Herman Melville et Mark Twain faisaient tous partie de la marine marchande. L'inexplicable changement de nom de Donald fournit une forte preuve que le père de Stephen King appartenait au Renseignement de la Navy. En fait, nous trouvons que Wikipédia reste évasif à propos des liens de Donald avec la Navy, car sa nécrologie déclare clairement qu'il était officier de la Navy, et faisait partie de la marine marchande.
Étudions sa nécrologie d'un peu plus près. Remarquez-vous quelque chose ? Elle répertorie trois fils et une fille, dont aucun n'est Stephen. On dira que c'est parce qu'il s'était séparé de sa famille d'origine, d'où l'absence de Stephen [né d'un premier mariage]. Mais il est mort en 1980, à l'époque où Stephen était déjà une star, ayant écrit la plupart de ses romans emblématiques, comme Carrie, Rage, The Shining [Shining, l'enfant lumière] et The Stand [Le fléau]. N'êtes-vous pas d'avis que la notice nécrologique de Donald devrait le mentionner comme le père de Stephen King ? Elle cite aussi son épouse (la belle-mère de Stephen) comme étant Mayard Costa, mais sur geni.com, elle s'appelle Helen Costa et sa généalogie est totalement expurgée. Le père de Donald figure comme William David Pollock, mais est donné comme William E. Pollock sur geni.com. Nous pouvons d'ores et déjà dire que les racines familiales de Stephen sont trafiquées.
Re: Stephen King, une "royale" imposture
Si vous êtes intéressés par la numérologie, notez les dates de Donald. Il est né un 11 mars (3 x 11 = 33) et est mort à l'âge de 66 ans (33 + 33). Regardez la photographie de Donald Pollock postée sur geni.com:
Il fait vraiment penser à un "barbouze" avec sa moustache et ses lunettes. Et la photo elle-même semble un portrait officiel du gouvernement à en juger par ce qui est imprimé dans l'angle inférieur gauche. Mais il ne semble pas porter d'uniforme. Voici une photo soit de son premier mariage avec la mère de Stephen ou de son deuxième mariage avec la belle-mère de Stephen :
On peut dire d'entrée que cette photo a été fortement retouchée. Certaines parties sont extrêmement floues alors que d'autres sont anormalement nettes (en particulier son bras droit).
Ce site fournit un bon survol historique du nom Pollock. Le nom Polk dérive de Pollock. Par exemple, l'arrière-arrière grand-père du président James Polk était Robert Pollock, qui quitta l’Écosse pour les colonies d'Amérique. Les Pollock – ou du moins une lignée – sont donc l'une des Familles crypto-juives qui émigra vers les US via l'Écosse. Il est dit que ces Pollock n'étaient pas juifs et que plus tard les familles juives de Pologne portaient aussi le nom de Pollock, mais c'est une diversion. Je pense que ces Juifs polonais arrivèrent d’Écosse bien avant. Le Pollock écossais le plus anciennement connu est Petrus de Pollock, dont le père, Fulbert, était un Normand qui travaillait pour Walter FitzAlan, Grand Intendant d’Écosse. Lisez When Scotland was jewish [quand l'Écosse était juive], qui retrace une importante migration de Juifs en Écosse à peu près à cette période. Aucune explication ne figure pour cette dénomination "de Pollock", pas plus que des informations sur sa mère. Je suppose qu'elle était juive polonaise, originaire d'une famille de marchands fortunés. Nous trouvons ainsi que les derniers Pollock d'Irlande devinrent "connus dans le commerce du tissu". En d'autres mots, ils étaient juifs. Nous savons aussi que Petrus était chevalier aux Croisades. Comme nous avons appris ce qu'étaient réellement les Croisades, nous pouvons émettre d'indéniables hypothèses sur les Pollock d’Écosse. Alors, quand ethnicelebs.com dit que Stephen King est en partie écossais, ils ne mentent pas. Mais ils ne disent pas l'entière vérité non plus.
Nous décelons d'autres signaux d'alarme quand nous retraçons l'émigration des Pollock d'Écosse/Irlande vers l'Amérique.
Une tradition familiale dit que John Pollock a enlevé la belle-fille de Lord Russell pour l'épouser et qu'ils se sont enfuis en Irlande du Nord où ils vécurent trente ans avant de partir en 1800 pour l'Amérique et s'installer dans l'Ohio…
On retrouve des ancêtres Pollock de King en Ohio à cette époque-là. John Pollock est né en Ohio en 1828. Sa mère était Mary Stanley, dont la généalogie est totalement expurgée. Il semble que les Stanley ressortent dans presque tous les articles de Miles, indiquant qu'ils étaient (et sont) l'une des familles les plus renommées parmi les Familles. L'intéressant ici, c'est que les Stanley, ducs de Derby, possédaient d'immenses terres dans le Lancashire. Et où donc émigrèrent les Pollock écossais/irlandais ?
Au 19ème siècle, d'autres Pollock prirent le chemin du Lancashire et de son industrie.
Le fait que la lignée Pollock des King s'achève dans l'Ohio dans les années 1800 avec un mariage Pollock-Stanley n'est pas une coïncidence. Les deux familles sont passées par le Lancashire, fait qu'ils tentent d'obscurcir. Miles a déjà établi que les ducs de Stanley étaient à l'origine d'une invasion juive de l'Angleterre par l'île de Man et Anglesey.
Comme nous sommes sur le sujet du Lancashire/île de Man/Anglesey, vous devriez savoir que la ville proche d'Anglesey s'appelle Bangor et que le nom du lieu de résidence de Stephen King dans le Maine provient de là.
