LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
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LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
bonjour : ORIGINE DES TIMBRES DE CETTE RUBRIQUE ainsi que les autres départements :
http://www.phil-ouest.com/Timbres.php?Cas=Dep&Dept=Dep29
contact bernard.lelann@phil-ouest.com
De gauche à droite :
l´Arlésienne, la Boulonnaise,
l´Alsacienne et la Bretonne.
Les avis divergent sur l´origine de cette dernière coiffe: elle pourrait être la coiffe de Plougastel ou la «Penn Sardin» de Douarnenez, ou celle du Cap Sizun, ou une autre encore ?
1931
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Ce blason fait partie de la 1ère série des blasons de France aux couleurs de l'héraldique, contrairement aux séries précédentes qui étaient monochromes.
La série des blasons de 1943 ( blason du lyonnais , de Provence, d'ile de France ,le dernier étant la bretagne.)
Le timbre porte la mention du régime de Vichy «Postes françaises» au lieu de «Postes - République Française».
Par ces séries de blasons des villes et provinces entamée en 1941 certains commentateurs ont avancé l´idée que le gouvernement de Vichy voulait ainsi flatter l´esprit régionaliste des français, pensant sans doute, que cela affaiblirait leur sens patriotique. Il faut croire que ces timbres ont du plaire car la série a continué longtemps après la libération de mai 1944 sans crainte d´amoindrissement de l´esprit patriotique français.
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LA SERIE DES COIFFES ( Picardie , ile de France ,Bourgogne ,Auvergne, Provence)
Série de timbres émise au profit du Secours National.
La coiffe présentée semble être une Penthièvre de la région d'Erquy, mais elle ressemble aussi beaucoup à celle de St-Jean de Boiseau
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Oblitération illustrée 1er jour dans 38 villes, dont Angers (Maine et Loire), Bordeaux (Gironde) , Honfleur (Calvados), Laval (Mayenne), Rennes (Ile et Vilaine), Saint-Brieux (Côtes d'Armor) et Marseille (Bouches du Rhône)
Premier timbre émis spécialement à l´occasion de la journée annuelle du timbre organisée par la FFAP (Fédération Française des Associations Philatéliques).
Historique de la journée du timbre
C´est en 1935 que la FIP (Fédération Internationale de Philatélie) a proposé lors de son congrès à Bruxelles la création d´une journée du timbre dans chacun de ses pays membres, ce projet a été validé par le congrés de la FFAP à Paris en 1937. La première journée du timbre aura lieu en 1938, puis après deux années d´interruption (1940 et 41) de cette journée le 1er timbre à date illustré parait en 1942, enfin en 1944 la Poste émet le premier timbre consacré à la journée du timbre, en 1993 il y aura sur le même thème deux timbres émis à l´occasion de cette journée. A partir de 1999 elle prend pour thème des personnages de BD et en 2000 la journée du timbre devient la fête du timbre .
Les ventes de timbres de la fête du timbre servent à financer d´une part l'ADP (Association pour le Développement de la Philatélie) qui subventionne la FFAP (Fédération Française des Associations Philatéliques) , l'APPF (Association de la Presse Philatélique Francophone) et la CNEP (Chambre des Négociants et Experts en Philatélie) et d´autre part la Croix-Rouge Française.
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Diplomate et explorateur, né à Dinan le 31 mai 1847 et mort le 7 juin 1925. Il a été l'initiateur de la colonisation du Laos par la France.
Timbre émis pour son centième anniversaire
Auguste Pavie (1847 - 1925)
Notice de M. Malleret, Directeur de l'Ecole Française d'Extrême-orient.
Extrait de Introduction à la connaissance du Laos de Henri DEYDIER. "Au Royaume du Million d'Eléphants, Exploration du Laos et du Tonkin 1887-1895" d'Auguste Pavie. «Il naquit à Dinan le 31 mai 1847. On ne connaît encore que bien peu de choses de son enfance et de ses études. Il entre dans la vie à dix-sept ans comme engagé volontaire au 62° de ligne. Sergent, trois ans plus tard il passe dans l'Infanterie de Marine et embarque à Toulon pour la Cochinchine où mis en congé quelques mois plus tard, il entre comme agent stagiaire dans le cadre auxiliaire des Télégraphes. Rentré volontairement à son corps de l'Infanterie de Marine, à la nouvelle de la guerre de 1870, il regagnait aussitôt la France et ne fut rendu à la vie civile qu'en juin 1871.
