Apprentissage : comment trouver sa voie ?
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Apprentissage : comment trouver sa voie ?
Publié le 21/06/2016 à 20:07 article le parisien
Une fois que l’élève a retenu la voie de l’apprentissage pour se former, il lui reste encore à choisir son secteur et son métier, pour préparer le diplôme qui lui donnera une qualification.
©Arekipa Productions
EmploiApprentissageArtisanatFormationMutuelle des Artisans et Du Commerce de ProximitéChambre de Métiers et de L'Artisanat
Stages d’observation de troisième, journées portes ouvertes dans les universités régionales des métiers, les occasions d’affiner son projet professionnel ne manquent pas. Reste ensuite à choisir l’établissement dans lequel suivre sa formation.
Certains, dès leur plus jeune âge, savent précisément quel métier ils veulent exercer. Affaire de vocation… Mais pour les autres ? Une fois que l’élève a retenu la voie de l’apprentissage pour se former, il lui reste encore à choisir son secteur et son métier, pour préparer le diplôme qui lui donnera une qualification. Première étape : faire preuve de curiosité. Sur Internet, différents sites présentent aux collégiens et aux lycéens la multitude de métiers accessibles, avec des interviews de « pros » et des reportages vidéo qui permettent de se faire une première idée. Un intérêt pour une activité en particulier ? Rien n’interdit d’entrer en contact avec un professionnel, par le biais de son entourage ou de son propre chef, pour en savoir plus sur son quotidien. Pour les collégiens, le stage d’observation à réaliser durant la troisième est une occasion en or pour découvrir les coulisses d’une activité qui deviendra peut-être la leur dans un futur proche. Encore faut-il ne pas céder à la facilité en sollicitant uniquement son entourage proche, mais en recherchant une entreprise d’accueil dans un secteur avec lequel l’élève ressent des affinités fortes. Utile pour conforter son choix ou, au contraire, partir dans une autre direction.
Les critères pour sélectionner le bon centre de formation
Une fois son cursus déterminé, il reste encore à choisir son établissement. Là encore, divers critères doivent être examinés, comme la localisation (notamment par rapport à l’entreprise), la reconnaissance (par l’État ou la branche professionnelle) des diplômes qu’il propose ou encore sa capacité à accompagner les alternants dans leur quête d’une entreprise d’accueil. Les journées portes ouvertes sont aussi un bon moyen de rencontrer des élèves en cours de formation. A vérifier également, la nature des relations entretenues avec le monde de l’entreprise. Les centres de formation d’apprentis (CFA) ont en effet des partenariats avec des entreprises locales ou des organismes représentant un secteur d’activité. Une double assurance ! D’abord parce qu’ils attestent que le CFA est reconnu par les entreprises et, ensuite, que les formations qu’il propose répondent bien à leurs besoins. Souvent, l’implication des entreprises va jusqu’au financement de l’équipement pour l’établissement. L’assurance d’être formé sur un matériel identique à celui de l’univers professionnel ! Quant à ceux qui souhaitent profiter de leur cursus pour franchir les frontières, ils doivent vérifier que leur futur établissement leur offrira la possibilité de bénéficier du programme Erasmus +. Ce dispositif permet de partir trois semaines dans une entreprise d’un des pays membres de l’Union européenne. Une expérience dépaysante et formatrice qui, pour certains, se traduit par une proposition d’embauche au Royaume-Uni, en Espagne, en Allemagne ou au Portugal.
Pour plus d’information : www.e-urma.fr
Une fois que l’élève a retenu la voie de l’apprentissage pour se former, il lui reste encore à choisir son secteur et son métier, pour préparer le diplôme qui lui donnera une qualification.
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Stages d’observation de troisième, journées portes ouvertes dans les universités régionales des métiers, les occasions d’affiner son projet professionnel ne manquent pas. Reste ensuite à choisir l’établissement dans lequel suivre sa formation.
Certains, dès leur plus jeune âge, savent précisément quel métier ils veulent exercer. Affaire de vocation… Mais pour les autres ? Une fois que l’élève a retenu la voie de l’apprentissage pour se former, il lui reste encore à choisir son secteur et son métier, pour préparer le diplôme qui lui donnera une qualification. Première étape : faire preuve de curiosité. Sur Internet, différents sites présentent aux collégiens et aux lycéens la multitude de métiers accessibles, avec des interviews de « pros » et des reportages vidéo qui permettent de se faire une première idée. Un intérêt pour une activité en particulier ? Rien n’interdit d’entrer en contact avec un professionnel, par le biais de son entourage ou de son propre chef, pour en savoir plus sur son quotidien. Pour les collégiens, le stage d’observation à réaliser durant la troisième est une occasion en or pour découvrir les coulisses d’une activité qui deviendra peut-être la leur dans un futur proche. Encore faut-il ne pas céder à la facilité en sollicitant uniquement son entourage proche, mais en recherchant une entreprise d’accueil dans un secteur avec lequel l’élève ressent des affinités fortes. Utile pour conforter son choix ou, au contraire, partir dans une autre direction.
Les critères pour sélectionner le bon centre de formation
Une fois son cursus déterminé, il reste encore à choisir son établissement. Là encore, divers critères doivent être examinés, comme la localisation (notamment par rapport à l’entreprise), la reconnaissance (par l’État ou la branche professionnelle) des diplômes qu’il propose ou encore sa capacité à accompagner les alternants dans leur quête d’une entreprise d’accueil. Les journées portes ouvertes sont aussi un bon moyen de rencontrer des élèves en cours de formation. A vérifier également, la nature des relations entretenues avec le monde de l’entreprise. Les centres de formation d’apprentis (CFA) ont en effet des partenariats avec des entreprises locales ou des organismes représentant un secteur d’activité. Une double assurance ! D’abord parce qu’ils attestent que le CFA est reconnu par les entreprises et, ensuite, que les formations qu’il propose répondent bien à leurs besoins. Souvent, l’implication des entreprises va jusqu’au financement de l’équipement pour l’établissement. L’assurance d’être formé sur un matériel identique à celui de l’univers professionnel ! Quant à ceux qui souhaitent profiter de leur cursus pour franchir les frontières, ils doivent vérifier que leur futur établissement leur offrira la possibilité de bénéficier du programme Erasmus +. Ce dispositif permet de partir trois semaines dans une entreprise d’un des pays membres de l’Union européenne. Une expérience dépaysante et formatrice qui, pour certains, se traduit par une proposition d’embauche au Royaume-Uni, en Espagne, en Allemagne ou au Portugal.
Pour plus d’information : www.e-urma.fr
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