L’ADN a parlé, Jack l’Éventreur enfin démasqué
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L’ADN a parlé, Jack l’Éventreur enfin démasqué
Par Bruno Alvarez OUEST FRANCE
La véritable identité de Jack l’Éventreur, le plus célèbre des tueurs en série, vient d’être révélée au Royaume-Uni. Des tests ADN auraient enfin permis d’élucider ce mystère vieux de plus de 130 ans.
Le mystère autour de l’identité de Jack l’Éventreur serait enfin résolu. Celui-ci alimente tous les fantasmes depuis la fin du XIXe siècle. Cette affaire de meurtres en série de prostituées, qui horrifia l’Angleterre du XIXe siècle, a depuis pris la dimension d’un mythe, à l’échelle internationale, à l’origine d’innombrables livres et films.
C’est dans le quartier de Whitechapel, à Londres, en 1888, que Jack l’Éventreur a commis ses crimes. Il s’attaquait principalement à des prostituées, qu’il tuait avant de les éventrer. Il agissait toujours dans l’ombre, sans jamais laisser de traces. Après chacun de ses atroces assassinats, la légende raconte que le meurtrier prenait la plume pour écrire à la police et aux journaux. Sa façon à lui de narguer les autorités.
On ne compte plus le nombre de détectives privés et fins limiers qui ont mené l’enquête pour tenter d’identifier le célèbre tueur en série, que la police n’a finalement jamais réussi à coincer. Mais cette fois-ci, des chercheurs britanniques pensent avoir de nouvelles preuves scientifiques, permettant de savoir qui se cachait derrière ce terrifiant assassin, indique le journal britannique The Independent dans son édition du 18 mars.
On prête au meurtrier la légende d’avoir écrit certaines lettres pour narguer la police. Il a également été découvert que certains journalistes peu scrupuleux les écrivaient eux-mêmes pour faire vendre plus de journaux. (Photo : Archives Nationales Britanniques)
Le suspect principal
Ces scientifiques ont effectué des tests génétiques à partir de l’ADN trouvé sur un châle recouvert de sang, récupéré à côté du corps mutilé d’une des victimes. Ce châle aurait appartenu au meurtrier. Et ils pensent avoir trouvé une correspondance.
Celle-ci mène à Aaron Kosminski. Ce coiffeur juif polonais d’une vingtaine d’années avait déjà été désigné comme suspect principal. Mais il n’y avait jamais eu assez de preuves pour le condamner.
Un portrait-robot de Jack l’Éventreur. (Photo : archives AFP)
Selon les recherches effectuées, le châle est lié au double meurtre de deux femmes, Elizabeth Stride et Catherine Eddowes. Il aurait également contenu l’ADN d’Eddowes et du meurtrier donc. Aaron Kosminski, âgé de 23 ans au moment des faits, a été « identifié » comme étant le coupable de ces meurtres. Cette identification a été rendue possible après que des fragments d’ADN ont été extraits du châle et comparés à ceux prélevés sur les descendants vivants connus de Kosminski.
Ce n’est pas la première fois que Kominski est impliqué dans ces meurtres notoires. En 1888, déjà, il faisait figure de suspect numéro un. Mais il n’y a jamais eu suffisamment de preuves retenues contre lui.
Il y a un an déjà, un chercheur anglais affirmait avoir trouvé qui se cachait derrière les nombreuses lettres adressées à la police et aux médiashttps://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/17851/reader/reader.html#!preferred/1/package/17851/pub/25584/page/7 pour narguer les autorités après les crimes atroces de « Jack The Ripper », son nom en anglais.
Mais son travail n’avait pas permis d’identifier le tueur. Il ne permettait pas non plus de confirmer les dires de Russell Edwards, un détective privé britannique qui, en 2014, avait fièrement déclaré au Daily Mail qu’il avait trouvé l’identité du tueur : Aaron Kosminski, le fameux coiffeur juif polonais.