De retour en Cochinchine il fut affecté à Long-xuyên, puis à Kampot où il se trouva investi des fonctions de représentant local du Protectorat.
Pavie accomplit plusieurs voyages dans cet immense territoire que forment les régions méridionales du Cambodge et publia sa relation dans les Excursions et Reconnaissances, série fondée par le gouverneur Le Myre de Vilers, et qui demeure l'une des sources les plus précieuses d'information sur le pays.
Rentré dans la métropole après dix-sept ans d'Indochine, dont un séjour ininterrompu de onze années au Cambodge, Pavie emmène avec lui un groupe de jeunes gens qui formèrent à Paris une Ecole cambodgienne, devenue ensuite l'Ecole Coloniale. A peine était-il arrivé qu'il était pressenti par les Ministres de la Marine et des Postes pour une mission d'exploration au Laos avec le titre de vice-consul. "A ce moment de nos difficultés avec la Chine et le Tonkin, il était nécessaire, écrit-il dans un de ses ouvrages, d'être renseigné sur les régions voisines de nos premiers postes où les Pavillons Noirs étaient établis, où le Siam envoyait des soldats, installait des agents. Il était indispensable également de rechercher les voies de communications unissant à l'Annam et au Tonkin, les pays dont nous revendiquions la possession. »
Il fut nommé le 11 novembre 1885, vice-consul de 2° classe avec poste d'attache à Luang Prabang.
Dernière édition par Admin le Ven 14 Aoû - 20:08, édité 2 fois
Re: LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
Sculpture de la cathédrale Saint Tugdual de Tréguier représentant Saint Yves, patron des avocats et des juges, entre le riche et le pauvre.
Nann, n'eus ket e Breizh, Nann, n'eus ket unan. Nann, n'eus ket ur sant Evel sant Erwan !
Non, aucun Saint en Bretagne n'est comparable à Saint Yves !
Yves Hélory, est né le 17 octobre 1253 à Minihy-Tréguier au manoir de Ker Martin.
Il étudia le Droit à Paris pendant 13 ans avant de revenir en Trégor.
Il s'y fit ordonner prêtre, mais exerça surtout des fonctions de magistrature. Il se fit le défenseur des petits et des pauvres.
Il mourut le 19 mai 1303 et fut canonisé en 1347.
Le 19 mai de chaque année le Trégor célèbre toujours sa mémoire lors d'un grand pardon. Il est considéré comme le Saint Patron de la Bretagne, il est le patron des avocats et des juges, qui viennent toujours nombreux à son pardon
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Le Macareux Moine (nom latin Fratercula arctica, en anglais Atlantic Puffin) est un oiseau de mer palmipède migrateur de la famille des Alcidés (petit pingouin, guillemot) qui niche dans des terriers. Son bec très particulier lui a valu d'être surnommé clown de mer. Il fait partie des espèces protégées en France. La LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) en a fait son emblème.
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Le site protégé des Sept Iles , situé au large de Perros-Guirec, a été créé en 1912 afin de mettre un terme aux massacres des Macareux Moine, il a été classé réserve naturelle française en 1977, c'est la plus ancienne réserve naturelle de France. Elle est aussi la plus importante colonie d'oiseaux de mer en France. Outre le macareux moine elle abrite une douzaine d'espèces protégées, dont, sur l'île Rouzic, le fou de Bassan, unique en France, le guillemot de Troïl, le cormoran huppé, le fulmar boréal, le goéland marin, le goéland brun, et le petit pingouin (ou pingouin torda).
