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ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes !

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Message par Admin Dim 31 Jan - 21:14

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ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes !

Il se trouve que l’industrie du cancer n’est rien de plus que l’industrie [/b]! Le cycle complet implique chaque médecin, hôpital, compagnie pharmaceutique et presque toute personne concernée. Ils en retirent des gains à chaque fois qu’un patient décide de subir un traitement dangereux comme la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie pour enlever les parties du corps affectées.


La science confirme ces conclusions
, même si l’industrie médicale affirme que la chimiothérapie aide les patients à gagner la lutte contre cette maladie pernicieuse.

Le Dr Hardin B. Jones est un ancien professeur de physique médicale et de physiologie à l’Université de Berkeley en Californie. Il a basé son étude sur l’espérance de vie des patients atteints de cancer pendant plus de 25 ans. Il a décidé de faire sa propre recherche après avoir constaté que la chimiothérapie ne fonctionne pas du tout.

Il dit que les patients qui subissent une chimiothérapie
finissent souvent par mourir d’une manière horrible. Les patients qui suivent une chimiothérapie meurent aussi plus rapidement et éprouvent plus de douleurs que ceux qui acceptent une thérapie différente. Le Dr Jones a constaté que les médicaments de chimiothérapie abrègent la vie du patient et finissent par le tuer. Tout ça est gardé secret parce que les intéressés gagnent des millions de dollars.


« Les personnes qui ont refusé le traitement de chimiothérapie vivent en moyenne 12 ans et demi de plus que les personnes qui reçoivent une chimiothérapie », a expliqué le Dr Jones dans son étude publiée dans le New York Academy of Sciences. « Les gens qui acceptent la chimiothérapie meurent dans les 3 ans, et de nombreuses personnes, seulement quelques semaines après le début du traitement ». « Les patientes atteintes de cancer du sein qui rejettent la thérapie conventionnelle vivent 4 fois plus longtemps que celles qui suivent le système. C’est bien sûr quelque chose que vous n’entendrez pas dans les médias conventionnels qui continueront à propager le mythe que la chimiothérapie est le meilleur remède pour combattre le cancer! ».


En 1979, le Journal de l’American Medical Association (AMA) a publié une étude selon laquelle les traitements les plus courants pour le cancer du sein, qui sont encore en usage, ne font en fait rien pour diminuer le taux de développement du cancer du sein ni même pour prolonger la vie. Des conclusions similaires ont été confirmées dans deux autres études publiées dans The Lancet en 1980.

L’une des études a été menée en Israël en 1978 et l’autre en Grande-Bretagne. Elles ont toutes deux révélé que la chimiothérapie ne pouvait pas améliorer le taux de survie des patientes diagnostiquées du cancer du sein.

« La vérité soigneusement cachée est que beaucoup de gens qui sont morts du cancer sont en fait morts du traitement qui comprenait la chimiothérapie ou la radiothérapie. La chimiothérapie agit en tuant les cellules saines du corps avant qu’elles puissent détruire le cancer, qui peut se développer très lentement et dans certaines conditions naturelles, peut même s’arrêter et régresser, » comme il est expliqué dans l’étude.

Les patients qui meurent du cancer meurent en fait de malnutrition. C’est le résultat du fait que les cellules cancéreuses absorbent les nutriments du corps, et en fin de compte détruisent le système immunitaire. Le corps ne peut pas se défendre dans de telles conditions.

Malheureusement, la médecine moderne ne veut pas que vous connaissiez le secret sur les thérapies conventionnelles du cancer. Un seul traitement coûte de 300 000 à 1 million de dollars ! Comme vous pouvez le voir vous-même, cela est la raison principale pour laquelle la chimiothérapie est offerte aux patients diagnostiqués de cancer. Les médicaments de chimiothérapie ne peuvent pas détruire le cancer ni prolonger la vie. La seule chose qu’ils puissent faire est d’affecter le corps au point de finalement tuer les patients.


