L’injection létale est-elle douloureuse ? EXECUTIONS: y a t'il des méthodes (plus ou) moins douloureuses?
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L’injection létale est-elle douloureuse ? EXECUTIONS: y a t'il des méthodes (plus ou) moins douloureuses?
Alors que des condamnés à mort sont encore fusillés dans le monde faisons le point sur les différentes techniques employées encore aujourd'hui ...
Condamné à mort, un homme a été fusillé par cinq tireurs d’élite en 2014, aux Etats-Unis. Une méthode archaïque, même si selon les spécialistes dans les questions de peine de mort, être fusillé est la méthode la plus rapide et la moins douloureuse de mourir. Elle n'existe plus en France depuis le 17 septembre 1981 après le discours de Robert Badinter, mais la peine de mort était activement pratiquée par 57 pays dans le monde dans les années 2010.
A travers le temps, les hommes ont inventé des méthodes pour exécuter ceux qui ont reçu la sentence fatale:
torture,
guillotine ou plus récemment
l'injection létale.
Depuis environ deux siècles, on tente de minimiser la douleur des condamnés.
Malgré tout, -«toutes les exécutions sont douloureuses», rappelle les "spécialistes".
L’injection létale
C’est le médecin d’Hitler qui a eu le premier l'idée d’administrer du poison par intraveineuse aux prisonniers des camps de concentration. Adoptée dans les années 1980, cette méthode consiste à piquer le détenu et à lui injecter un ou plusieurs produits mortels.
Le condamné est piqué une première fois et on lui injecte un puissant calmant (thiopental de sodium) visant à le rendre inconscient.
Puis, une deuxième drogue (bromure de pancuronium) lui paralyse tous les muscles sauf le coeur.
La troisième et dernière injection (chlorure de potassium) provoque un arrêt cardiaque.
L'injection létale compte de détracteurs qui affirment que les deux premiers produits ne font qu'abrutir le condamné mais il reste quand-même conscient. Ridiculeusement au Texas, ce produit serait interdit pour euthanasier les animaux (Amnesty International)
.
Ensuite, la deuxième injection provoquerait une grande souffrance pour le détenu qui agoniserait faute de pouvoir respirer en donnant l’impression de dormir (alors que la paralysie l’empêcherait juste de pouvoir manifester sa douleur).
Et l’arrêt cardiaque provoqué par la dernière piqûre brûlerait le détenu partout dans tout son corps.
Un cas a particulièrement marqué les esprits aux Etats-Unis. Le 15 septembre 2009, Romell Broom, condamné en Ohio pour le viol et le meurtre d’une adolescente vingt-cinq ans auparavant, a dû être piqué dans les bras, les mains et les jambes à dix-huit reprises.
La chaise électrique
Elaborée à la fin du 19e siècle
pour mettre fin aux pendaisons, jugées trop cruelles, elle est essentiellement utilisée aux Etats-Unis.
On place des électrodes sur la peau du condamné et les zones de contacts sont fortement mouillées pour favoriser la conductivité de la peau. Une dizaine de secondes sont généralement nécessaires pour que le condamné soit inconscient. Pendant ce temps, la douleur ressentie par le condamné est comparable à des brûlures au 3e degré.
Au total, le condamné recevra 2.000 volts pendant environ 30 secondes. Dans les années 1980, de plus en plus d’Etats choisissent de l’abandonner pour adopter la peine de mort par injection. Le Nebraska a été le dernier État à l'abandonner en 2008.
Peloton d’exécution
La Chine reste la principale utilisatrice de cette méthode. Après avoir été exhibé dans toute la ville, le condamné ne reçoit qu’une seule balle dans la nuque, donc la mort est instantanée.
La "cérémonie" se passe dans un stade où de nombreuses personnes viennent «admirer le spectacle». Ce n’est pas pour économiser les balles qu’une seule balle est tirée, mais pour revendre les organes du mort, «selon les besoins». La famille du défunt reçoit après une lettre avec la douille et une facture d'équivalent à 8 euros pour les «frais d’exécution».