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Bertrand Du Guesclin, comte de Longueville, né vers 1320 au château de la Motte-Bröons, près de Dinan et mort le 13 juillet 1380 devant Châteauneuf-de-Randon, est un noble breton, connétable de France et de Castille.
D'après Wikipédia
En arrière plan du timbre: la bataille de Cocherel où le roi de Navarre Charles le Mauvais est battu par Du Guesclin le 16 mai 1364.
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Le radôme de Pleumeur-Bodou, garnde boule de Dacron sous pression, a été construit en 1962 dans des délais très brefs afin de pouvoir capter les signaux du satellitte Telstar. Outre de nombreux équipements d'avant-garde pour l'époque il a la particularité de comporter dans l'excroissance visible sur le timbre un MASER (Microwave Amplification by Stimulated Emission of Radiation) qui était le précurseur du LASER (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation) qui maintenant est devenu banal, jusque dans nos souris pour ordinateurs...
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Le timbre représente l´emblème de l´U.I.T., un télégraphe Morse, un satellite artificiel et le Centre de Télécommunications de Pleumeur-Bodou.
L'Union télégraphique internationale a été créée à Paris le 14 mai 1865.
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Bertrand Du Guesclin, comte de Longueville, né vers 1320 au château de la Motte-Bröons, près de Dinan et mort le 13 juillet 1380 devant Châteauneuf-de-Randon, est un noble breton, connétable de France et de Castille.
Dʹaprès Wikipédia
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La cathédrale de Saint-Etienne fut construite vers 580, sur un marécage que le seigneur avait donné à Brieuc. Ce "cadeau piège" ne l'a pas empêché de bâtir cet édifice sur un terrain très humide.
Son architecture est un savant mélange de style gothique et roman. Sa façade ressemble à une forteresse car elle a déjà servi de refuge. Elle s'appelle Saint-Etienne du nom du premier Évêque à y avoir vécu. Sa construction a duré près de 14 siècles. Aujourd'hui, la cathédrale a un évêque qui se prénomme : LUCIEN FRUCHAUD.
La cathédrale Saint-Etienne fut incendiée puis reconstruite vers 970. Il fallut 278 ans pour la rebâtir. Mais en 1346, les anglais occupèrent la ville et saccagèrent cet édifice. Alors le coeur fut reconstruit en moins de 3 ans de 1354 à 1357, par le vieil Évêque de Montfort.
La façade est composée d'une nef, reconstruite en 1712-1715 et de 2 tours. Si vous venez la visiter vous pourrez y voir la statue de Saint-Yves et les ossements de Saint-Etienne ainsi que ceux de Saint-Brieuc.
en dehors du timbre un peu d'histoire
Les 7 Saints fondateurs et le «Tro Breiz»
Selon la tradition historique la Bretagne a été structurée en 7 évêchés par les 7 Saints fondateurs (ar seizh Breur) dont la mémoire est honorée lors du «Tro Breiz» ou Tour de Bretagne, ancien pélerinage que chaque breton devait accomplir au moins une fois dans sa vie.
Il existe des pélérinages locaux où la notion de tour (tro) joue aussi un rôle important comme par exemple à Locronan où se déroulent, selon les années, les petites et grandes Troménies.
Les 7 Saints fondateurs : • Pol Aurélien, évêque de Saint-Pol de Léon,
• Brieuc , évêque de Saint-Brieuc,
• Corentin, évêque de Quimper,
• Malo (ou Maclou) , évêque de Saint-Malo,
•et Patern , évêque de Vannes.
• Samson , évêque de Dol,
• Tugdual ou Tudal ou Pabu , évêque de Tréguier,
Hommage à Alexandre-Olivier Glais Bizoin
A Saint-Brieuc une place porte le nom de Glais-Bizoin, cet homme politique né à Quintin en 1800, mort à Cesson en 1877, est l'inventeur de la péréquation postale.
En 1831, le député Alexandre Glais-Bizoin dépose à la Chambre une pétition proposant la création d'une taxe postale unique quelle que soit la distance parcourue. Cette idée ne se concrétisera qu'en 1848 avec la nouvelle loi postale. La Grande-Bretagne plus réactive sous l'impulsion de l'écossais Rowland Hill lance le 6 mai 1840 le One penny black, 1er timbre du monde.