Sources:
www.weeklyhealthylife.com
www.naturalmedicinebox.net
elixirvitaesecrets.com

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http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/2015/12/horrible-un-professeur-de-berkeley-les-gens-ne-meurent-pas-du-cancer-mais-de-la-chimiotherapie/




je termine de lire un dossier sur ce dossier et je vais avoir l'occasion de revenir l fait du cancer et de l'autisme ...des maladies que nous aurions soignées depuis des années !
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Message par Admin Lun 1 Fév - 17:58

Chimiothérapie : Quand la corruption atteint des Sommets

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Voici un sujet encore jamais abordé sur le blog, et pour cause. C’est du lourd, du très gros et probablement un dossier que je prévois sur 4 ou 5 articles. Le sujet de la chimiothérapie m’a toujours intéressé. Régulièrement dans la presse électronique, on retrouve des articles éclairs, explosifs qui accusent la chimiothérapie. La chimiothérapie tuerait, beaucoup, sans résultats probant, et même les médecins refuseraient de s’y contraindre avec une industrie pharmaceutique tout puissante qui veille au grain. J’ai donc décidé il y a quelques semaines de commencer mes recherches en français, en anglais, en allemand, non je déconne, et la nuit a été longue, je peux vous le dire. Nos amis anglo-saxons, et comme bien souvent, ont une belle longueur d’avance sur nous en matière de partage d’une information de qualité et indépendante. Dans cette série d’article, je vais donc vous proposer plusieurs choses à découvrir. Du pire au meilleur, en passant par les mensonges et la vérité, il y aura des coups de bâtons, des applaudissements, des découvertes, des définitions et des solutions proposées.

Voici quelques grands sujets qui seront activement traité dans cette série « Chimiothérapie : mais où est la vérité ? »


1.
75% des médecins refuseraient la chimio pour eux-mêmes. Qui a dit ça ? Est-ce vrai ? Vous allez voir que de nombreux sites francophones et anglophones relayent une information déstabilisante… mais pas si fiable que ça.

2.
Pour tuer un cancer, il faut affamer les cellules cancéreuses. Exit le sucre ! C’est une assertion retrouvée très souvent sur la toile dès lors que l’on parle de cancer et de traitement. Mais faut-il vraiment renoncer au sucre si l’on a un cancer ? Est-ce réellement efficace ?

3.
La chimiothérapie est-elle vraiment efficace ? Qu’en disent les études scientifiques ? Qu’en disent les spécialistes français sur la question ? Et les effets secondaires ? Là encore, vous allez découvrir la vérité sur les dangers et les bénéfices d’un traitement chimio thérapeutique.

Voici les grandes lignes qui seront prochainement abordées pour être le plus complet possible, le plus précis, le plus juste et apporter un maximum de réponses aux questions.

Mais pour l’heure, j’ai choisi de traiter en premier lieu mon sujet favori, mon terrain de jeu préféré :

Les conflits d’intérêts dans la recherche biomédicale sur le cancer.

Avant d’aborder les points précédemment cités, j’aimerais vous faire comprendre simplement pourquoi les professionnels de la santé peuvent parfois prescrire des médicaments dangereux, pourquoi l’industrie investie des milliards dans la recherche, et pourquoi il faut se méfier des nouveaux traitements médicamenteux.


Chimiothérapie, conflits d’intérêts et corruption


On va rentrer dans le détail maintenant, et à plusieurs niveaux. Tout d’abord au niveau des conflits d’intérêts des études à proprement parler, entre les auteurs (souvent des médecins) et des sociétés commerciales.

Ensuite, au niveau de la reproduction des résultats scientifiques, car en science, on doit pouvoir reproduire des résultats publiés.

Et finalement l’indépendance des « lignes de recommandations » sur la gestion du cancer (notamment aux USA).


. Ces médecins payés par l’industrie pharmaceutique



Pour commencer joyeusement. Une première étude publiée en 2007 dans le Journal of Clinical Oncology par une équipe américaine de plusieurs départements (Boston, Bethesda et Washington) a décidé d’analyser tous les conflits d’intérêts de toutes les publications, conférences et posters du congrès annuel sur le cancer organisé par la société américaine d’oncologie clinique (ASCO).