Notez qu'un John Pollock aurait épousé la belle-fille de Lord Russell. On parle ici de William Russell, des ducs de Bedford, que nous avons déjà rencontré dans cet article. Il fut le premier agent de son époque, ayant été élu au Parlement pour l'arrondissement de Tavistock, siège traditionnellement détenu par un membre de sa famille. L'Institut Tavistock actuel remonte pour sa fondation et son nom à Tavistock Square, qui constituait une partie du domaine Bedford, propriété des Russell. La circonscription Tavistock du parlement britannique est depuis longtemps un nid d'espions, remontant aux années 1300.
(…) Je soupçonne que la date de naissance officielle de Stephen King est un clin d’œil à ses liens familiaux avec Tavistock. King serait né le 21 septembre 1947. L'Institut Tavistock a été fondé un jour avant, le 20 septembre 1947. Sans parler de la CIA fondée trois jours avant, le 18 septembre. La signification est claire : King et toute son écriture sont des œuvres de fiction au sens ultime. Ils sont des créations du Renseignement.
On a un autre Pollock notable, Oliver, co-financeur de la guerre d'indépendance et à qui on devrait la création du symbole du dollar américain ($). Wikipédia nous dit qu'il a commencé sa carrière en tant que marchand, faisant du commerce de port en port dans les Indes occidentales, son siège social étant à La Havane, Cuba. Au moment de l'entrée en guerre, "Pollock était devenu très riche et possédait une importante influence politique". Il prêta 300.000 pesos espagnols au gouvernement américain, ce qui correspond à 1 milliard de dollars US d'aujourd'hui. Si vous pensez qu'il a amassé cette fortune à partir de rien ou qu'il a fait faillite plus tard et est mort dans l'obscurité (ce qu'on nous dit), vous êtes un imbécile. Il venait d'une famille crypto-juive déjà riche qui s'enrichit davantage avec le commerce. Stephen King est probablement un parent d'Oliver Pollock. Le dernier Pollock parmi les ancêtres King est James Pollock, mari de Mary Stanley sus-mentionnée. James est né en 1782 en Pennsylvanie. Oliver s'installa en 1760 dans le comté de Cumberland en Pennsylvanie, à l'âge de 23 ans. Il aurait eu 45 ans à la naissance de James et il était probablement un oncle ou un cousin de James.
La mère de Stephen King, Nellie Ruth Pillsbury, est née le 13 mars 1913. Son père s'appelait Guy Herbert Pillsbury et son grand-père Howard Leavitt Pillsbury. Notez Leavitt, qui est juif. Pillsbury nous rappelle la société Pillsbury, qui appartient aujourd'hui à General Mills, fondée en 1872 par Charles Pillsbury et son oncle John Sargent Pillsbury, huitième gouverneur du Minnesota. Ce deuxième nom est important, car il nous relie au procès des sorcières de Salem. L'une des accusées et exécutées (pas réellement) se nommait Susannah Martin, l'une des seules victimes qui n'était pas de Salem (elle était de Salisbury). Il s'avère qu'elle a été accusée de sorcellerie deux fois avant le canular de Salem, la première par William Sargent Jr, qui a prétendu avoir été témoin de l'accouchement de Susannah et du meurtre de son bébé illégitime ensuite. Cette histoire est aussi absurde que le procès. En quelle circonstance Sargent aurait-il vu Susannah accoucher ? S'il était là, pourquoi n'aurait-il pas empêché le meurtre ? Comment savait-il que le bébé était illégitime ? Pourquoi l'a-t-il accusée d'infanticide plus tard, mais pas de sorcellerie ? Aucun de ces détails n'est expliqué, parce qu'ils sont inexplicables. Il semble que Sargent faisait partie de la phase préparatoire du projet ou peut-être qu'il a participé à une précédente tentative du même projet qui a échoué et été annulé, car personne n'y a cru à Salisbury. Je suppose qu'ils ont plié bagages et pris la route de Salem, où ils eurent plus de succès.
Existe-t-il un lien entre ce Sargent et le fondateur de la société Pillsbury ? Gagné. John Sargent Pillsbury était un petit-fils quatre générations en arrière de William Hence Sargent Jr. Ce qui veut dire que Stephen King a des liens familiaux avec le procès de Salem par les Pillsbury. Il a un autre lien. L'une des grand-tantes distantes de King est une Martin. Il a donc une parenté aussi bien du côté de l'accusée que de l'accusateur.
Martin est également le lien nécessaire entre Stephen King et les baronnets Pollock que Miles a étudiés ailleurs. France, la plus jeune sœur du premier baronnet, Sir Frederick Pollock, a épousé Samuel Martin.
Par la lignée Pillsbury, l'arrière-arrière grand-mère de King était Rebecca (Grant) Robinson. Les Grant nous relient au président Ulysse S. Grant [18ème président des US] et nous avons rencontré des Robinson plusieurs fois auparavant. Son oncle était le capitaine Wentworth Stuart, neveu d'une Mary Walker et de Sarah Austin. La lignée Grant a fait aussi alliance avec les Bradstreet et les Farnham. En remontant la lignée Grant, nous trouvons des Gould et des Stone, noms juifs. Nous trouvons aussi une autre Martin – Mary Martin qui a quitté dans les années 1600 Kittery (Maine) pour Amesbury, Massachusetts, qui se trouve juste à côté de Salisbury, où résidait Susannah Martin du canular de Salem. L'arbre généalogique de la famille de Mary du côté Martin est complètement expurgé mais nous pouvons supposer qu'elle était une parente proche de Susannah. Vous comprenez maintenant pourquoi la ville fictive 'Salem's Lot' ne constitue pas un lien si ténu après tout. King a en fait de nombreux liens avec la vraie Salem.