Glais-Bizoin, dont le secrétaire particulier était Emile Zola, fut, avec d'autres bretons, un de ceux qui rétablirent la République le 4 septembre 1870.
Le Comité pour l'Histoire de La Poste a édité en 2003 un livre consacré à Alexandre Glais-Bizoin:
De l'égalité territoriale à la loi sociale
Un député obstiné
Alexandre Glais-Bizoin
Par Nicolas Verdier.
Comité pour l'Histoire de La Poste
4 quai du Point du Jour
CP D722
92777 BOULOGNE BILLANCOURT CEDEX
Tél. 01 55 44 01 51
Information initiale recueillie d'après des échanges de lecteurs (dont M.René Huguen, Président du Club Philatélique Briochin) parus dans Ouest-France - Édition des Côtes d'Armor du 18/08/98.
Re: LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
Ecrivain et historien né à Tréguier le 28 février 1823, mort à Paris le 2 octobre 1892.
"L'homme fait la beauté de ce qu'il aime, et la sainteté de ce qu'il croit."
Citation d'Ernest Renan figurant sur la statue érigée en sa mémoire à Tréguier
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Le SNTP (actuellement Philposte), très prudent, a présenté une carte stylisée de la Bretagne sans limites géographiques visibles ce qui offre la possibilité à chacun de placer Nantes et la Loire Atlantique en Bretagne ou ailleurs....
Lire à ce sujet l'article de Richard Sulzer: «Il y a 50 ans la création des (aberrantes) régions» où l'on explique pourquoi la Loire Atlantique fut mise en Pays de la Loire.
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Francis-Marie Robin précise, à propos du timbre de 2011, que "cette émission reproduit la même erreur que celle de l'émission de 1983 : la légende était "VELOCIPEDE, Pierre et Ernest MICHAUX" alors que le vélocipède des Michaux était aussi à corps cintré. Mais à l'époque, les historiens ne s'étaient pas encore penché précisément sur la question et n'avaient pas publié autant leurs travaux sur ce point, comme Kobayashi."
Je ne partage pas cet avis car je sais que Jean Delpech était un artiste aussi méticuleux que talentueux, ses dessins de timbres étaient très précis et documentés, Jean Delpech prenait grand soin de bien se documenter avant de livrer ses œuvres à la Poste, effectivement si sur l'exemplaire du vélocipède du musée des Arts et Métiers de Paris on remarque un corps cintré on peut toutefois noter sur la photo issue du blog «La photo du jour» le vélocipède de 1872 des frères Michaux ressemble en tous points à celui qu'a dessiné Jean Delpech. On peut supposer que les frères Michaux aient fait évoluer d'une façon ou d'une autre les modèles de vélocipèdes qu'il sont réalisés.
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Fulgence Marie Auguste Bienvenüe, né le 27 janvier 1852 à Uzel (Côtes-du-Nord) et mort le 3 août 1936 à Paris, est un inspecteur général des Ponts et Chaussées. Il est, avec Edmond Huet, le père du métro de Paris.
Dʹaprès Wikipédia
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La musette est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce généralement conique, d'un tuyau plutôt court (autour de 30 cm) et dont le son est créé par la vibration d'une anche double. Si ses origines remontent à l'antiquité (aulos grec ou tibia romaine), c'est à partir du Moyen Âge qu'elle se développe en Europe où elle fut tout autant utilisée dans la musique pastorale que dans la musique de Cour.
Plus aigu et plus petit instrument de la famille des hautbois, la musette peut être soufflée directement par le musicien ou par l'intermédiaire d'une poche d'air elle-même alimentée soit par l'instrumentiste (comme pour la cornemuse), soit par un soufflet mu avec le bras (comme pour la musette de cour).
En France, par extension mais aussi parfois par amalgame, le nom de « musette » a été donné à différents instruments à anche double et à poche d'air comme la cabrette et la musette béchonnet auvergnates, le biniou breton, la cornemuse du centre ou la musette bressane bourguignonne.