Un énorme congrès.
Les résultats sont sans appel. Au cours des congrès de 2004 et 2005, 23% des résumés des études avaient un ou plusieurs auteurs avec des intérêts financiers privés. Si l’on regarde les années séparément, en 2006, 60% des conférences organisées sur la recherche en cancérologie indiquaient des liens d’intérêts financiers avec l’industrie pharmaceutique, ou des liens d’intérêts privés (actions, start-up, etc.)

Finalement, il est amusant de noter que les auteurs américains étaient deux fois plus sujet à entretenir des liens financiers privés que les auteurs non américains (9.2% contre 4.2%) [1]. On poursuit cette longue traversé de l’océan nommé corruption.
Ainsi en 2009, une équipe de l’Université du Michigan, des départements de médecine interne et de radio-oncologie, a analysé plus de 1500 études en oncologie et nous donne leurs conclusions (publié dans le journal Cancer)


29% des études analysées avaient des conflits d’intérêts. L’équipe a joliment dressé un portrait –robot, à la manière des enquêtes policières, de l’étude type qui présente des conflits d’intérêts.

Ainsi, une étude en oncologie (sur le cancer donc), venant des USA, et réalisée par des séniors homme est la plus sujette aux conflits d’intérêts.

Cette équipe de l’Université du Michigan nous apprend également que les études sur le cancer, payées par l’industrie, se concentraient davantage sur les traitements (profit oblige) et avaient la fâcheuse habitude d’adresser des conclusions positives aux essais cliniques randomisés [2].

Plus récemment, une équipe du centre médicale universitaire de Duke aux Etats-Unis, a publié une étude spécialement sur les conflits d’intérêts des essais cliniques en oncologie en 2012.

Ces chercheurs ont démontré que parmi les 69 études analysées, 33% déclaraient avoir des liens d’intérêts financiers avec l’industrie pharmaceutique.

Les auteurs prédisent que les conflits d’intérêts apparaissent plus fréquemment dans les journaux médicaux les plus prestigieux (high impact factor), avec des échantillons énormes, venant tous des USA et étudiant plusieurs molécules en même temps.

Les auteurs concluent de leurs travaux que « les conflits d’intérêts sont plutôt faible en oncologie », et cela n’est pas surprenant, car l’on retrouve des auteurs de l’étude eux-mêmes associés à Big pharma (la boucle est bouclée) [3].

Finalement, et pour parler de journaux médicaux prestigieux, une équipe de l’Université de Chicago et d’Alabany, a publié en 2000 dans le Lancet un avertissement afin de respecter le principe de précaution lors des essais cliniques.

Les auteurs pointent du doigt les biais introduits par les liens financiers et exhortent les chercheur a publier tous leurs résultats et choisir « les méthodes appropriées pour comparer leurs groupes » [4].

Je vais m’arrêter là, car des études comme celles que je viens de citer, j’en ai des dizaines d’autres sous le bras.


La suite est autrement plus surprenante.
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Message par Admin Lun 1 Fév - 18:01

2. La reproductivité des résultats mise à mal ?

Les résultats scientifiques, publiés dans des journaux internationaux, doivent en théorie être reproductibles. Je veux dire par là qu’une équipe qui lit votre étude à l’autre bout de la planète, et qui suit rigoureusement votre protocole, devrait retrouver les mêmes résultats.

Ca c’est la théorie. Et c’est justement ce que deux scientifiques du centre de recherche en oncologie de Californie et de l’Université du Texas ont voulu exposer.

En 2012, ils publient dans le prestigieux journal Nature un commentaire (un commentaire, et non une étude) sur les résultats d’autres chercheurs qui ont en fait réalisés les analyses, mais qui demeurent confidentielles.

Le commentaire scientifique nous indique que seulement 6 résultats d’études sur 53, en recherche clinique sur le cancer, ont pu être reproduits par une équipe de recherche.

Ces résultats sont définitivement « choquant » pour les auteurs et démontrent les limitent du système scientifique actuel, avec des dangers potentiels pour la santé des patients [5].

On voit bien que la notion de « reproduction des résultats scientifiques » n’est pas si parfaite que cela, et dès lors que des intérêts financiers sont en jeu (voir le point n°1), on peut publier de faux résultats.