Nicolae Ceaușescu a été exécuté par un peloton d'exécution aux côtés de sa femme en chantant l'Internationale communiste à la suite d'un procès-spectacle, mettant fin à la Révolution roumaine, le jour de Noël 1989.
La réticence des sociétés pharmaceutiques à voir leurs drogues utilisées pour tuer des gens a conduit à une pénurie de drogues injectables mortelles couramment utilisées. En mars 2015, l'Utah a promulgué une loi autorisant l'exécution par un peloton d'exécution si les drogues qu'ils utilisent ne sont pas disponibles. Plusieurs autres États envisagent également un retour au peloton d'exécution.
En février 2019, le Sénat de la Caroline du Sud a voté 26 à 13 en faveur d'une proposition réactivée visant à ramener la chaise électrique et à ajouter des pelotons d'exécution à ses options d'exécution.
Lapidation
Elle est encore appliquée dans les pays pratiquant la charia, parmi eux le Nigeria, l’Iran ou l’Arabie Saoudite. Elle est dénoncée par tous les organismes ONU en tête. Le "code pénal" iranien est très précis:
«La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance», c’est-à-dire ni trop petites, ni trop grosses. On peut également lire que les lanceurs «doivent rester à distance d’une quinzaine de mètres de leur cible».
Personne n’est épargné, puisque ces pays n’hésitent pas à lapider des adolescents. La jeune Jila Izadi, 13 ans, a été condamnée à mort par lapidation en Iran en 2004 pour relation incestueuse avec son frère de 15 ans. Le frère avait écopé seulement 150 coups de fouets.
NOTE du 28 juillet 2020:
Mme. Johanna Delcroix nous précise que "la petite Jila n'a finalement pas été lapidée, mais le simple fait de sa condamnation fait déjà froid dans le dos." Merci pour votre précision madame.
La pendaison
C’est la méthode la plus rependue dans le monde et l’Irak est le pays qui l’utilise le plus.
Il existe deux méthodes:
La première, par précipitation, c’est-à-dire qu’une trappe s’ouvre sous les pieds du condamné qui meurt instantanément et c’est comme ça que Saddam Hussein a été tué en 2006.
La seconde, utilisée en Iran, est plus douloureuse. Elle consiste à soulever la corde petit-à-petit à l'aide d'une grue télescopique. Le corps se soulève progressivement vers le haut et la personne est lentement étouffée.
La guillotine
Le principe était très simple: une grande lame s’abattait sur la nuque du condamné, en le décapitant. Aucune souffrance si la personne était décapitée.
L'histoire a enregistré pourtant quelques ratés:
par exemple, l’exécution de Louis Lefèvre, le 16 avril 1916 qui a d’abord été scalpé par la guillotine avant que sa tête ne soit finalement séparée de son corps au bout d’un deuxième essai.
Note du 30 juillet 2020: Mr. Leyland Alan nous précise:
"L'execution de Louis Lefevre ne s'est vraisemblablement pas passee ainsi. J'ai vu une photo de sa tete sur le site "Guillotine" que je ne publierai pas ici car un peu trop gore. Ce n'est pas un scalp mais le haut de la calotte cranienne du condamne qui a ete tranche, et visiblement tres proprement. Il est impensable que'on obtienne un tel resultat avec la guillotine, sauf si le condamne avait ete place a mis-course sous la lame, et sans avoir le cou pris dans la lunette. Dans ce cas on aurait pu eventuellement avoir une chute accidentelle de la lame mais cela aurait probalement aussi blesse l'aide du bourreau qui tire la tete par les cheveux pour qu'elle se place bien dans la lunette. On a evoque cette idee, jusqu'a l'explication plus probable recemment suggeree: la tete de Lefevre a ete sciee a des fins d'investigation de son cerveau par des medecins. Le personnage avait assassine une fermiere et deux de ses enfant pour voler l'argent de la famille, dans la region de Vendome."
Des échecs de décapitation ont bien nourri des légendes:
Le cavalier sans tête (Sleepy Hollow) ou
Nick-quasi-sans-tête (Harry Potter).
Elle sera abolie en France par le ministre de la Justice de François Mitterrand, Robert Badinter.