La musette est aussi le nom de l'un des jeux d'anche de l'orgue, de l'harmonium ou de l'accordéon.
Dʹaprès Wikipédia
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La musette est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce généralement conique, d'un tuyau plutôt court (autour de 30 cm) et dont le son est créé par la vibration d'une anche double. Si ses origines remontent à l'antiquité (aulos grec ou tibia romaine), c'est à partir du Moyen Âge qu'elle se développe en Europe où elle fut tout autant utilisée dans la musique pastorale que dans la musique de Cour.
Plus aigu et plus petit instrument de la famille des hautbois, la musette peut être soufflée directement par le musicien ou par l'intermédiaire d'une poche d'air elle-même alimentée soit par l'instrumentiste (comme pour la cornemuse), soit par un soufflet mu avec le bras (comme pour la musette de cour).
En France, par extension mais aussi parfois par amalgame, le nom de « musette » a été donné à différents instruments à anche double et à poche d'air comme la cabrette et la musette béchonnet auvergnates, le biniou breton, la cornemuse du centre ou la musette bressane bourguignonne.
La musette est aussi le nom de l'un des jeux d'anche de l'orgue, de l'harmonium ou de l'accordéon.
Dʹaprès Wikipédia
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On le rencontre souvent, débordant d'énergie et d'affection, dans les régions où abondent les chasseurs: l'épagneul breton et en effet l'un de leurs plus sûrs Compagnons. Sa robustesse légendaire le destine aux lingues équipées à travers bois, forêts ou marécages, d'autant que ce grand sportif se double d'un chasseur complet: ce chien d'arrêt excelle aussi bien à pister le gibier qu'à le rapporter, ce qui était sa finalité initiale.
D'origine française, l'épagneul breton remonte au XVIIIème siècle. sa race a été créée par croisement entre divers épagneuls français et de races anglaises, le setter principalement, mais aussi le spaniel et le springer. L'épagneul breton devrait cette ascendance franco-britannique aux habitudes des chasseurs anglais qui venaient, jadis, giboyer sur le continent et y laissaient leurs chiens en pension entre deux saisons de chasse. Reconnu officiellement en 1990, l'épagneul breton s'est largement répandu par la suite au-delà des frontières françaises, notamment aux Etats-Unis, où il porte le nom de ” Brittany”
Chien de taille moyenne, il mesure environ 50 centimètres pour un poids de 15 à 18Kg. il vit généralement treize ou quatorze ans. Son aspect est caractérisé par une queue très courte, réduite à un moignon, une poitrine ronde, un arrière- train musclé, une tête arrondie au museau assez court, des oreilles plantées haut et elles mêmes arrondies. Ses yeux, de couleur ambre, sont très expressifs, ses lèvres plus serrées que chez la plupart des épagneuls. Son poil est plat et légèrement ondulé. Le plus souvent bicolore, blanc à taches orange, marron ou noire, l'épagneul breton, peut-être aussi tricolore.
Si ce superbe chien n'est jamais aussi heureux qu'à la chasse, où il déploie toute sa fougue et traque tous les gibiers, son apparence rustaude cache un caractère fidèle et obéissant qui en fait un excellent animal de compagnie, à condition de disposer d'un jardin et de lui assurer une activité régulière.
Sources: Collections philatéliques de La Poste et "De lʹaurore au crépuscule"
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L´Hermine est le symbole de la Bretagne qui figure sur ses armoiries et son drapeau. L´Ordre de l´Hermine a été établi en 1381 par Jean IV de Bretagne.
«Kentoc´h mervel eget bezañ saotret»
Cette devise en breton est gravée sur le monument aux marins résistants de l'île de Sein
La Grande Hermine fut un des 3 navires du deuxième voyage de Jacques Cartier vers le Canada (1535-1536)
Re: LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
Tempête de protestations en Bretagne à propos de ce timbre qui, Dieu merci, n'a pas été émis à Clocher les Bécasses mais à Aix en Provence....