Il était déjà arrivé à cette conclusion avec l’aide de Jari Louhelainen, spécialiste de la biologie moléculaire à l’université de Liverpool. Sur un châle appartenant à l’une des victimes de Jack l’Éventreur, ils avaient découvert des taches de sang, mais aussi du sperme. Des éléments qui leur auraient permis de comparer positivement l’ADN retrouvé sur le foulard avec celui d’un des principaux suspects de l’époque : Aaron Kosminski. Lequel avait fini sa vie dans un asile, deux ans après avoir agressé sa sœur avec… un couteau.
La véritable identité de Jack l’Éventreur, le plus célèbre des tueurs en série, vient d’être révélée au Royaume-Uni. Des tests ADN auraient enfin permis d’élucider ce mystère vieux de plus de 130 ans.
Le mystère autour de l’identité de Jack l’Éventreur serait enfin résolu. Celui-ci alimente tous les fantasmes depuis la fin du XIXe siècle. Cette affaire de meurtres en série de prostituées, qui horrifia l’Angleterre du XIXe siècle, a depuis pris la dimension d’un mythe, à l’échelle internationale, à l’origine d’innombrables livres et films.
C’est dans le quartier de Whitechapel, à Londres, en 1888, que Jack l’Éventreur a commis ses crimes. Il s’attaquait principalement à des prostituées, qu’il tuait avant de les éventrer. Il agissait toujours dans l’ombre, sans jamais laisser de traces. Après chacun de ses atroces assassinats, la légende raconte que le meurtrier prenait la plume pour écrire à la police et aux journaux. Sa façon à lui de narguer les autorités.
On ne compte plus le nombre de détectives privés et fins limiers qui ont mené l’enquête pour tenter d’identifier le célèbre tueur en série, que la police n’a finalement jamais réussi à coincer. Mais cette fois-ci, des chercheurs britanniques pensent avoir de nouvelles preuves scientifiques, permettant de savoir qui se cachait derrière ce terrifiant assassin, indique le journal britannique The Independent dans son édition du 18 mars.
On prête au meurtrier la légende d’avoir écrit certaines lettres pour narguer la police. Il a également été découvert que certains journalistes peu scrupuleux les écrivaient eux-mêmes pour faire vendre plus de journaux. (Photo : Archives Nationales Britanniques)
Le suspect principal
Ces scientifiques ont effectué des tests génétiques à partir de l’ADN trouvé sur un châle recouvert de sang, récupéré à côté du corps mutilé d’une des victimes. Ce châle aurait appartenu au meurtrier. Et ils pensent avoir trouvé une correspondance.
Celle-ci mène à Aaron Kosminski. Ce coiffeur juif polonais d’une vingtaine d’années avait déjà été désigné comme suspect principal. Mais il n’y avait jamais eu assez de preuves pour le condamner.
Un portrait-robot de Jack l’Éventreur. (Photo : archives AFP)
Selon les recherches effectuées, le châle est lié au double meurtre de deux femmes, Elizabeth Stride et Catherine Eddowes. Il aurait également contenu l’ADN d’Eddowes et du meurtrier donc. Aaron Kosminski, âgé de 23 ans au moment des faits, a été « identifié » comme étant le coupable de ces meurtres. Cette identification a été rendue possible après que des fragments d’ADN ont été extraits du châle et comparés à ceux prélevés sur les descendants vivants connus de Kosminski.
Ce n’est pas la première fois que Kominski est impliqué dans ces meurtres notoires. En 1888, déjà, il faisait figure de suspect numéro un. Mais il n’y a jamais eu suffisamment de preuves retenues contre lui.
Il y a un an déjà, un chercheur anglais affirmait avoir trouvé qui se cachait derrière les nombreuses lettres adressées à la police et aux médiashttps://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/17851/reader/reader.html#!preferred/1/package/17851/pub/25584/page/7 pour narguer les autorités après les crimes atroces de « Jack The Ripper », son nom en anglais.
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