Une autre étude, publiée en 2013 dans Plos ONE, semble indiquer des résultats similaires. Ainsi ces chercheurs de l’Université du Texas, du département de biologie du cancer, ont voulu savoir si des chercheurs du centre de recherche sur le cancer au Texas avaient eu des problèmes de reproduction de résultats dans leur carrière.

Ils nous indiquent qu’au moins 1 chercheur sur 2 avoue avoir été au moins une fois dans l’incapacité de reproduire des résultats, venant d’autres études.

Les auteurs nous indiquent que « plusieurs scientifiques ont contacté les auteurs des études en question, mais qu’ils n’ont tout de même pas été en mesure d’identifier les raisons de ce manque de reproductibilité. » [6].

Vous voyez, la recherche biomédicale sur le cancer est biaisée à de nombreux égards. Liens d’intérêts, résultats impossibles à reproduire. C’est le gros bordel, des grosses pressions, des enjeux financiers énormes et tout le tralala.

Et pour couronner le tout, mêmes les recommandations officielles gouvernementales peuvent raconter des foutaises, ou du moins, intégrer des membres qui flirtent de trop avec Big pharma.


. Ces lignes de recommandations douteuses


Pour illustrer mes propos, je vais porter à votre connaissance une étude accablante, qui touche les Etats-Unis uniquement (malheureusement). Cette étude s’est proposé de faire une review, donc d’analyser toutes les études sur le sujet précis des conflits d’intérêts des membres à l’origine des Recommandations de Pratique Clinique (RPC).

Ainsi, ces scientifiques nous indiquent que toutes les études portant sur les RPC et leurs auteurs ont trouvé des liens d’intérêts financiers. Le rapport est accablant.

Tous conflits d’intérêts confondus, entre 56 et 87% des membres étaient en situation de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique lors de la rédaction de ces fameuses RPC.

2 à 17% d’entre eux sont détenteurs d’actions boursières ou de capitaux personnels dans des sociétés pharmaceutiques ou des sociétés personnelles.

6 à 80% des membres en charge d’établir ces RPC ont été des consultants (et ont donc reçu des fonds) pour Big pharma [7].


Bref, si vous lisez comme moi et que vous comprenez comme moi, la situation est plutôt dramatique, inacceptable, et que dire de la situation en Europe, en France ?


Conclusion et futur articles


C’est donc le premier article d’une longue série sur la chimiothérapie, dans lequel je voudrais être bien clair :

Big pharma, l’industrie pharmaceutique, les sociétés commerciales, les intérêts privés, les actions boursières, les avantages en nature, participent tous, plus ou moins, à dégrader la qualité de la recherche en biomédicale, et feront d’une manière ou d’une autre payer le patient, au prix de sa santé.

La recherche en biomédicale qui implique des intérêts financiers énormes (brevets, chaînes de prescription, autorisations de mise sur le marché, recommandations gouvernementales) fragilise la confiance entre le monde médical et les patients.

Ce premier article doit vous servir de référence pour à la fois rester vigilant quant aux résultats scientifiques, et quand à l’interprétation que l’on peut en avoir.

Donc, quoi de prévu pour la suite ?!

Qu’est-ce que la chimio, est-ce dangereux, comment lutter contre une cellule cancéreuse, comment lutter contre les conneries de la toile !

Ca va envoyer du lourd. Un traitement qui sera dur à avaler.

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Message par Admin Lun 1 Fév - 18:02

Note et références Hampson, L. A., S. Joffe, et al. (2007). “Frequency, Type, and Monetary Value of Financial Conflicts of Interest in Cancer Clinical Research.” Journal of Clinical Oncology 25(24): 3609-3614. Jagsi, R., N. Sheets, et al. (2009). “Frequency, nature, effects, and correlates of conflicts of interest in published clinical cancer research.” Cancer 115(12): 2783-2791. Irwin, B., B. R. Hirsch, et al. (2012). “Conflict of Interest Disclosure in Off-Label Oncology Clinical Trials.” Journal of Oncology Practice 8(5): 298-302. Djulbegovic, B., M. Lacevic, et al. (2000). “The uncertainty principle and industry-sponsored research.” The Lancet 356(9230): 635-638. Begley, C. G. and L. M. Ellis (2012). “Drug development: Raise standards for preclinical cancer research.” Nature 483(7391): 531-533. Mobley, A., S. K. Linder, et al. (2013). “A survey on data reproducibility in cancer research provides insights into our limited ability to translate findings from the laboratory to the clinic.” PLoS ONE 8(5): e63221. Norris SL, Holmer HK, Ogden LA, Burda BU (2011) Conflict of Interest in Clinical Practice Guideline Development: A Systematic Review. PLoS ONE 6(10): e25153. doi:10.1371/journal.pone.0025153 - See more at: http://www.dur-a-avaler.com/chimiotherapie-cytotoxique-conflit-interet-corruption/#sthash.myfNgwG7.dpuf
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Message par Admin Lun 1 Fév - 18:11