Pour retourner à l'injection létale, les directives éthiques des professionnels de la santé interdisent aux médecins et aux infirmières de participer ou d’assister à des exécutions, et donc les techniciens concernés n’ont pas de formation spécifique à l’administration d’anesthésiques.
"On a l'impression que l'injection létale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis aujourd'hui n'est pas plus humaine que la chambre à gaz ou l'électrocution, qui ont toutes deux été jugées inhumaines », déclare Leonidas Koniaris, un chirurgien de Miami, qui n'est pas contre la peine de mort. Mais lui-même ne le fera pas ! Le serment d'Hippocrate oblige…
Les Zaméricains supposent que l'injection létale est hautement médicalisée et donc humaine.
"Quand vous le regardez d'un œil critique, c'est tout sauf médical. C'est une pratique médicale pervertie." continue De. Koniaris.
Il dit que les personnes qui performent ne sont aucunement qualifiées, la procédure n'est pas surveillée du tout parce que les bourreaux se cachent derrière un rideau lorsqu'ils livrent les drogues mortelles. De plus il n'y a pas de suivi pour s'assurer que tout a fonctionné comme prévu.
COMMENTAIRE
L'execution de Louis Lefevre ne s'est vraisemblablement pas passée ainsi. J'ai vu une photo de sa tête sur le site "Guillotine" que je ne publierai pas ici car un peu trop gore. Ce n'est pas un scalp mais le haut de la calotte crânienne du condamne qui a été tranche, et visiblement très proprement. Il est impensable qu’on obtienne un tel résultat avec la guillotine, sauf si le condamne avait été place a mis-course sous la lame, et sans avoir le cou pris dans la lunette. Dans ce cas on aurait pu éventuellement avoir une chute accidentelle de la lame mais cela aurait probablement aussi blesse l'aide du bourreau qui tire la tête par les cheveux pour qu'elle se place bien dans la lunette. On a évoqué cette idée, jusqu’à l'explication plus probable récemment suggérée: la tête de Lefebvre a été sciée a des fins d'investigation de son cerveau par des médecins. Le personnage avait assassine une fermière et deux de ses enfant pour voler l'argent de la famille, dans la région de Vendôme.
Condamné à mort, un homme a été fusillé par cinq tireurs d’élite en 2014, aux Etats-Unis. Une méthode archaïque, même si selon les spécialistes dans les questions de peine de mort, être fusillé est la méthode la plus rapide et la moins douloureuse de mourir. Elle n'existe plus en France depuis le 17 septembre 1981 après le discours de Robert Badinter, mais la peine de mort était activement pratiquée par 57 pays dans le monde dans les années 2010.
A travers le temps, les hommes ont inventé des méthodes pour exécuter ceux qui ont reçu la sentence fatale:
torture,
guillotine ou plus récemment
l'injection létale.
Depuis environ deux siècles, on tente de minimiser la douleur des condamnés.
Malgré tout, -«toutes les exécutions sont douloureuses», rappelle les "spécialistes".
L’injection létale
C’est le médecin d’Hitler qui a eu le premier l'idée d’administrer du poison par intraveineuse aux prisonniers des camps de concentration. Adoptée dans les années 1980, cette méthode consiste à piquer le détenu et à lui injecter un ou plusieurs produits mortels.
Le condamné est piqué une première fois et on lui injecte un puissant calmant (thiopental de sodium) visant à le rendre inconscient.
Puis, une deuxième drogue (bromure de pancuronium) lui paralyse tous les muscles sauf le coeur.
La troisième et dernière injection (chlorure de potassium) provoque un arrêt cardiaque.
L'injection létale compte de détracteurs qui affirment que les deux premiers produits ne font qu'abrutir le condamné mais il reste quand-même conscient. Ridiculeusement au Texas, ce produit serait interdit pour euthanasier les animaux (Amnesty International)
.
Ensuite, la deuxième injection provoquerait une grande souffrance pour le détenu qui agoniserait faute de pouvoir respirer en donnant l’impression de dormir (alors que la paralysie l’empêcherait juste de pouvoir manifester sa douleur).