Passons à l'épouse de Stephen, Tabitha. La première chose qu'on remarque dans sa généalogie est que son père est étiqueté "privé", même si nous savons par Wikipédia qu'il s'appelait Raymond George Spruce. C'est tout ce qu'on a. Que se cache-t-il derrière ? Cette Tabitha est entre autres apparentée à Marcel Proust. Saviez-vous que Proust était juif ? Sa mère était une Weil, reliée aux Cohen, Meyer, Lévy et Oppenheim.
(…) La branche maternelle de Tabitha est curieusement très bien documentée. C'est là que les King du Maine font leur retour sur scène parce que – surprise, surprise – Tabitha est une descendante directe de ces King ! Souvenez-vous, j'ai dit que Stephen était vraiment un King, mais pas de la manière dont vous le penseriez. C'est parce que sa femme est en fait une King. Ce qui expliquerait son premier prénom puisqu'on l'a nommée d'après son ancêtre Tabitha Walker King. Ce qui devrait vous surprendre, c'est cette étonnante coïncidence du père de Stephen changeant de manière inattendue son nom pour King et de son fils épousant une descendante des fameux King du Maine. J'admets que je ne sais pas comment l'interpréter mais je suis sûr que ce n'est pas une coïncidence. [Miles : ils sont probablement cousins, comme d'habitude. En d'autres mots, ce sont tous deux des King.]
(…) La grand-tante de Tabitha était Laura Gould, nom juif que nous avons vu aussi dans les ancêtres de Stephen. Dans l'arbre de Tabitha, nous trouvons aussi des noms comme Watson, Gray, Clark, Staples, Parrson, Wallace, Graham, Hill, Russell, Gordon, Springer (nom juif courant) et Webster. Ce dernier nom nous ramène encore une fois à Salem et à Mary Webster "à moitié pendue". Les Webster de la lignée de Tabitha vivaient dans le comté d'Essex à l'époque des procès de sorcellerie et faisaient partie de la même célèbre famille Webster.
Revenons à la généalogie de Stephen, où j'ai gardé le meilleur pour la fin. Geni.com fait remonter la généalogie de King jusqu'à une Anna Jagillo ! Oui, c'est la même Anna Jagiellon que nous avons vue à maintes reprises dans les recherches de Miles. Pour ceux qui suivent les travaux de Miles, faire le lien entre une célébrité contemporaine et les Jagiellion est comme gagner à la loterie le jour de Noël. Ce sont des crypto-juifs de Pologne aux nombreux siècles d'ancienneté et les ancêtres de la royauté européenne, à savoir les rois de Pologne, d'Angleterre, du Danemark, de la Suède, des Pays-Bas et de la Russie.
Voilà où ça devient étrange. Geni.com répertorie cette Anna comme étant l'épouse de Heinrich Nicholas Rittenhausen. Pour ceux qui ne le savent pas, les Rittenhouse étaient une célèbre famille de Pennsylvanie qui s'est considérablement enrichie en dirigeant la première papeterie du pays. Toute personne familière de Philadelphie aura entendu parler de Rittenhouse Square. David Rittenhouse fut le premier directeur de l'Hôtel des Monnaies. C'étaient des "aristocrates allemands" originaires du Brunswick et il existe toujours une grande réserve naturelle près de Brunswick qui se nomme Riddaghausen. Stephen King n'est pas très éloigné de ces Rittenhouse ; son arrière-grand-père était David Rittenhouse Pollock. Tout ce que vous lirez sur Stephen qui venait de l'obscurité et de la pauvreté est donc une farce.
Un ancêtre de King est supposé être la première femme d'Heinrich, Maria von Weyhen. Anna Jagiellon, nous le supposons, fut sa deuxième épouse, dont il n'eut pas d'enfant. Mais ce n'est pas possible vu que le seul mari connu d'Anna était l'empereur du St Empire Ferdinand Ier, qu'elle épousa en 1515, un jour avant son douzième anniversaire. Ils restèrent mariés jusqu'à la mort d'Anna en 1547 (notez la numérologie). Alors, quand eut-elle le temps de se marier avec cet Heinrich ? Geni.com donne la date de naissance d'Heinrich comme étant le 10 mars 1503. Ferdinand Ier est né le 10 mars 1500 – même jour de naissance, avec juste trois ans d'écart. Que se passe-t-il ici ?
Les choses s'éclaircissent un peu quand nous consultons le livre de Daniel Kolb Cassel, "Une histoire généa-biographique de la famille Rittenhouse". Regardez à la page 54 du PDF, où il a tracé un lien généalogique clair entre les Rittenhouse et la dynastie des Habsbourg (dont faisait partie Ferdinand Ier). Il met Henry (Heinrich) Nicholas comme étant le fils de Philip Ier, roi de Castille, qui reçut plus tard le prénom Ferdinand, alias l'empereur Ferdinand Ier. L'assertion de Cassel est qu'Heinrich et Ferdinand étaient la même personne. Puis il donne Balthaser comme son fils, connu sous le nom de l'empereur Maximilien II. Le fils de Maximilien II, Mathias, devint le premier Rittenhouse en 1591, quand il fut fait chevalier de la Maison des Chevaliers, ou "Housius Riders", c'est à dire Rittenhouse. C'était du moins la conjecture de Cassel.
Il fait vraiment penser à un "barbouze" avec sa moustache et ses lunettes. Et la photo elle-même semble un portrait officiel du gouvernement à en juger par ce qui est imprimé dans l'angle inférieur gauche. Mais il ne semble pas porter d'uniforme. Voici une photo soit de son premier mariage avec la mère de Stephen ou de son deuxième mariage avec la belle-mère de Stephen :
On peut dire d'entrée que cette photo a été fortement retouchée. Certaines parties sont extrêmement floues alors que d'autres sont anormalement nettes (en particulier son bras droit).