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De la corruption et des chimios

On continue notre long voyage dans le monde de l’oncologie, de la chimiothérapie et des cancers. Dans le premier article de cette série, j’avais fait le point sur les conflits d’intérêts qui touchent la profession. Mon dada à n’en point douter !

J’avais démontré, preuves scientifiques à l’appui, que l’oncologie était le domaine médical le plus corrompu qui existe. Des études très sexy ont même tenté de dessiner le portrait-robot de l’étude scientifique corrompue par les liens d’intérêts financiers, et cette étude viendrait principalement d’oncologie. Triste.


Si le sujet vous intéresse, je vous conseille fortement de lire le premier article
, et de vous rendre compte par vous-même de la mainmise des laboratoires pharmaceutiques sur les recherches biomédicales.

Vous allez découvrir que la très grande majorité des études sur le cancer, publiées dans les plus grands journaux scientifiques, ne sont pas reproductibles.


Houston… Houston, nous avons un problème.


Maintenant, dans cette 2ème partie on va rentrer dans le vif du sujet,
et s’attaquer aux pires idées reçues sur la chimiothérapie et ses dangers que l’on retrouve sur la toile. On va décortiquer le vrai du faux, et comme toujours, il y aura des surprises à chaque paragraphe.

3 médecins sur 4 refuseraient la chimio



… pour eux-mêmes si cancer il y avait. Voilà l’argument n°1, le plus viral que l’on retrouve sur le web, et je dois dire que j’ai fortement été influencé par ce titre tapageur.

Avant de commencer à me pencher sérieusement sur la chimiothérapie et tout ce qu’elle implique, j’avais un avis plutôt négatif, à cause justement de mes pérégrinations sur le net, et de mes lectures en diagonales d’articles incendiaires sur la chimiothérapie.

Est-ce que 3 médecins sur 4 refuseraient vraiment de suivre un traitement chimiothérapeutique aujourd’hui ? D’où vient ce chiffre ? Est-il fiable ?

Quoi qu’il en soit, si vous vous amusez à chercher sur le net des réponses sur ce sujet, vous allez tomber rapidement sur des sites comme Wikistrike, qui publiait en 2012, « 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes ».

Le même contenu, avec le même titre tapageur, est repris par des dizaines et des dizaines de sites sur la toile (un exemple ici, là, encore là, ou là)

D’une manière générale, les articles du web sont fortement anti-chimio et tendent à créer des anti-chimio, moi compris (avant recherche, mais je ne suis pas pour autant un pro-chimio, loin de là), avec des arguments repris en boucle, des copier-coller invérifiables, aux allures de légendes urbaines.

Si je devais vous décrire l’article-type du net sur la chimiothérapie et ses dangers, il aurait pour titre un truc du genre :

« 3 médecins sur 4 refusent… » et bla bla bla.


L’article serait ensuite garni d’une multitude de citations, oui des citations, de grand médecins, d’illustres inconnus, des passages de bouquin, des passages d’études scientifiques, publiées parfois dans les plus grands journaux médicaux comme le Lancet, dans lesquelles la chimiothérapie est dépeinte comme un traitement inefficace, inutile, et dangereux.

Tout ceci serait connu depuis des années par tous les médecins, et bien entendu, une puissante omerta contrôle l’information, et la vérité. Ok. Ca m’intéresse.

J’ai donc décidé de faire mon chemin sur cette voie, et de vérifier un maximum de citations, des références, des auteurs (dans la mesure du possible) afin de tirer au clair le vrai du faux.