Et l’arrêt cardiaque provoqué par la dernière piqûre brûlerait le détenu partout dans tout son corps.
Un cas a particulièrement marqué les esprits aux Etats-Unis. Le 15 septembre 2009, Romell Broom, condamné en Ohio pour le viol et le meurtre d’une adolescente vingt-cinq ans auparavant, a dû être piqué dans les bras, les mains et les jambes à dix-huit reprises.
La chaise électrique
Elaborée à la fin du 19e siècle
pour mettre fin aux pendaisons, jugées trop cruelles, elle est essentiellement utilisée aux Etats-Unis.
On place des électrodes sur la peau du condamné et les zones de contacts sont fortement mouillées pour favoriser la conductivité de la peau. Une dizaine de secondes sont généralement nécessaires pour que le condamné soit inconscient. Pendant ce temps, la douleur ressentie par le condamné est comparable à des brûlures au 3e degré.
Au total, le condamné recevra 2.000 volts pendant environ 30 secondes. Dans les années 1980, de plus en plus d’Etats choisissent de l’abandonner pour adopter la peine de mort par injection. Le Nebraska a été le dernier État à l'abandonner en 2008.
Peloton d’exécution
La Chine reste la principale utilisatrice de cette méthode. Après avoir été exhibé dans toute la ville, le condamné ne reçoit qu’une seule balle dans la nuque, donc la mort est instantanée.
La "cérémonie" se passe dans un stade où de nombreuses personnes viennent «admirer le spectacle». Ce n’est pas pour économiser les balles qu’une seule balle est tirée, mais pour revendre les organes du mort, «selon les besoins». La famille du défunt reçoit après une lettre avec la douille et une facture d'équivalent à 8 euros pour les «frais d’exécution».
Nicolae Ceaușescu a été exécuté par un peloton d'exécution aux côtés de sa femme en chantant l'Internationale communiste à la suite d'un procès-spectacle, mettant fin à la Révolution roumaine, le jour de Noël 1989.
La réticence des sociétés pharmaceutiques à voir leurs drogues utilisées pour tuer des gens a conduit à une pénurie de drogues injectables mortelles couramment utilisées. En mars 2015, l'Utah a promulgué une loi autorisant l'exécution par un peloton d'exécution si les drogues qu'ils utilisent ne sont pas disponibles. Plusieurs autres États envisagent également un retour au peloton d'exécution.
En février 2019, le Sénat de la Caroline du Sud a voté 26 à 13 en faveur d'une proposition réactivée visant à ramener la chaise électrique et à ajouter des pelotons d'exécution à ses options d'exécution.
Lapidation
Elle est encore appliquée dans les pays pratiquant la charia, parmi eux le Nigeria, l’Iran ou l’Arabie Saoudite. Elle est dénoncée par tous les organismes ONU en tête. Le "code pénal" iranien est très précis:
«La taille moyenne est choisie généralement afin de faire expier la faute par la souffrance», c’est-à-dire ni trop petites, ni trop grosses. On peut également lire que les lanceurs «doivent rester à distance d’une quinzaine de mètres de leur cible».
Personne n’est épargné, puisque ces pays n’hésitent pas à lapider des adolescents. La jeune Jila Izadi, 13 ans, a été condamnée à mort par lapidation en Iran en 2004 pour relation incestueuse avec son frère de 15 ans. Le frère avait écopé seulement 150 coups de fouets.
NOTE du 28 juillet 2020:
Mme. Johanna Delcroix nous précise que "la petite Jila n'a finalement pas été lapidée, mais le simple fait de sa condamnation fait déjà froid dans le dos." Merci pour votre précision madame.
La pendaison
C’est la méthode la plus rependue dans le monde et l’Irak est le pays qui l’utilise le plus.
Il existe deux méthodes:
La première, par précipitation, c’est-à-dire qu’une trappe s’ouvre sous les pieds du condamné qui meurt instantanément et c’est comme ça que Saddam Hussein a été tué en 2006.
La seconde, utilisée en Iran, est plus douloureuse. Elle consiste à soulever la corde petit-à-petit à l'aide d'une grue télescopique. Le corps se soulève progressivement vers le haut et la personne est lentement étouffée.