Ce site fournit un bon survol historique du nom Pollock. Le nom Polk dérive de Pollock. Par exemple, l'arrière-arrière grand-père du président James Polk était Robert Pollock, qui quitta l’Écosse pour les colonies d'Amérique. Les Pollock – ou du moins une lignée – sont donc l'une des Familles crypto-juives qui émigra vers les US via l'Écosse. Il est dit que ces Pollock n'étaient pas juifs et que plus tard les familles juives de Pologne portaient aussi le nom de Pollock, mais c'est une diversion. Je pense que ces Juifs polonais arrivèrent d’Écosse bien avant. Le Pollock écossais le plus anciennement connu est Petrus de Pollock, dont le père, Fulbert, était un Normand qui travaillait pour Walter FitzAlan, Grand Intendant d’Écosse. Lisez When Scotland was jewish [quand l'Écosse était juive], qui retrace une importante migration de Juifs en Écosse à peu près à cette période. Aucune explication ne figure pour cette dénomination "de Pollock", pas plus que des informations sur sa mère. Je suppose qu'elle était juive polonaise, originaire d'une famille de marchands fortunés. Nous trouvons ainsi que les derniers Pollock d'Irlande devinrent "connus dans le commerce du tissu". En d'autres mots, ils étaient juifs. Nous savons aussi que Petrus était chevalier aux Croisades. Comme nous avons appris ce qu'étaient réellement les Croisades, nous pouvons émettre d'indéniables hypothèses sur les Pollock d’Écosse. Alors, quand ethnicelebs.com dit que Stephen King est en partie écossais, ils ne mentent pas. Mais ils ne disent pas l'entière vérité non plus.
Nous décelons d'autres signaux d'alarme quand nous retraçons l'émigration des Pollock d'Écosse/Irlande vers l'Amérique.
Une tradition familiale dit que John Pollock a enlevé la belle-fille de Lord Russell pour l'épouser et qu'ils se sont enfuis en Irlande du Nord où ils vécurent trente ans avant de partir en 1800 pour l'Amérique et s'installer dans l'Ohio…
On retrouve des ancêtres Pollock de King en Ohio à cette époque-là. John Pollock est né en Ohio en 1828. Sa mère était Mary Stanley, dont la généalogie est totalement expurgée. Il semble que les Stanley ressortent dans presque tous les articles de Miles, indiquant qu'ils étaient (et sont) l'une des familles les plus renommées parmi les Familles. L'intéressant ici, c'est que les Stanley, ducs de Derby, possédaient d'immenses terres dans le Lancashire. Et où donc émigrèrent les Pollock écossais/irlandais ?
Au 19ème siècle, d'autres Pollock prirent le chemin du Lancashire et de son industrie.
Le fait que la lignée Pollock des King s'achève dans l'Ohio dans les années 1800 avec un mariage Pollock-Stanley n'est pas une coïncidence. Les deux familles sont passées par le Lancashire, fait qu'ils tentent d'obscurcir. Miles a déjà établi que les ducs de Stanley étaient à l'origine d'une invasion juive de l'Angleterre par l'île de Man et Anglesey.
Comme nous sommes sur le sujet du Lancashire/île de Man/Anglesey, vous devriez savoir que la ville proche d'Anglesey s'appelle Bangor et que le nom du lieu de résidence de Stephen King dans le Maine provient de là.
Notez qu'un John Pollock aurait épousé la belle-fille de Lord Russell. On parle ici de William Russell, des ducs de Bedford, que nous avons déjà rencontré dans cet article. Il fut le premier agent de son époque, ayant été élu au Parlement pour l'arrondissement de Tavistock, siège traditionnellement détenu par un membre de sa famille. L'Institut Tavistock actuel remonte pour sa fondation et son nom à Tavistock Square, qui constituait une partie du domaine Bedford, propriété des Russell. La circonscription Tavistock du parlement britannique est depuis longtemps un nid d'espions, remontant aux années 1300.
(…) Je soupçonne que la date de naissance officielle de Stephen King est un clin d’œil à ses liens familiaux avec Tavistock. King serait né le 21 septembre 1947. L'Institut Tavistock a été fondé un jour avant, le 20 septembre 1947. Sans parler de la CIA fondée trois jours avant, le 18 septembre. La signification est claire : King et toute son écriture sont des œuvres de fiction au sens ultime. Ils sont des créations du Renseignement.
On a un autre Pollock notable, Oliver, co-financeur de la guerre d'indépendance et à qui on devrait la création du symbole du dollar américain ($). Wikipédia nous dit qu'il a commencé sa carrière en tant que marchand, faisant du commerce de port en port dans les Indes occidentales, son siège social étant à La Havane, Cuba. Au moment de l'entrée en guerre, "Pollock était devenu très riche et possédait une importante influence politique". Il prêta 300.000 pesos espagnols au gouvernement américain, ce qui correspond à 1 milliard de dollars US d'aujourd'hui. Si vous pensez qu'il a amassé cette fortune à partir de rien ou qu'il a fait faillite plus tard et est mort dans l'obscurité (ce qu'on nous dit), vous êtes un imbécile. Il venait d'une famille crypto-juive déjà riche qui s'enrichit davantage avec le commerce. Stephen King est probablement un parent d'Oliver Pollock. Le dernier Pollock parmi les ancêtres King est James Pollock, mari de Mary Stanley sus-mentionnée. James est né en 1782 en Pennsylvanie. Oliver s'installa en 1760 dans le comté de Cumberland en Pennsylvanie, à l'âge de 23 ans. Il aurait eu 45 ans à la naissance de James et il était probablement un oncle ou un cousin de James.