Si vous avez déjà lu de tels articles, si vous avez déjà été sensible, tout comme je l’ai été, aux arguments du type « 3 médecins sur 4 refusent la chimio », cet article est fait pour vous. Et pour tous les autres également.


Le Vrai du Faux sur la chimiothérapie


Commençons par le plus impressionnant et le plus répandu sur le net à propos de la chimiothérapie, on va donc vérifier cette histoire des 3 médecins sur 4.


. Ces médecins qui refuseraient la chimiothérapie


C’est selon moi l’argument le plus fort, du moins celui qui peut créer le plus de sentiments anti-chimio sur la toile.

Il est d’usage de retrouver sur le net un texte (que je simplifie) sous cette forme :

Des scientifiques du centre de Mc Gill ont démontré à la suite d’un questionnaire que sur 79 médecins, 64 refuseraient pour eux-mêmes un traitement chimiothérapeutique à base de cisplatine (un produit commun à l’époque).


La citation est assortie d’un auteur, Philip Day, probablement auteur du livre « Cancer: Why we’re still dying to know the truth” (Credence Publications, 2000).

Pour obtenir ce chiffre de 3 médecins sur 4 qui refuseraient la chimio pour eux-mêmes, l’auteur, Philip Day, se base sur une étude réalisé en 1985, soit 30 ans en arrière, uniquement à propos d’une thérapie particulière à base de cisplatine.

A l’époque, cette thérapie est considéré comme nouvelle, avec de nombreux effets indésirables n’accueillant de fait que très peu l’adhésion du personnel médical.

Donc pour résumer, une énorme masse d’articles anti-chimio avance l’horrible vérité sur notre monde médicale sur la base d’un sondage vieux de 30 ans, réalisé sur 79 médecins, sur un produit récent, peu connu et peu apprécié des spécialistes.

Sauf qu’il existe des sondages plus récents, réalisés globalement selon les mêmes termes et qui nous apportent un tout autre son de cloche. En effet, 6 plus tard, et ça reste encore très vieux, 53 oncologistes ont été questionnés, en leur demandant entre autre s’ils accepteraient des traitements chimiothérapeutique.

L’échantillon est plus faible que dans notre étude de 1985, mais les résultats semblent indiquer tout le contraire : seulement 4% des médecins refuseraient la chimio pour eux-mêmes.
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Message par Admin Lun 1 Fév - 18:19

En revanche, près de la moitié des oncologistes refuseraient les thérapies expérimentales, mais seraient plus enclin à les recommander pour leurs épouses et les membres de leur famille (frères ou sœurs).

De nouveau 6 ans plus tard, un sondage est réalisé sur plus de 300 médecins, composé d’une majorité d’oncologistes.

Sur les 126 médecins qui ont répondu, 2/3 étaient favorable à la chimio pour traiter un cancer des poumons, avec une métastase au foie et aux os (avec un indice de performance de 1, c’est-à-dire que vous êtes tout de même en bonne forme) [1].

Ces résultats tempèrent fortement l’acharnement médiatique sur les résultats du sondage de 1985, et vous montre à quel point on peut facilement se laisser convaincre par des informations copier/coller, aux titres accrocheurs.

2. Ces citations étranges, parfois bidons, ou vieilles comme Hérode


Les articles du net anti-chimio sont tous bâtis selon la même structure : une succession de citations de professeurs, de médecins, de cancérologues, d’auteurs de livres, etc., etc.

Si la plupart de ces citations existent réellement, on peut largement se poser des questions sur l’origine de la source, les modifications de l’information (téléphone arabe) et la pertinence de l’information choisie.

Par exemple, une citation revient fréquemment sur ce genre d’article, la voici


Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie. Journal of The American Medical Association, april 15, 1998



La source semble sérieuse étant donné que ce serait une étude scientifique publiée dans un grand journal de médecine.

J’ai donc cherché dans les archives du JAMA, à la date du 15 avril 1998, et j’ai trouvé me semble-t-il, notre fameuse étude à l’origine de cette citation.