La guillotine
Le principe était très simple: une grande lame s’abattait sur la nuque du condamné, en le décapitant. Aucune souffrance si la personne était décapitée.
L'histoire a enregistré pourtant quelques ratés:
par exemple, l’exécution de Louis Lefèvre, le 16 avril 1916 qui a d’abord été scalpé par la guillotine avant que sa tête ne soit finalement séparée de son corps au bout d’un deuxième essai.
Note du 30 juillet 2020: Mr. Leyland Alan nous précise:
"L'execution de Louis Lefevre ne s'est vraisemblablement pas passee ainsi. J'ai vu une photo de sa tete sur le site "Guillotine" que je ne publierai pas ici car un peu trop gore. Ce n'est pas un scalp mais le haut de la calotte cranienne du condamne qui a ete tranche, et visiblement tres proprement. Il est impensable que'on obtienne un tel resultat avec la guillotine, sauf si le condamne avait ete place a mis-course sous la lame, et sans avoir le cou pris dans la lunette. Dans ce cas on aurait pu eventuellement avoir une chute accidentelle de la lame mais cela aurait probalement aussi blesse l'aide du bourreau qui tire la tete par les cheveux pour qu'elle se place bien dans la lunette. On a evoque cette idee, jusqu'a l'explication plus probable recemment suggeree: la tete de Lefevre a ete sciee a des fins d'investigation de son cerveau par des medecins. Le personnage avait assassine une fermiere et deux de ses enfant pour voler l'argent de la famille, dans la region de Vendome."
Des échecs de décapitation ont bien nourri des légendes:
Le cavalier sans tête (Sleepy Hollow) ou
Nick-quasi-sans-tête (Harry Potter).
Elle sera abolie en France par le ministre de la Justice de François Mitterrand, Robert Badinter.
Pour retourner à l'injection létale, les directives éthiques des professionnels de la santé interdisent aux médecins et aux infirmières de participer ou d’assister à des exécutions, et donc les techniciens concernés n’ont pas de formation spécifique à l’administration d’anesthésiques.
"On a l'impression que l'injection létale telle qu'elle est pratiquée aux États-Unis aujourd'hui n'est pas plus humaine que la chambre à gaz ou l'électrocution, qui ont toutes deux été jugées inhumaines », déclare Leonidas Koniaris, un chirurgien de Miami, qui n'est pas contre la peine de mort. Mais lui-même ne le fera pas ! Le serment d'Hippocrate oblige…
Les Zaméricains supposent que l'injection létale est hautement médicalisée et donc humaine.
"Quand vous le regardez d'un œil critique, c'est tout sauf médical. C'est une pratique médicale pervertie." continue De. Koniaris.
Il dit que les personnes qui performent ne sont aucunement qualifiées, la procédure n'est pas surveillée du tout parce que les bourreaux se cachent derrière un rideau lorsqu'ils livrent les drogues mortelles. De plus il n'y a pas de suivi pour s'assurer que tout a fonctionné comme prévu.
COMMENTAIRE
L'execution de Louis Lefevre ne s'est vraisemblablement pas passée ainsi. J'ai vu une photo de sa tête sur le site "Guillotine" que je ne publierai pas ici car un peu trop gore. Ce n'est pas un scalp mais le haut de la calotte crânienne du condamne qui a été tranche, et visiblement très proprement. Il est impensable qu’on obtienne un tel résultat avec la guillotine, sauf si le condamne avait été place a mis-course sous la lame, et sans avoir le cou pris dans la lunette. Dans ce cas on aurait pu éventuellement avoir une chute accidentelle de la lame mais cela aurait probablement aussi blesse l'aide du bourreau qui tire la tête par les cheveux pour qu'elle se place bien dans la lunette. On a évoqué cette idée, jusqu’à l'explication plus probable récemment suggérée: la tête de Lefebvre a été sciée a des fins d'investigation de son cerveau par des médecins. Le personnage avait assassine une fermière et deux de ses enfant pour voler l'argent de la famille, dans la région de Vendôme.
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