La mère de Stephen King, Nellie Ruth Pillsbury, est née le 13 mars 1913. Son père s'appelait Guy Herbert Pillsbury et son grand-père Howard Leavitt Pillsbury. Notez Leavitt, qui est juif. Pillsbury nous rappelle la société Pillsbury, qui appartient aujourd'hui à General Mills, fondée en 1872 par Charles Pillsbury et son oncle John Sargent Pillsbury, huitième gouverneur du Minnesota. Ce deuxième nom est important, car il nous relie au procès des sorcières de Salem. L'une des accusées et exécutées (pas réellement) se nommait Susannah Martin, l'une des seules victimes qui n'était pas de Salem (elle était de Salisbury). Il s'avère qu'elle a été accusée de sorcellerie deux fois avant le canular de Salem, la première par William Sargent Jr, qui a prétendu avoir été témoin de l'accouchement de Susannah et du meurtre de son bébé illégitime ensuite. Cette histoire est aussi absurde que le procès. En quelle circonstance Sargent aurait-il vu Susannah accoucher ? S'il était là, pourquoi n'aurait-il pas empêché le meurtre ? Comment savait-il que le bébé était illégitime ? Pourquoi l'a-t-il accusée d'infanticide plus tard, mais pas de sorcellerie ? Aucun de ces détails n'est expliqué, parce qu'ils sont inexplicables. Il semble que Sargent faisait partie de la phase préparatoire du projet ou peut-être qu'il a participé à une précédente tentative du même projet qui a échoué et été annulé, car personne n'y a cru à Salisbury. Je suppose qu'ils ont plié bagages et pris la route de Salem, où ils eurent plus de succès.
Existe-t-il un lien entre ce Sargent et le fondateur de la société Pillsbury ? Gagné. John Sargent Pillsbury était un petit-fils quatre générations en arrière de William Hence Sargent Jr. Ce qui veut dire que Stephen King a des liens familiaux avec le procès de Salem par les Pillsbury. Il a un autre lien. L'une des grand-tantes distantes de King est une Martin. Il a donc une parenté aussi bien du côté de l'accusée que de l'accusateur.
Martin est également le lien nécessaire entre Stephen King et les baronnets Pollock que Miles a étudiés ailleurs. France, la plus jeune sœur du premier baronnet, Sir Frederick Pollock, a épousé Samuel Martin.
Par la lignée Pillsbury, l'arrière-arrière grand-mère de King était Rebecca (Grant) Robinson. Les Grant nous relient au président Ulysse S. Grant [18ème président des US] et nous avons rencontré des Robinson plusieurs fois auparavant. Son oncle était le capitaine Wentworth Stuart, neveu d'une Mary Walker et de Sarah Austin. La lignée Grant a fait aussi alliance avec les Bradstreet et les Farnham. En remontant la lignée Grant, nous trouvons des Gould et des Stone, noms juifs. Nous trouvons aussi une autre Martin – Mary Martin qui a quitté dans les années 1600 Kittery (Maine) pour Amesbury, Massachusetts, qui se trouve juste à côté de Salisbury, où résidait Susannah Martin du canular de Salem. L'arbre généalogique de la famille de Mary du côté Martin est complètement expurgé mais nous pouvons supposer qu'elle était une parente proche de Susannah. Vous comprenez maintenant pourquoi la ville fictive 'Salem's Lot' ne constitue pas un lien si ténu après tout. King a en fait de nombreux liens avec la vraie Salem.
Passons à l'épouse de Stephen, Tabitha. La première chose qu'on remarque dans sa généalogie est que son père est étiqueté "privé", même si nous savons par Wikipédia qu'il s'appelait Raymond George Spruce. C'est tout ce qu'on a. Que se cache-t-il derrière ? Cette Tabitha est entre autres apparentée à Marcel Proust. Saviez-vous que Proust était juif ? Sa mère était une Weil, reliée aux Cohen, Meyer, Lévy et Oppenheim.
(…) La branche maternelle de Tabitha est curieusement très bien documentée. C'est là que les King du Maine font leur retour sur scène parce que – surprise, surprise – Tabitha est une descendante directe de ces King ! Souvenez-vous, j'ai dit que Stephen était vraiment un King, mais pas de la manière dont vous le penseriez. C'est parce que sa femme est en fait une King. Ce qui expliquerait son premier prénom puisqu'on l'a nommée d'après son ancêtre Tabitha Walker King. Ce qui devrait vous surprendre, c'est cette étonnante coïncidence du père de Stephen changeant de manière inattendue son nom pour King et de son fils épousant une descendante des fameux King du Maine. J'admets que je ne sais pas comment l'interpréter mais je suis sûr que ce n'est pas une coïncidence. [Miles : ils sont probablement cousins, comme d'habitude. En d'autres mots, ce sont tous deux des King.]
(…) La grand-tante de Tabitha était Laura Gould, nom juif que nous avons vu aussi dans les ancêtres de Stephen. Dans l'arbre de Tabitha, nous trouvons aussi des noms comme Watson, Gray, Clark, Staples, Parrson, Wallace, Graham, Hill, Russell, Gordon, Springer (nom juif courant) et Webster. Ce dernier nom nous ramène encore une fois à Salem et à Mary Webster "à moitié pendue". Les Webster de la lignée de Tabitha vivaient dans le comté d'Essex à l'époque des procès de sorcellerie et faisaient partie de la même célèbre famille Webster.
Revenons à la généalogie de Stephen, où j'ai gardé le meilleur pour la fin. Geni.com fait remonter la généalogie de King jusqu'à une Anna Jagillo ! Oui, c'est la même Anna Jagiellon que nous avons vue à maintes reprises dans les recherches de Miles. Pour ceux qui suivent les travaux de Miles, faire le lien entre une célébrité contemporaine et les Jagiellion est comme gagner à la loterie le jour de Noël. Ce sont des crypto-juifs de Pologne aux nombreux siècles d'ancienneté et les ancêtres de la royauté européenne, à savoir les rois de Pologne, d'Angleterre, du Danemark, de la Suède, des Pays-Bas et de la Russie.