Bécassine est née sous le crayon de Joseph Pinchon et la plume de Jacqueline de La Roche le 2 février 1905 lors de la parution du 1er numéro de «La Semaine de Suzette» hebdomadaire destiné aux fillettes de l'époque.
C'est ensuite Maurice Languereau, sous le pseudo Caumery, qui écrira les textes figurant sous les images (les bullesde BD n'étaient pas en usage en ce début de siècle).
Bécassine contait les mésaventures d'une petite bretonne un peu niaise, née à Clocher les Bécasses, toute dévouée à ses maîtres de la bonne société un peu noble de nos belles campagnes.
Bécassine fut un succès de BD au moins aussi important que celui que connut plus tard Tintin. Il est d'ailleurs remarquable de comparer les visages de ces deux personnages de papier, ronds, sans aspérités, avec un petit nez et des yeux en forme de points. Enlevez la coiffe de Bécassine (que chantait Brassens avant Chantal Goya ...), mettez lui une houppette de cheveux blonds sur le sommet du crâne et vous obtenez un joli Tintin !
Les jeunes bretonnes du début du siècle dernier étaient souvent envoyées à Paris chercher un emploi de bonne si, par malheur, elles ne tombaient pas dans les griffes des macs qui les attendaient à Montparnasse à la descente du train.
Bécassine est souvent peu appréciée de certains bretons comme en témoignent les quelques liens figurant ci-contre.
Quand elle était petiote ma maman lisait assidûment dans sa Gironde natale, la semaine de Suzette, ce qui ne l'a pas empêché d'épouser un breton de Lambé, cela relativise, du moins dans ma famille, la mauvaise image des bretons et bretonnes qu'aurait véhiculé la jeune Bécassine.
Sans doute sensible par avance à cette réprobation j'ai, hélas, quand j'avais 7 ans déchiré, découpé, haché menu la plupart des numéros de cet illustre illustré, et Bécassine finit chez nous sa carrière sous forme d'avions et bateaux de papier.
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Tempête de protestations en Bretagne à propos de ce timbre qui, Dieu merci, n'a pas été émis à Clocher les Bécasses mais à Aix en Provence....
Bécassine est née sous le crayon de Joseph Pinchon et la plume de Jacqueline de La Roche le 2 février 1905 lors de la parution du 1er numéro de «La Semaine de Suzette» hebdomadaire destiné aux fillettes de l'époque.
C'est ensuite Maurice Languereau, sous le pseudo Caumery, qui écrira les textes figurant sous les images (les bullesde BD n'étaient pas en usage en ce début de siècle).
Bécassine contait les mésaventures d'une petite bretonne un peu niaise, née à Clocher les Bécasses, toute dévouée à ses maîtres de la bonne société un peu noble de nos belles campagnes.
Bécassine fut un succès de BD au moins aussi important que celui que connut plus tard Tintin. Il est d'ailleurs remarquable de comparer les visages de ces deux personnages de papier, ronds, sans aspérités, avec un petit nez et des yeux en forme de points. Enlevez la coiffe de Bécassine (que chantait Brassens avant Chantal Goya ...), mettez lui une houppette de cheveux blonds sur le sommet du crâne et vous obtenez un joli Tintin !
Les jeunes bretonnes du début du siècle dernier étaient souvent envoyées à Paris chercher un emploi de bonne si, par malheur, elles ne tombaient pas dans les griffes des macs qui les attendaient à Montparnasse à la descente du train.
Bécassine est souvent peu appréciée de certains bretons comme en témoignent les quelques liens figurant ci-contre.
Quand elle était petiote ma maman lisait assidûment dans sa Gironde natale, la semaine de Suzette, ce qui ne l'a pas empêché d'épouser un breton de Lambé, cela relativise, du moins dans ma famille, la mauvaise image des bretons et bretonnes qu'aurait véhiculé la jeune Bécassine.
Sans doute sensible par avance à cette réprobation j'ai, hélas, quand j'avais 7 ans déchiré, découpé, haché menu la plupart des numéros de cet illustre illustré, et Bécassine finit chez nous sa carrière sous forme d'avions et bateaux de papier.