L’étude est en réalité une méta-analyse qui se propose de recenser tous les accidents sérieux et fatals des patients à cause d’un traitement médicamenteux.

Même si les résultats des auteurs sont particulièrement choquants, et je confirme donc la citation, les auteurs ne font à aucun référence aux médicaments chimiothérapeutiques.

L’étude en question, qui date d’il y a 16 ans tout de même, est ici totalement sortie de son contexte, celui de la chimio, et ne permet de faire la différence entre les médicaments chimio-thérapeutiques des autres.

Pourtant, cette étude doit nous faire comprendre à tous que les médicaments ne sont pas des produits anodins [2].

Une autre citation également déstabilisante nous provident d’un journal américain (non scientifique), The Ecologist, en date de mars-avril 1998.

Dans ce journal, un dénommé Walter Last indiquerait que le Dr Hardin Jones aurait analysé pendant des années les taux de survie au cancer, et il parviendrait à la conclusion que :

« Quand ils ne sont pas traités [par des traitements chimio], les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux. »

Les conclusions du Dr Jones n’auraient « jamais été réfutées ».

J’ai retrouvé dans les archives du journal le fameux article en question sur la chimiothérapie, qui a bien été écrit par Walter Last, qui est également l’auteur de bestseller sur les méthodes naturelles de traitements contre le cancer.

On retrouve effectivement les passages cités dans les articles français, avec peu ou pas d’erreur de traduction. Malheureusement, les observations du Dr Jones, qui le conduisent à dire que les patients non traités par la chimio vont mieux que les autres, remontent aux années 70, 60 et peut-être même 50.

Nous sommes loin, très loin d’études récentes et vérifiables. La suite du commentaire de ce numéro de The Ecologist nous dit que « 3 études menées par d’autres chercheurs confirment la théorie du Dr Jones ».

Sans surprise, on restera sur notre faim. Aucune référence n’est citée par le journal, le journal doit penser que les lecteurs ne s’y intéressent pas. Dommage.

Une autre citation revient inexorablement en boucle dans tous les articles de ce type. Albert Braverman aurait en 1991, dans le célèbre journal médical Lancet :


« De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants. »

J’ai retrouvé la source de cette citation dans les archives du Lancet [3]. Le nom de l’auteur est valide, la citation également, avec une traduction ma foi toujours aussi bonne.

Pourtant, plusieurs points tempèrent cette citation :

Bien que ce soit publié dans le Lancet, ce n’est pas une « étude scientifique » dans le sens strict du terme, seulement un point de vue d’un médecin sur le sujet de l’oncologie.

Ensuite, et après avoir lu les deux pages du commentaire, l’auteur n’est en réalité pas contre la chimiothérapie.

L’auteur est plutôt contre l’usage intempestif, systématique et sans conscience des traitements chimio-thérapeutiques sur tout le monde.

Le Dr Braverman dit par exemple à propos des résistances des cellules tumorales aux traitements cytotoxiques :


Même si les études cliniques visant à déterminer les raisons du blocage du mécanisme d’action des cytotoxiques n’ont pas encore améliorées les taux de réussites, ces études devraient se poursuivre »


Plus tard, l’auteur met en garde le monde médical sur le cancer, et propose de ralentir le rythme des prescriptions de chimiothérapie, et de les prescrire « uniquement quand il y a des chances raisonnables soit de rémission, soit de bénéfices dans la qualité et l’espérance de vie. »

Pour terminer, Albert Braverman, sollicite d’améliorer les connaissances en physiopathologie des cancers au lieu de mener « une course stérile sur les combinaisons de médicaments cytotoxiques ».

Finalement, la date de ce commentaire qui remonte à plus de 20 ans, avec un contexte en réalité moins tranché que l’on veut bien nous faire croire, tempère quelque peu l’impact négatif de cette citation sur les traitements chimio-thérapeutiques.

Toujours dans ce registre de publications et de citations à gogo pour tenter de convaincre, celle du Dr Ulrich Abel ressort fréquemment. Et la voici :

« Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: ” … Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner


A SUIVRE .....
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ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes ! Empty Re: ce professeur a étudié la chimiothérapie et ses effets sur les patients pendant 25 ans. Ses conclusions étaient plus que consternantes !

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