Voilà où ça devient étrange. Geni.com répertorie cette Anna comme étant l'épouse de Heinrich Nicholas Rittenhausen. Pour ceux qui ne le savent pas, les Rittenhouse étaient une célèbre famille de Pennsylvanie qui s'est considérablement enrichie en dirigeant la première papeterie du pays. Toute personne familière de Philadelphie aura entendu parler de Rittenhouse Square. David Rittenhouse fut le premier directeur de l'Hôtel des Monnaies. C'étaient des "aristocrates allemands" originaires du Brunswick et il existe toujours une grande réserve naturelle près de Brunswick qui se nomme Riddaghausen. Stephen King n'est pas très éloigné de ces Rittenhouse ; son arrière-grand-père était David Rittenhouse Pollock. Tout ce que vous lirez sur Stephen qui venait de l'obscurité et de la pauvreté est donc une farce.
Un ancêtre de King est supposé être la première femme d'Heinrich, Maria von Weyhen. Anna Jagiellon, nous le supposons, fut sa deuxième épouse, dont il n'eut pas d'enfant. Mais ce n'est pas possible vu que le seul mari connu d'Anna était l'empereur du St Empire Ferdinand Ier, qu'elle épousa en 1515, un jour avant son douzième anniversaire. Ils restèrent mariés jusqu'à la mort d'Anna en 1547 (notez la numérologie). Alors, quand eut-elle le temps de se marier avec cet Heinrich ? Geni.com donne la date de naissance d'Heinrich comme étant le 10 mars 1503. Ferdinand Ier est né le 10 mars 1500 – même jour de naissance, avec juste trois ans d'écart. Que se passe-t-il ici ?
Les choses s'éclaircissent un peu quand nous consultons le livre de Daniel Kolb Cassel, "Une histoire généa-biographique de la famille Rittenhouse". Regardez à la page 54 du PDF, où il a tracé un lien généalogique clair entre les Rittenhouse et la dynastie des Habsbourg (dont faisait partie Ferdinand Ier). Il met Henry (Heinrich) Nicholas comme étant le fils de Philip Ier, roi de Castille, qui reçut plus tard le prénom Ferdinand, alias l'empereur Ferdinand Ier. L'assertion de Cassel est qu'Heinrich et Ferdinand étaient la même personne. Puis il donne Balthaser comme son fils, connu sous le nom de l'empereur Maximilien II. Le fils de Maximilien II, Mathias, devint le premier Rittenhouse en 1591, quand il fut fait chevalier de la Maison des Chevaliers, ou "Housius Riders", c'est à dire Rittenhouse. C'était du moins la conjecture de Cassel.
Re: Stephen King, une "royale" imposture
L'empereur Ferdinand Ier, alias Heinrich Rittenhouse ?
Nous trouvons l'historique complet au bas de la page Heinrich sur Geni.com :
Le lignage de la famille RETTINGHAUSEN n'a pas été démontré. C'est une question controversée depuis plus d'un siècle. Dans le livre de Daniel Kolb Cassel publié en 1893 sur l'histoire de la famille Rittenhouse, l'auteur fait un lien avec les familles royales de Habsbourg. Ce fut accepté pendant plusieurs années jusqu'à ce que Calvin Kephart, président de la Société Nationale de Généalogie… démythifie les déclarations de Daniel K. Cassel liant les ancêtres Rittenhouse à la royauté. Il proposait une autre possibilité, en les rapprochant d'une famille de barons nommée VON RÖDINGHAUSEN. Ici encore cette vision fut acceptée jusqu'à récemment quand une nouvelle information a vu le jour.
…
Berdine Rittenhouse a donné une nouvelle information en mars 2002. Elle a été présentée à la Réunion Rittenhouse de Lancaster, Pennsylvanie en octobre 2003… Les documents trouvés par Berdine Rittenhouse étaient quelques-uns des manuscrits originaux rédigés à la main par Daniel Kolb Cassel quand il écrivait son livre. Cette histoire dégage maintenant un parfum de mystère. Il y avait des notes écrites au crayon dans ce manuscrit qui a conduit les chercheurs actuels à croire que Daniel Cassel NE souhaitait PAS délivrer l'information sur les liens avec les Habsbourg comme un fait réel. Il semble qu'il voulait juste l'offrir comme une possibilité. Mais quelque chose s'est produit entre ces notes et la publication et quand ce fut imprimé, ces détails furent montrés comme des faits avérés. Il semble maintenant que quelqu'un d'autre a falsifié le manuscrit avant qu'il ne parvienne à l'imprimeur.
Oh, quelle intrigue ! Qui devons-nous croire ? Il est bon de se souvenir qu'Ellen Marie Larson, la curatrice de Geni qui a posté l'information ci-dessus et qui gère la page sur Heinrich, l'a toujours rattaché à Anna Jagiellon même si elle laisse entendre que le lien aux Habsbourg est sujet à caution. Elle agite la carotte sous notre nez tout en niant l'existence de la carotte. Je devrais signaler qu'Ellen est la fille d'un Campbell et d'une Dixon, selon son propre profil sur Geni.com. Je vous laisse décider si c'est une autre "déconnecteuse" cherchant à nous fourvoyer. Je dirais simplement ceci : il est suspect qu'elle ait publié autant d'informations sur la famille Rittenhouse – y compris une information qui n'a été partagée que lors d'une réunion de la famille Rittenhouse – alors que sa généalogie personnelle est vraiment limitée.