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Le timbre représente le chaos de rochers et le phare de Men Ruz à la pointe de Squewel à Ploumanac'h.
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Oblitération illustrée 1er jour à Paris, Dinan (Côtes d'Armor), Carnac (Morbihan) et Belfort
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intégré dans ce blog
Re: LES TIMBRES DES COTES D'ARMOR
Le Macareux Moine (nom latin Fratercula arctica, en anglais Atlantic Puffin) est un oiseau de mer palmipède migrateur de la famille des Alcidés (petit pingouin, guillemot) qui niche dans des terriers. Son bec très particulier lui a valu d'être surnommé clown de mer. Il fait partie des espèces protégées en France. La LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) en a fait son emblème.
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Le site protégé des Sept Iles , situé au large de Perros-Guirec, a été créé en 1912 afin de mettre un terme aux massacres des Macareux Moine, il a été classé réserve naturelle française en 1977, c'est la plus ancienne réserve naturelle de France. Elle est aussi la plus importante colonie d'oiseaux de mer en France. Outre le macareux moine elle abrite une douzaine d'espèces protégées, dont, sur l'île Rouzic, le fou de Bassan, unique en France, le guillemot de Troïl, le cormoran huppé, le fulmar boréal, le goéland marin, le goéland brun, et le petit pingouin (ou pingouin torda).
Le Macareux moine, orné de sa livrée noire et blanche, reconnaissable à son gros bec triangulaire et bariolé, passe la plupart de son temps en mer et pêche en groupe en chassant sous l'eau. Surnommé calculot ou clown de mer, il peut emporter jusqu'à 10 petits poissons dans son bec. Il revient sur terre pour nidifier au fond d'un terrier où il élève son unique poussin. La LPO a fait du macareux moine son emblème.
Dʹaprès Phil@Poste
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série les chevaux de trait
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Pierre Sabbagh, né le 18 juillet 1918 à Lannion (Côtes-d'Armor) et mort le 30 septembre 1994 à Paris fut successivement journaliste, réalisateur, producteur et animateur. Il lance la formule du journal télévisé, avec des reportages commentés en direct dès 1949.
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Carnet « Les vaches de nos régions »
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Alexandre Glais-Bizoin (1800-1877) homme politique, né à Quintin (Côtes d'Armor) en 1800, est décédé à Saint-Brieuc en 1877. Après des études de droit, il est avocat à Rennes et se lance très vite en politique.
Conseiller général des Côtes-du-Nord, il est député de Loudéac de 1831 à 1848. En juin 1848, il fonde avec Eugène Pelletan et Hérold le journal démocratique La Tribune française et en 1870, il engage Emile Zola comme secrétaire. Député de Paris en 1869, le 4 septembre 1870, lors de la proclamation de la République, il est porté au gouvernement de la Défense nationale avec Crémieux et Fourichon. Arrêté par la Commune, relâché, puis incarcéré à Versailles, il échoue aux élections de 1871 et se retire dans son domaine de La Tour de Cesson. Il écrit des essais dramatiques comme Le Vrai Courage en 1868 et ses mémoires, Dictature de cinq mois, en 1872. Il mourut en 1877 à Saint-Brieuc où il était conseiller municipal depuis 1870.
Deux causes sont rattachées à son nom, tout d'abord sa lutte pour la réforme postale qui dure dix ans et permet une taxe postale unique pour le transport des lettres, quelle que soit la distance parcourue. L'échange des correspondances prend alors un essor considérable.
Il est également un ardent défenseur de l'arrivée du train en Bretagne et obtient des crédits nécessaires à la construction d'une ligne de Paris à Brest via Rennes. La ligne atteint Rennes en 1857, se prolonge jusqu'à Saint Brieuc en 1863 pour atteindre son point final en 1865 à Brest.
Dʹaprès le communiqué de presse de Phil@Poste
► Voir la photo d'Alexandre Glais-Bizoin
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http://www.phil-ouest.com/
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