Le moyen le plus simple de valider un lien entre les Habsbourg et les Rittenhouse est la ressemblance familiale. Nous avons la chance que cette dernière famille ait un trait de famille très prononcé : la "mâchoire Habsbourg". C'est en fait un défaut héréditaire impliquant un prognathisme démesuré de la mâchoire inférieure donnant un "menton en galoche". Voici le portrait de Ferdinand Ier, mais plus jeune, avant qu'il ne porte la barbe. On peut voir la mâchoire Habsbourg, bien qu'elle ne soit pas aussi prononcée que pour certains autres membres de sa famille. [voir par exemple le menton de Charles Quint ici] :
Le portrait à droite montre David Rittenhouse, bien que ce soit un portrait assez sombre.
Devinez-vous pourquoi ? Sa mâchoire est très prononcée, presque à la Habsbourg, si vous voulez. La plupart des autres portraits minimisent sa mâchoire. Il existe d'autres similitudes remarquables, comme le front haut, les yeux ronds, le visage allongé et la longue arête du nez légèrement incurvé vers le bas.
Comme il a été mentionné, King a écrit plusieurs romans sous le nom de plume de Richard Bachman. Wikipédia a une page entière sur ce nom de plume, bien séparée de sa page King, ce qui est très inhabituel. King a apparemment créé une copieuse biographie factice sur Bachman, racontant notamment qu'il aurait eu un fils qui serait tombé dans un puits et qui mourut à l'âge de 6 ans et aussi que Bachman aurait survécu à un cancer du cerveau grâce à une "délicate" chirurgie. Après avoir été identifié comme étant Bachman, King a choisi un autre nom de plume, Jason Wilch, qui nous dit-on était le nom d'un de ses amis d'enfance "qui n'a jamais vraiment dépassé le stade de la puberté". Ce dernier détail est supposé exact, mais se révèle aussi bidon que tout le reste. Le comité d'écriture qui fabrique la biographie de King ne sait pas comment faire la part des choses entre l'affabulation et la réalité. Ce qu'ils racontent sur la vie de King semble aussi factice que l'histoire inventée de la vie de Bachman, également rédigée par eux. Ils empilent avec une telle abondance et de manière si bâclée les couches de fiction qu'ils ne peuvent s'y retrouver – ou qu'ils s'en fichent – que ce soit crédible ou absurde. Mais pourquoi ce nom de plume ?
Bachman s'est inspiré de Bachman-Turner Overdrive, un groupe de rock and roll que King écoutait à l'époque où son éditeur lui avait demandé d'improviser un pseudonyme.
Cela semble de nouveau fictif. Je vais vous donner la réelle origine du nom. Dans les ascendants de King, nous trouvons une Anna Bechmann, qui est une variante orthographique de Beckman et Bachmann. Ils ont juste fouillé la généalogie de King, voyez-vous. Mais pourquoi King n'admettrait-il pas qu'il a choisi un nom de son propre arbre généalogique ? Parce que Bachmann est un nom juif. Encore une fois nous trouvons une célébrité qui cache sa juiverie. Les ancêtres de King sont expurgés au-delà d'Anna Bechmann, nouvelle preuve que ses racines juives sont à dessein cachées alors même qu'elles sont exhibées en pleine lumière.
Je terminerai où j'ai commencé, avec l'assertion que "Stephen King" en personne a toujours été un projet. Il semble être né et éduqué dans le but de répandre sans complexe peur et horreur. Voici la photo que son "alma mater", l'université du Maine, a publié pour annoncer que l'un des siens avait réussi [après la sortie de Carrie] :
Il faut en rire. On discerne derrière son regard d'halluciné un évident sourire en coin, car King n'est qu'un farceur, un enfant gâté qui croit tout autant dans son art qu'un athée croit en une vie après la mort. Malgré tout, le but exclusif du projet King est de vous faire croire que les gens sont vraiment des dingues. C'est pourquoi ils ont utilisé ses romans – Rage en particulier, où un élève devient fou et tire sur une classe – pour expliquer la série apparemment incohérente de fusillades dans les écoles qui se sont produites ces dernières décennies. Vous pouvez lire tout ce qui concerne Rage [publié le 13 septembre 1977] sur une page Wikipédia, où une section entière est consacrée aux "Liens avec de réelles fusillades scolaires" [abordé aussi dans le wiki français] :
Lycée San Gabriel, prise d'otage – Jeffrey Lyne Cox emporte un fusil semi-automatique à l'école le 26 avril 1988 et garde 60 élèves en otage. "Un ami de Cox a raconté à la presse que Cox s'était inspiré du détournement du vol 422 de la Koweit Airways et du roman Rage, que Cox a lu à maintes reprises et auquel il s'identifiait fortement".
Prise d'otage au lycée Jack County – Le 18 septembre 1989, Dustin L. Pierce a gardé pendant neuf heures une classe d'histoire en otage. "La police a retrouvé dans la chambre de Pierce un exemplaire de Rage parmi ses affaires, l'amenant à spéculer qu'il s'était inspiré du scénario du roman".
Fusillade du lycée East Carter – le 18 janvier 1993, Gary Scott Pennington a tiré sur son professeur d'anglais, Deanna McDavid et a gardé la classe en otage pendant 20 minutes. "Juste avant de tirer, il avait rédigé un essai sur le livre Rage et était furieux que McDavid ne lui ait donné qu'un C".
Fusillade à l'école Moses Lake – Barry Loukaitis a ouvert le feu dans sa classe d'algèbre le 2 février 1996, tuant deux élèves et son professeur, Leona Caires. Face aux élèves paniqués, Loukaitis aurait dit, "c'est plus excitant que l'algèbre, hein ?", en parodiant une phrase du livre Rage. Loukaitis a déclaré aussi qu'il essayait de calquer sa vie sur celle du protagoniste du roman Rage, Charlie Decker, qui tue deux professeurs et prend sa classe d'algèbre en otage."
Fusillade à l'école Heath – Michael Carneal, 14 ans, a tiré sur 8 élèves lors d'une réunion de prière, le 1er décembre 1997. "Il y avait un exemplaire de Rage de Richard Bachman dans son casier. C'est l'incident qui a poussé King à interdire la publication du livre".
Je présume que tous ces événements étaient des canulars, coordonnés par les mêmes Familles, celles qui ont fabriqué les procès des sorcières de Salem et créé Stephen King, relié à tous ces canulars. Miles me suggérait que la raison ayant incité à exploiter Stephen comme façade des romans de King était son apparence à faire peur. Ils auraient pu en rajouter ; peut-être pas. Ce qui est intéressant est qu'un important travail a été accompli pour corriger ses dents de lapin, comme vous pouvez le voir :
Ce qui à mon avis le rend beaucoup moins effrayant, et fait du tort à son image de psychopathe traqueur du motel comme celui qu'on peut croiser dans l'un de ses romans. En vieillissant, il s'est peut-être lassé de jouer le rôle qu'on lui a assigné. Le Renseignement voulait peut-être qu'il ait une mort prématurée bizarre, dans le style de ses romans, mais il aurait choisi de s'installer dans le rôle du gentil grand-père écrivain. Ou bien voulait-il s'éloigner des projecteurs depuis des années mais on l'aurait forcé à poursuivre un projet aussi lucratif. Dans tous les cas, j'espère qu'il va bientôt prendre sa retraite d'écrivain (ou que son comité le décide). Un nouveau roman de Stephen King est bien la dernière chose dont ce monde a besoin.
par Apolline Libellés : Miles Mathis
Re: Stephen King, une "royale" imposture
commentaires:
God31 août 2018 à 15:11
Je ne sais pas vraiment le formuler d'une façon précise mais mes nombreuses lectures sur le sujet: "Qui tire les ficelles sur la planète(de quelles façons, dans quel but, depuis quand?...)? lesquelles concernent la politique, les guerres, l'histoire, les sciences et qui convergent toujours malheureusement vers ce peuple qui se croit "élu", m'ont souvent amenées à déduire ce que je viens de lire dans cet article, à savoir qu'il n'y a pas de surdoués chez eux mais que quelles que soit leurs découvertes, œuvres littéraires, cinématographiques, scientifiques, et aussi ces modes comme le mastodonte Facebook, etc... elles sont issues d'un travail collectif (ou même simplement d'un vol)lequel est toujours attribué à une seule personne mise en avant afin d'en faire une personnalité "phare", sous-entendant de ce fait que cette communauté est un peuple supérieur, simple comme bonjour. Je n'ai jamais cru une seconde que toutes ces personnalités avaient plus de talent que nous les "gentils", mais qu'en revanche leur talent était de savoir "tirer la couverture à eux". Les Freud, Dolto, Marx, Einstein n'étaient que des escrocs comme King, il y eu de vrais savants, écrivains, artistes autrefois mais aujourd'hui, au 20 et 21 ème siècle, tout ces domaines sont phagocytés par des réseaux bien organisés et rien ne sort qu'à travers eux.
Bertie Lavie31 août 2018 à 17:59
Oh my GOD ! (humour !)
C'est ça en pire même ...
Manipuler le peuple par la TV, la lecture des peuples, l'alimentation, l'eau, l'air, les radiations, les gouvernements, l'argent(s) !
Même le(s) climat! et des fois (c'est un peu difficile à contrôler n'est ce pas !) ça dérape un peu ou beaucoup ! Alors "on" nous sert une belle histoire de dérèglement climatique ...
God31 août 2018 à 15:11
Je ne sais pas vraiment le formuler d'une façon précise mais mes nombreuses lectures sur le sujet: "Qui tire les ficelles sur la planète(de quelles façons, dans quel but, depuis quand?...)? lesquelles concernent la politique, les guerres, l'histoire, les sciences et qui convergent toujours malheureusement vers ce peuple qui se croit "élu", m'ont souvent amenées à déduire ce que je viens de lire dans cet article, à savoir qu'il n'y a pas de surdoués chez eux mais que quelles que soit leurs découvertes, œuvres littéraires, cinématographiques, scientifiques, et aussi ces modes comme le mastodonte Facebook, etc... elles sont issues d'un travail collectif (ou même simplement d'un vol)lequel est toujours attribué à une seule personne mise en avant afin d'en faire une personnalité "phare", sous-entendant de ce fait que cette communauté est un peuple supérieur, simple comme bonjour. Je n'ai jamais cru une seconde que toutes ces personnalités avaient plus de talent que nous les "gentils", mais qu'en revanche leur talent était de savoir "tirer la couverture à eux". Les Freud, Dolto, Marx, Einstein n'étaient que des escrocs comme King, il y eu de vrais savants, écrivains, artistes autrefois mais aujourd'hui, au 20 et 21 ème siècle, tout ces domaines sont phagocytés par des réseaux bien organisés et rien ne sort qu'à travers eux.
Bertie Lavie31 août 2018 à 17:59
Oh my GOD ! (humour !)
C'est ça en pire même ...
Manipuler le peuple par la TV, la lecture des peuples, l'alimentation, l'eau, l'air, les radiations, les gouvernements, l'argent(s) !
Même le(s) climat! et des fois (c'est un peu difficile à contrôler n'est ce pas !) ça dérape un peu ou beaucoup ! Alors "on" nous sert une belle histoire de dérèglement climatique ...
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